Adhémar de Monteil

c'était la raison pour laquelle ils subissaient ces maux, que l'armée était divisée et qu'ils ne parvenaient pas à entrer dans la ville. C'est ainsi que la nouvelle de l'apparition du légat du Pape (L 1-12), décédé l'année précédente à Antioche, Adhémar de Monteil, excita leur zèle religieux au plus haut point. Celui-ci, apparu en rêve au clerc Pierre Didier, avait prescrit que le seul moyen d'apaiser la colère de Dieu était le jeûner et de faire une procession solennelle autour des remparts de la cité

durant le concil de Clermont. Elle vise à libérer la terre sainte (Jerusalem). En échange de leur participation à la croisade, il promet le pardon de leurs péchés aux chevaliers qui iraient porter secours aux chrétiens d'Orient. Il désigne Adhémar de Monteil pour diriger la croisade. Croisade populaire Le peuple réagit. Pierre l'Ermite lance un appel (un « Dieu le veut ») et le 12 avril 1096, 15 000 pèlerin viennent à Cologne avec Pierre l'Ermite et Gautier Sans-Avoir (Qui avait rejoint l'Ermite)

Montaigu, Renaud III comte de Toul. Bohémond, fils aîné de Robert Guiscard, ... Le plus fort contingent des croisés fut celui dirigé par le comte de Toulouse et marquis de Provence, accompagné du chef nominal de la croisade, le légat pontifical Adhémar de Monteil, évêque du Puy. La " croisade des pauvres " Cette 1ère expédition est composée de 15000 paysans, femmes et enfants sous la direction de Pierre l'Ermite : exaltés par des prédicateurs itinérants ou subjugués par des ermites fanatiques, ils

Statue du pape Urbain II ; http://his.nicolas.free.fr/Monuments/Zoom.php?mnemo=ClermontUrbainII1 Voyant que cette idée remporte un très grand succès auprès des évêques présents au concile, le pape commence à organiser la croisade. Il désigne Adhémar de Monteil (évêque du Puy) comme chef des chevaliers. Il donne un lieu de rassemblement pour les croisés français, Le Puy (en France), et, pour les autres, un point de convergence : Constantinople (en Turquie, voir carte ci-dessous). Il donne aussi une

commerce avec l'orient. 3) Réaction des Francs L'enthousiasme pour la croisade fut énorme. Dès que le Pape Urbain II eu terminé son discours toute la foule se mit à acclamer « Dieux le veut ! » nombreux furent ceux qui se sont engagés. Adhémar de Monteil Évêque de Puy s'agenouilla aux pieds du Pape et devint ainsi le premier croisé. Suite à cela des milliers de personnes y compris femmes, vieillards, enfants, se déclarèrent prêts à partir libérer le Saint- Sépulcre. La ferveur religieuse fut

François Adhémar de Monteil de Grignan (1632-1714) Françoise Marguerite de Sévigné (1646-1705) Charles de Sévigné (1648-1713) Jeanne Marguerite de Bréhant de Mauron (1659-1737) Pour la famille du comte de Grignan, voir François Adhémar de Monteil de Grignan, section « Famille ». Œuvres La correspondance de Mme de Sévigné avec sa

appartenu à la famille de Grignan puis à celle des Adhémar, qui l’a transformée en forteresse dès le XII siècle. C’est au XVII siècle que François Adhémar de Monteil le modifie pour en faire une résidence luxueuse  en construisant l'aile des prélats à l’Est du château, entre 1684 et 1690, permettant de compléter les constructions édifiées du XIIe au XVIe siècle. L’’ aile des Prélats L’’ aile des Prélats François Adhémar de Monteil, était le comte de Grignan. Il fût nommé ensuite lieutenant

Dossier château de Grignan « Je trouve que le château de Grignan est parfaitement beau, il sent bien les anciens Adhémars » C’est en ces termes que dans sa lettre du 21 juin 1671, Marie de Rabutin Chantal, Marquise de Sévigné (1626-1696) s’adresse à sa fille, Madame de Grignan (1646-1705), épouse de François de Grignan et qui vécu une parti de sa vie dans ce château. Le Château de Grignan se situe près du village du même nom, dans la Drôme provençale, à quelques kilomètres de « l’enclave

pour secourir l'empereur byzantin et la libération de la Terre sainte à Jérusalem. En échange de leur participation à la croisade, il promet le pardon de leurs péchés aux chevaliers qui iraient porter secours aux chrétiens d'Orient. Il désigne Adhémar de Monteil, évêque du Puy-en-Velay, pour diriger cette croisade6. Il s'agit aussi, pour la papauté, de renforcer son autorité en rassemblant, dans un projet commun, une noblesse occidentale toujours désireuse de s'affranchir de la tutelle spirituelle

Chatillon-sur-Marne vers 1042 - mort à Rome le 20 juillet 1099)Ce moine clunisien devint pape en 1088. Il réunit à Clermont-Ferrand un concile en 1095 et prêcha la Première Croisade qui partit l'année suivante sous le commandement de l'évêque du Puy, Adhémar de Monteil. Le 27 novembre 1095, à l'issue du concile de Clermont, le pape s'adresse aux évêques, pour demander d'aller au secours des chrétiens orientaux. Cet appel a été retranscrit, plusieurs années après, par Foucher de Chartres, sans doute témoin