Allitération

Comment les sonorités (allitérations, assonances) contribuent-elles à suggérer les différents bruits perçus par le poète ? (Le tout dans un développement organisé) Dans ce poème nommé «Fenêtres ouvertes» rédigé par Victor Hugo, notre sens de l’ouïe est particulièrement sollicité puisqu’il nous décrit une série de bruits et de sons. En effet, le poème débute par « J’entends », et c’est le verbe le plus important car il nous indique le thème. De plus, de nombreuses allitérations et assonances sont présentes

marin (société) Jeu de sonorité : Sert à renforcer le contraste : Majesté rendue par assonance en [en] ( v1/2/3/4/13/14/16) et allitération en [v] (v1/2/3/4) Déchéance rendue par dégradation assonance en [en] désormais attribuée à termes péjoratifs, et destin funeste prédit par allitération [s] "gouffres amers" 3ème strophe : assonance en [e], allitération [c] et [g] crée cacophonie => accentue progressivement différance de l'oiseau Lecture analytique n°2 : "La vie antérieure"

Rimes embrassées. - Sonorités : harmonie sonore avec rimes riches « amassait/chassait » en alternance avec des rimes suffisantes « vagabondes/profondes ». Allitération des sifflantes [f]x2, [s]x4 et [ch]x2. Paronomase vers 4 avec « chevaux chassait » -> harmonie imitative, sonorités qui font entendre le souffle des chevaux en cavale. Allitération en [r]x8 qui évoque peut-être le râle des chevaux. -> Tableau en mouvement, dont le dynamisme vient du rythme croissant 4/6, de l'enjambement du vers 1

mal, 1857 1. Le champ phonique : a : rime riche.  B : rime suffisante. c : rime riche. D : rime suffisante. e : rime riche. Rime incluse F : rime riche. Rime incluse j : rime riche (ai/z/e) Allitération en s au vers 3, 7, 11 et 13 Allitération en v au vers 9 et 11 Allitération en r au vers 7 Assonance en a au vers 10, 12 et 13 2. Le champ morpho-syntaxique : Inversion au vers 1 et 2 : Comme les angles à l’œil fauve, Je reviendrai … Normalement, on dit : je reviendrai comme

l’absence de vers, de rimes . On note, par exemple, un travail sonore sur les allitérations en [s], très représentées, au point qu’elles envahissent le poème. On trouve, en effet, de très nombreuses occurrences, comme : « suis », « justice », « suis », « sorcières », « s’évanouir », « esprit », « espérance », « sourd », « féroce », « périssant », « crosse », « sable », « sang », « suis », « suis », « séché ». De même, les allitérations en [r] sont très présentes, notamment dans les occurrences suivantes :

reposent sur l'évocation de moments perdus. a. Un décor et une atmosphère qui semblent rassurants. Le poète nous installe dans une atmosphère close, à l'abri de l'hiver et du brouillard, dans la chaleur d'un "feu qui palpite et qui fume". Les allitérations (f, q, p) imitent le crépitement d'un feu dans la cheminée. Le lexique aux connotations positives accompagne ce sentiment: "doux", "palpite", "chantent", "bienheureuse", "vigoureux", "alerte et bien portante", "fidèlement". A noter le champ lexical

mais un poème. Il n’a pas besoin d’accompagnement musical, il contient lui-même une musicalité. Peut être grâce à ses allitérations. Les effets de sonorité sont multiples a l’intérieur du texte, avec notamment les allitérations (répétition d’une même consonne). Un vers tel que « vive et vivre verra » au vers 18 présente une allitération en (v) Le vers 24 présente lui une allitération en (k) SES ANAPHORES : Aux vers 35 et 36 l’anaphore de « lequel ». Aux vers 22 et 23 l’anaphore de « fou » qui

était nuit»(l.2) à «vers le réveil» - dans les deux derniers paragraphes le C.L du feu s'oppose à celui de l'eau => chute II- Une atmosphère onirique         A/ Évocation du rêve - C.L du rêve - allitération en [t] dans l'exergue «J'ai rêvé tant et plus, mais je n'y entends note.» - allitération en [r] pouvant faire penser à des ronflements dans l'avant dernier paragraphe «entre quatre cierges de cire» (l.13-14)         B/ Jeu sur la temporalité - les différents temps des verbes traduisant

la strophe. Il y a notamment une allitération avec le son {r} qui évoque le grondement et la tempête des djinns. Il y a aussi une assonance en {i} qui est un son aigu qui vrille les oreilles notamment avec les mots suivants : ouïr, si, crier pétiller, vieux. Ensuite, il y a une allitération du son {ont} qui représente le bruit lourd que font les djinns. Il y a également une allitération en {t} : lointaines, battement, sauterelle, pétiller, toit. Ces allitérations constituent des harmonies imitatives

d'hiver, - l’oxymoron : « … amer et doux… » ===> exprime un sentiment partagé, à consonance romantique. - L’explication de cette émotion trouble est à chercher dans le reste du vers : « Les nuits d’hiver… ». ===> assonance et allitération : « amer » « hiver » : mise en rapport des deux mots par les sonorités. La nuit et l’hiver représentent tous les deux l’obscurité et le froid. Ils expriment le renfermement et une forme légère d’appréhension. L’hiver représente souvent