Alger républicain

avait remis l'éducation de ses enfants dans les mains de sa mère. Rude, orgueilleuse, dominatrice, celle-ci les éleva à la dure », écrira Camus dans un brouillon de « L'Envers et l'endroit »[5]. Formation [modifier] Albert Camus fait ses études à Alger. À l'école communale, il est remarqué en 1923 par son instituteur, Louis Germain, qui lui donne des leçons gratuites et l'inscrit en 1924 sur la liste des candidats aux bourses, malgré la défiance de sa grand-mère qui souhaiterait qu'il gagne au plus

Catherine Sintes, une jeune servante d'origine espagnole qui ne sait pas écrire et qui à des difficultés d’expression. Le père de Camus est tué à la guerre en 1914, ce qui fait qu’Albert ne connaîtra pas son père. Sa mère assez pauvre s'installe alors à Alger plus particulièrement dans la ville de Belcourt (ville ou le personnage principale de l’Etranger vis). Grâce à l'aide de l'un de ses instituteurs, M. Germain, Albert Camus obtient une bourse et peut grâce à cela poursuivre ses études au lycée Bugeaud

de vin. La famille de sa mère vient de Majorque. Le père de Camus est tué à la Bataille de la Marne en 1914 . La famille s'installe à Belcourt, quartier ouvrier d'Alger. C’est une période difficile à cause de la pauvreté. Quartier de Belcourt à Alger vers 1930 Au centre, en blouse noire, Son instituteur M. Germain pousse Albert a passer le concours des bourses et le fait entrer au grand Lycée d'Alger. Camus passe son baccalauréat en 1930. A la même époque, il subit les premières attaques de

d'Etudes Supérieures de philosophie en 1936 et fonde le Théâtre du Travail et écrira avec des amis une pièce qui sera interdite. Il jouera et adaptera de nombreuses pièces célébres d'André Malraux entre autre. En 1938, il devient journaliste à Alger-Républicain où il est notamment chargé de rendre compte des procès politiques algériens. A cette époque la situation internationale se tend et son journal le licensie. Camus retrouvera un autre journal cette fois ci français : Paris-Soir. Quelques temps

1914 (mort le 17 octobre 14). Camus n'aura qu'une anedocte de son père : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Elevé par sa mère mais surtout par une grand mère autoritaire, Camus grandit dans le quartier populaire de Belcourt à Alger. Il éprouve une affectation sans bornes pour sa mère, Catherine Sintès, demi sourde et analphabète, avec qui il n'a jamais eu de véritable conversation. 1923 – 1928 : Au CM2, un instituteur Louis Germain, distingue l'enfant conscient de ses facultés

fait puisqu’il a toujours vécu avec sa mère Catherine Sintes dont il reprendra le prénom pour sa fille Catherine et Sintes pour l’un de ses personnages un ami de Meursault dans L’Etranger dont nous parlerons plus tard. Il a donc vécu en Algérie à Alger avec sa mère qui était sourde à qui il portait énormément d’affection, sa grand-mère qui était stricte et autoritaire, son oncle infirme et son grand frère Lucien. Il a grandi avec l’absence de son père Lucien Camus qui était un homme horrifié par

Albert CAMUS Misère de la Kabylie Reportages réalisés du 5 au 15 juinl939 pour le quotidien Alger- Républicain. Suivis du discours de Stockholm. Présentation Présentation Dans les années trente, les quotidiens d'information algérois écrivaient des articles sur l'Algérie qui ne se fondaient que sur le pittoresque et sur le tourisme. C'était le cas de l'Echo D'Alger et d'autres publications. Pourtant il était difficile d'ignorer les problèmes sociaux, économiques et politiques du pays. En mars

interdite. Il joue et adpate de nombreuses pièces : Le temps du mépris d'André Malraux, Les Bas-Fonds de Gorki, Les frères Karamazov de Dostoïevski. En 1938, il devient journaliste à Alger-Républicain où il est notamment chargé de rendre compte des procès politiques algériens. La situation internationale se tend . Alger-Républicain cesse sa parution et Albert Camus part pour Paris où il est engagé à Paris-Soir. C'est le divorce d'avec Simone Hié, et il épouse Francine Faure. En 1942 il milite dans un mouvement

interdite. Il joue et adpate de nombreuses pièces : Le temps du mépris d'André Malraux, Les Bas-Fonds de Gorki, Les frères Karamazov de Dostoïevski. En 1938, il devient journaliste à Alger-Républicain où il est notamment chargé de rendre compte des procès politiques algériens. La situation internationale se tend . Alger-Républicain cesse sa parution et Albert Camus part pour Paris où il est engagé à Paris-Soir. C'est le divorce d'avec Simone Hié, et il épouse Francine Faure. En 1942 il milite dans un

fonction n'est cependant accessible que sur le site Internet, en format Acrobat) Copyright Charles Bonn & CICLIM ACHOUR, Christiane. http://www.limag.com/Pagespersonnes/Achour.htm (Dir.) MORSLY, Dalila. (Dir.). Voyager en langues et littératures. Alger, Ed. 2667. OPU, Essai 1990 ACHOUR, Christiane. Du souk au marché, commerce de mots, échange de mots. Le marché et son traitement dans quatre romans africains (Nord et Sud). DJAIDER, Mireille. Rencontres symboliques. KHADDA, Naget. p. 193-230. p. 175-192