Alep

Doukak (roi de Damas) et Redwan (roi d'Alep). Doukak et Yyaghi sont proches mais Alep est plus proche géographiquement. En décembre, Doukak part pour Antioche mais après une bataille avec les Franj sur le chemin il fait demi-tour. On apprend, via les chrétiens d'Antioche, que la famine, les tremblements de terre, la boue et la désertion touchent les Franj. Redwan accepte d'envoyer une armée car razzia des Franj vers Alep. Il reste à distance. Les Franj engagent le combat et gagnent malgré leur infériorité

reconstruction d’Ebla intervient vers 1900 lorsque la ville est sous domination Ammorite. C’est à la même date qu’Ebla va retrouver son rôle de puissance politique et économique comme au III millénaire jusqu’à ce que les princes de l'Etat de Yamkhad (l’actuel Alep) réussissent à limiter son pouvoir jusqu’à en faire un Etat vassal. Les amorites vont fortifié la ville, rebâtir l’acropole et organisé la ville basse. A- Les fortifications. Le périmètre de la ville basse était délimité par une enceinte extérieure

ad-Dîn Yûsuf[1], ou Saladin (Tikrit, 1138 ; Damas, 4 mars 1193)[2] est le premier dirigeant de la dynastie ayyoubide, qui a régné en Égypte de 1169 à 1250 et en Syrie de 1174 à 1260. Lui-même dirige l’Égypte de 1169 à 1193, Damas de 1174 à 1193 et Alep de 1183 à 1193. Son nom, an-Nâsir, signifie « celui qui reçoit la victoire de Dieu » et Saladin signifie la « rectitude de la Foi ». Il est connu pour avoir été le principal adversaire des Francs installés durant le dernier tiers du XIIe siècle et

: à Jérusalem, le roi Amaury Ier meurt en laissant le royaume à un fils mineur, Baudouin le Lépreux. Le régent, Miles de Plancy, ne prend pas toujours les bonnes décisions vis-à-vis de l’Égypte et le royaume se place dans une position défensive. À Alep, Nur ad-Din laisse également un enfant, As-Salih Ismail al-Malik, mais les lieutenants de Nur ad-Din luttent pour la régence, et un neveu écarté du pouvoir se révolte. Durant les vingt années qui lui restent à vivre, Saladin se consacre à deux tâches

littorale au climat méditerranéen, des plateaux de l’Est, eux désertiques. Les principales cultures (blé et orge surtout, coton, tabac, vigne, olivier) sont souvent liées à l’irrigation, des piémonts montagneux, sites des principales villes (Damas, Alep, Homs et Hama, en dehors du port de Lattaquié) ainsi que des oasis. L’élevage ovin, pratiqué par les nomades, est la ressource essentielle de la Syrie orientale. Plusieurs oléoducs aboutissant aux ports méditerranéens traversent le territoire

syriens. 1939 Grand Liban devient le Liban et le Sandjak d’Alexandrette est cédé à la Turquie. 1941 fin du mandat de la France en Syrie qui devient indé en 1946. Syrie peuplé 90% arabes, mais aussi 9% kurdes et 0,8% arméniens (principalement à Alep et Damas) Islam religion majoritaire. 70% sunnites, 3% chiites. 9% chrétiens, 3% de druzes. 13% alaouites : communauté issue du chiisme et méprisée par autres musulmans et considérée comme hérétique par sunnites et chiites. Or depuis 1971, famille

Comment réagira la mère, la soeur, la femme ou encore, la fille qui découvrira que l’homme qui lui est cher a été pendu sous un viaduc? Fabricant de bombes à Alep Moises Saman, Peru, Wired magazine, 20 mars 2013, Alep, Syrie. 2e Prix General News Single Fabrication de bombes pour les rebelles Syriens dans un atelier improvisé à Alep. Sur cette photo, on peut voir un homme qui fabrique des bombes dans une école qui a été transformée en sorte de laboratoire vite fait. On peut voir que le soleil

La Syrie Le mercredi 3 octobre un attentat contre le force gouvernementale a provoque au moins 37 morts et une dizaine de blessés à Alep. C’est victimes viennent s y ajouter au 4000 autres personnes qui ont péri depuis le commencement du mouvement de contestation a la mi mars 20010 cela tourne à une guerre civile selon le commissaire aux droits de l’homme Quelles sont les causes de la révolte en Syrie? Et ou en est la Syrie depuis le déclenchement ce cette révolte ,? I La présentation

(alEp) "' """""' lstudtulNf.l lo ltHlvf lprluof (atep) lUf, uorleprleA (alep+ sêlerlur) IUJ uorssrtüsuell le runrvN9rs """41""" """" (a';ep) u"da'3?u """""""""'Q)!or n ;;;;;;;;;;;;;;; tr lno uoN : uorlua^uol aun rauSrs sno^-zalteqnos ": (V11O) exel ap rnallallol ausrue8ro arlo^ êp saguuopJool lgvsslrNSuddv,o lxvr : sue """ " " "'/a?uuo,p arqN) Jatlgru el suep acuaugdx3 """""' / """""" / " """"' asudalluê,| suep agllua,p aleo : uorlouol

villages qui ont été quelques semaines plus tôt privés de leurs notables et de leurs jeunes gens, militaires et gendarmes ont toute facilité à réunir les femmes et les enfants. Ces malheureux sont réunis en longs convois et déportés vers le sud, vers Alep, une ville de la Syrie ottomane. Les marches se déroulent sous le soleil de l'été, dans des conditions épouvantables, sans vivres et sans eau, sous la menace constante des montagnards kurdes, trop heureux de pouvoir librement exterminer leurs voisins