Analyse La Mort De Marat

Recherche : MORT DE MARAT 1/ Présentation générale de l'oeuvre : -Titre : « Marat assassiné » -artiste : Jacques-Louis David (1748-1825) -Date de création : 1793 -Dimensions :165 × 128 cm -Lieu d'exposition : Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Bruxelles -Catégorie : Arts du visuel -Arts, ruptures, continuités Repèrage chhronologique : 1748 1793 1825 Naissance de Création de l'oeuvre

et la mort de Marat et en donne les causes. Comment Thiers, justifie-t-il le statut de Marat tout premier martyr de la révolution française ? Dans un premier temps, nous verrons que Marat est une victime de la révolution et du peuple. Puis, nous nous attacherons à la justification qu'opère Thiers pour légitimer sa mort. Enfin, il sera intéressant de comprendre la réflexion de l'auteur qui dépasse les simples faits. Ce premier temps, nous permet de mettre en évidence le statut de Marat. A travers

Travail de recherche personnel : Analyse de l’image Jacques Louis David La Mort de Marat 1793 165 x 128 cm Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-arts de Belgique Huile sur toile Impression d’ensemble : À première impression, l’image évoque de la froideur et de l’angoisse vu qu’on remarque qu’il s’agit d’un assassinat. On ressent aussi de la peur face au vide obscur en haut, comme s’il s’agissait d’une pièce vide avec uniquement le personnage mort dans sa baignoire. Portrait écrit de

l’œuvre[modifier | modifier le code] À la suite de l’annonce à la Convention de la mort de Marat le 13 juillet 1793, le député Guiraut réclame à David de faire pour Marat ce qu’il avait fait pour Lepeletier de Saint-Fargeau, à savoir, représenter la mort du conventionnel par ses pinceaux. Le14 novembre 1793, David offre à la Convention le portrait de Marat, dès lors exposé avec son autre et précédent tableau (aujourd’hui disparu) : La Mort de Lepeletier de Saint-Fargeau. En février 1795, le principe de restitution

 La mort de Marat Par David J-L David, La mort de Marat, 1793, Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts, 165 X 128 Jacques Louis David a peint de nombreuses œuvres dont La mort de Marat (ou Marat assassiné). Cette œuvre est conservée aux musées Royaux des Beaux-Arts de Bruxelles. Cette peinture date de 1793 et mesure 165cm par 128cm. C’est précisément une huile sur toile. Sur cette toile David représente Jean-Paul Marat assassiné dans son bain le 13 juillet 1793. Pour commenter cette

Jean-Paul Marat Jean-Paul Marat Jean-Paul Marat, né à Boudry (principauté de Neuchâtel) le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de Septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit

Titre à souligner: La mort de Marat Année de réalisation: 1793 Technique: Huile sur toile Dimensions: 165cm par 128cm Thème abordés: L 'assassinat de Marat Situer l'œuvre dans son contexte Marat, que l’on surnommait à l’époque « l’ami du peuple » fut assassiné le 13 Juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution. La Convention commanda à David cette toile au fond hautement politique. Marat était une figure du radicalisme

Devoir FR* Analyse de tableau L’Enlèvement d’Europe par François BOUCHER François BOUCHER L’Enlèvement d’Europe (1747) Huile sur toile, 160x193cm Musée du Louvre, Paris Introduction Boucher est un peintre représentatif du XVIII ème Siècle. L’Enlèvement d’Europe a été peint en 1747 lorsque Boucher est au fait de sa gloire. Louis XV offrit ce tableau à sa maîtresse Mme de POMPADOUR. A cette époque les salons et les boudoirs étaient décorés selon les goûts de la favorite qu’on

David 1. Présentation de l’artiste : Jacques Louis David, né en 1748 à Paris et mort en 1825 à Bruxelles, est un peintre français issu d’une famille bourgeoise d’artisans et de boutiquiers. A 18 ans, il entre à l’Académie Royal de peinture et de sculpture. Il reçoit, en 1774, le Prix de Rome. Il part en Italie et commence à se passionner pour l’Art Ancien. Il revient à Paris en 1780 et épouse Marguerite-Charlotte Pécoul. Il étudiait également la peinture du 17e siècle, il s’inspire des maitres

après l’échec de sa trilogie dramatique des Burgraves et la mort de sa fille, il se consacra à la politique. Il sera pair de France en 1845. Député en 1848, et s’exilera à Jersey puis à Guernesey après le coup d’état de Napoléon Bonaparte le 2 décembre 1851. Il devient alors un poète engagé contre celui-ci dans Les Châtiments en 1853. Rentré en France en 1870, partisan des idées républicaines, il fut un personnage honoré et officiel. A sa mort en 1885, ses cendre furent transférées au Panthéon de Paris