La Pensée et le Mouvant

par

Conclusion

Nous avons décidé de ne pas nous appesantir sur les trois derniers chapitres car Bergson s’y intéresse à la contribution philosophique d’autres philosophes et que notre intérêt est centré sur la pensée bergsonienne. Par ailleurs, la vie et l’œuvre philosophique de Claude Bernard, William James, Ravaisson-Mollien (Félix Lacher), puisqu’il s’agit d’eux, devrait faire l’objet d’une étude externe non biaisée par le contenu de notre corpus. En définitive, il est clair que La Pensée et le Mouvant (Essais et Conférences.) est une œuvre à la causticité indéniable. Retenons surtout que Bergson nous interpelle. Il veut que nous nous réveillions de notre endormissement avilissant. Il nous invite à posséder l’œil du géographe, à pousser plus loin notre capacité visuelle qui est très souvent limitée, à atteindre l’acuité. Cette prise en main est le seul moyen par lequel nous pouvons développer notre intuition philosophique afin de faire face à la véritable réalité et de ne plus vivre dans les projections de notre esprit.

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