Analyse De Situation Relationnelle Nevrose Hysterique

L’AIDE A LA TOILETTE D’UN PATIENT SOUFFRANT D’UNE NEVROSE HYSTERIQUE LA PHASE DESCRIPTIVE Je suis à mon deuxième stage dans une unité psychiatrique et j’ai à charge Mr J. Il est âgé de 48 ans et souffre d’une névrose hystérique. Cet après midi, je dois lui faire sa toilette. Il est comme d’habitude assis dans le couloir la tête entre les mains. Il est autonome mais a besoin d’aide dans la réalisation de certains actes de la vie courante tel que la toilette du dos et des membres inférieurs

déplacer (ou autre(s) mécanisme(s)) cette représentation vers une représentation substitutive. Cette dernière, investie de cette énergie, peut être une représentation du corps (( hystérie de conversion), une objet externe (( phobie), une compulsion (( névrose obsessionnelle), … - Introjection : Processus inconscient par lequel l'image, le modèle d'une personne, est incorporé, identifié au Moi ou au Surmoi. - Annulation (rétroactive) : tentative d’imaginer qu’un fait réel du passé ne se serait pas produit

trouver une explication à ses causes. Au XVIII Siècle l'étude de l'hystérie a été révolutionnée par les découvertes de ce neurologue qui travaillait à l'hôpital de la Salpêtrerie à Paris avec des hystériques. Il a recours à l'hypnose dans un abord expérimental pour prouver que les paralysies hystériques ne sont pas causées par une lésion organique, mais par ce qu'il appelle une « lésion dynamique fonctionnelle », qu'il est possible de recréer sous hypnose. En raison de la grande réputation de Charcot

ttt et données su bilan initial -dosage de la prolactine si indication -dosage clinique du ttt antipsychotique en cas de réponse clinique inadaptée, age extème , suspicion de mauvaises observances ou aide à sa surveillance, polymédicalisation, les analyse des EI . | ANTIDEPRESSEURS *Antidresseurs sérotoninergiques ou inhibiteur de la recapture de la sérotonine :(2 ème génération) - deroxat (paroxétine)20 à 40 mg / j  - prozac (fluoxétine) 20 à 40 mg /j

Les Névroses Jean-Louis Pedinielli et Pascale Bertagne 2002 - Coll. 128 – Paris : A. Colin Mots-clès : névroses, angoisse, obsession, anxiété, hystérie, névrose obsessionnelle, états anxieux Résumé : Ce livre présente les caractéristiques sémiologiques, nosologiques, cliniques et psychopathologiques des névroses, puis dégage les spécificités de chacun des troubles : hystérie(s), névrose obsessionnelle, troubles anxieux, hypocondrie, neurasthénie. Pour les auteurs, la psychopathologie se fonde

social net et une diminution nette des performances sociales, ‘napproprié. En évaluant la présence de ces expériences subjectives anormales et de ces comportements anormaux, il faut soigneusement éviter les faux posiifs, en particulier dans les situations impliquant des modes ‘expression ou de comportement déterminés par une culture ou une sous-culture donnée, et chez les Sujets présentant un niveau intellectuel inférieur & la normale. ociés & un affect émoussé ou B. Quand un sujet sépond

l’influence de l’environnement, les stimuli extérieurs, l’analyse expérimentale des conditions environnementales qui précèdent le comportement étant la base de ladite méthode. L’action doit pouvoir être comprise, prévue et contrôlée (changement de situation, de paramètres, observation et compréhension). c) La perspective cognitive Plus proche de l’approche freudienne, elle affirme que les comportements sont déterminés par la pensée : les gens agissent parce qu’ils pensent et selon des intentions

Watson (1920) : expérience du doudou sur les bébés Lien entre 1 stimulus neutre (ex : le bain) et qq chose qui créer de l'anxiété (ex : cri de la mère) Renforcement de la phobie : répétition, évitement → réduction de l'anxiété + ↑ intolérance à la situation = maintien de phobie | Prise en compte de plusieurs éléments : certaines prédispositions et processus cognitifs qui vont enclencher des dysfonctionnements : exagération, rétrécissement focal de l'attention... | Prise en compte de tout le

dissociatif. Ce concept est développé en 1924 en France par Minkowski. A la même époque, Claude décrit les schizoses et la schizomanie, qu’il situe entre les névroses et les psychoses. Il proposera en 1939 le concept de schizonévrose, développé également par Ey en 1955, caractérisé par la coexistence de comportements névrotiques polymorphes (hystérique, obsessionnel, psychopathique) et de décompensations psychotiques aiguës (délirantes ou discordantes). D’autres termes sont créés : la schizophrénie ambulatoire

cabinet médical et s'intéresse de plus en plus aux troubles psychiques. Il découvre l'hypnose avec Charcot à Paris. A partir de 1895, il élabore la théorie psychanalytique en travaillant sur les rêves, l'importance de la sexualité dans la formation des névroses et les possibilités thérapeutiques de l'association libre. Créateur de la science psychanalytique, il est l'auteur d'une œuvre monumentale, aux innombrables prolongements, se font sentir aujourd'hui, et qui influence de plus en plus profondément