Anastasie De Restaud

roman. On voit le jeune homme découvrir la société parisienne, on vit avec lui les choix et les erreurs qu’il fait qu’il fait  . Au début on le voit lors du bal de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant où il rencontre pour la première fois Anastasie de Restaud, la fille ainé de Goriot. Puis un peu plus tard dans l’histoire, il accompagne sa cousine au théâtre ou il rencontre Delphine de Nucingen la deuxième fille de Goriot. Il deviendra un peu plus tard l’amant de celle-ci. Nous avons parlé d’Eugène

Suite aux visites de ses deux filles, Delphine et Anastasie, une image d’échec de l’amour apparaît : celle de Delphine avec le baron de Nucingen; celle d’Anastasie avec son mari, M. de Restaud et avec son amant, Maxime de Trailles; et celle de l’amour paternel du Père Goriot pour ses filles. Tout d’abord, dans le début de cet extrait, Delphine vient se plaindre auprès de son père à propos de sa situation financière et lui dit tous ses malheurs sans penser que cela pourrait le blesser. Elle raconte

ses forces - tout est usé surtout par la déception et par son âge. Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen se montrent à intervalles irréguliers. Elles servent de messagers pour le Père Goriot, en même temps ce sont elles aussi qui donnent les bals à Paris que Rastignac fréquente. La fonction du messager devient obvieux quand le Père Goriot demande à Rastignac de lui laisser sa veste car Rastignac avait frotté Anastasie lors d’une promenade. Les filles du père Goriot deviennent des idoles

significative pour faire décamper l'intrus. " Ah çà, ma chère, j'espère que tu vas me mettre ce petit drôle à la porte! " Cette phrase était une traduction claire et intelligible des regards du jeune homme impertinemment fier que la comtesse Anastasie avait nommé Maxime, et dont elle consultait le visage de cette intention soumise qui dit tous les secrets d'une femme sans qu'elle s'en doute. Rastignac se sentit une haine violente pour ce jeune homme. D'abord les beaux cheveux blonds et bien

fille d'un paysan de la région de Brie dont il a deux filles : Delphine et Anastasie. Dans le livre : Resté veuf avec ses deux filles , il développe le sentiment de la paternité jusqu'à la folie, d'où le nom de « Christ de la paternité » que lui donne Balzac.Il offre à ses filles une éducation bien au dessus de leur classe sociale. En se mariant, Delphine deviendra la baronne de Nucingen et Anastasie la comtesse de Restaud. Il transforme graduellement son amour pour ses filles en passion totale

famille provinciale modeste, est ébloui par la vie parisienne. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société. Il est aidé en cela par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l'invite à un bal où il rencontre Anastasie de Restaud. Il tente sa chance avec elle, mais est rapidement mis à l'écart quand il découvre le fossé culturel et surtout financier qui le sépare de la dame, de son mari et de son amant. Décontenancé, exclu des amitiés de ces trois derniers, misérable

Par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l’initie aux mystères du grand monde, Rastignac perce le secret du père Goriot : il s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie : elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates mais elles ont honte de la façon dont s’est enrichi leur père. Elles ne rechignent toutefois pas à accepter ses subsides lorsque les y forcent leurs problèmes financiers. Vautrin révèle

rendre heureuse ses filles en exauçant leurs moindres caprices ce qui entrainera leurs pertes et donc l’échec de sa mission. Cependant, Goriot va être le lien entre Rastignac et ses filles, leur objectif va devenir commun : rendre heureuse ; Mme Anastasie de Restaud et Mme Delphine de Nucingen Les hommes occupent donc une place essentielle dans le Père Goriot puisqu’ils ont tous à un moment du livre, une pierre à apporter à l’édifice de Rastignac

de sa tante, il est invité à l'un des bals que donne Mme de Beauséant, l'une des femmes influentes de Paris. Il est ébloui par cette soirée et s'éprend de la Comtesse Anastasie de Restaud. Tant que le Père Goriot mettait sa fortune à la disposition de ses filles, ses gendres le ménageaient. Il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen. De retour à la Pension Vauquer, Eugène décide d'apporter son soutien au Père Goriot. Ayant besoin d'argent pour faire son entrée

apparaît-il comme un personnage sublime ? Le Père Goriot peut être sublime par sa vieillesse mesurant sa sagesse, mais aussi ce personnage a élevé seul ses enfants. Il a dédié sa vie et sa fortune à ses deux filles : Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Le Père Goriot est en pleine admiration de ses filles: il les adore et leur donne tous ce qu'elles lui demandent de peur de leur faire de la peine s'il refuse. Il n'a pas hésité à se ruiné pour elles et ses gendres. Son dernier vœu est de