Anticommunisme

d’une économie plus en santé pour qu’ils puissent continuer à se développé économiquement et à convertir l’Europe, grandement appauvrie, au capitalisme. Derrière ses apparences d’entraide humanitaire, le discours du secrétaire d’État cache un anticommunisme bien réel avec l’existence d’«institutions libres». Il souhaite, en ne dirigeant sa politique «contre aucun pays, ni doctrine, mais contre la faim, la pauvreté, le désespoir et le chaos», rendre les autres États redevables envers lui et ainsi

contraction( les partis qui n’étaient pas soutenus par l’électorat s’unifiaient avec les autres partis – après 2000). Rokkan a formulé la théorie des clivages d’après laquelle on peut expliquer le système politique roumain( le clivage postcommunisme-anticommunisme et nationalisme-antinationalisme) et il donne aussi deux révolutions->nationale et industrielle (auxquelles Seiler ajoute encore une révolution->internationale). À cause des tensions entre les néocommunistes et anticommunistes se

Nelson Mandela et son ami Oliver Tambo dirigent le cabinet d'avocats Mandela & Tambo qui fournit un conseil juridique gratuit ou à bas coût pour les nombreux Noirs qui ne peuvent payer les frais d'avocats35. Nelson Mandela assouplit son fort anticommunisme chrétien pour demander l’union entre les nationalistes noirs et les Blancs du Parti communiste sud-africain dans le combat contre l'apartheid. Le Suppression communist act du gouvernement, qui considère comme communiste quiconque « cherche à provoquer

opportunistes, des profiteurs, des partisans de l’ordre nazi soutiennent l’occupant. B) L’Allemagne s’impose par la terreur et applique ses théories raciales * Les médias sont censurés et diffusent les thèmes de l’idéologie nazie : anticommunisme, anticapitalisme, antisémitisme et supériorité de la race aryenne. * La Gestapo traque les ennemis du Reich qui sont arrêtés, torturés, déportés, exécutés et des otages sont fusillés. * Les Juifs et les Tziganes sont tués ou déportés.

espagnole (nationalisme d''état), par le catholicisme et par l''anticommunisme. LE REGIME EN PLACE Caractéristiques du régime franquiste Nationalisme espagnol à outrance et abomination du séparatisme. Refus de tout droit politique, linguistique ou culturel aux régions (Catalogne, Galice et Paysbasque en particulier). Rejet du libéralisme. Restriction des libertés politiques : d’association,  de réunion,  d’opinion… Anticommunisme. Négation de la lutte de classes. National-catholicisme :

ainsi les dirigeants de la RDA, désignés comme des traîtres. Il se montre violemment hostile aux communistes accusés de soutenir un régime «totalitaire et dictatorial» et responsables de «divisions sociales», ce qui justifie leur rupture. Cet anticommunisme ne vient pas de naître, puisqu'il remonte à la fin de la Première Guerre mondiale (1918). L'assimilation du communisme à un système totalitaire et dictatorial revient implicitement à condamner le système soviétique. De plus, la déclaration du

sa société. Ces violences visent également de nouveaux ennemis politiques, les communistes, témoignant de la montée du communisme en Russie. La réputation grandissante du NSDAP ( parti national-socialiste) et de Hitler contribue à alimenter cet anticommunisme, par ses idées fascistes. Cette idéologie engendre par le biais des SA, des groupes armés de cette idéologie, une violence envers ces ennemis comme décrit à la ligne 13 « un combat de rue, entre communistes et nationaux-socialistes ». Cette nouvelle

races non européennes et surtout les Juifs, considérés à la fois comme inférieurs et dangereux, responsables des malheurs de l’Allemagne et du monde. L’Antisémitisme est donc le cœur de la pensée nazie. Par ailleurs, le Nazisme est également un anticommunisme non démocratique : Le chef ou «Führer » doit diriger le peuple. Enfin, le Nazisme considère la violence et la guerre commedes valeurs positives : il faut construire « l’espace vital »pour la race supérieure à l’est, au dépend des « sous hommes

capitaux U.S > faillites et montée du chômage. Progrès électoraux des nazis C . Hitler prend le pouvoir Echec d’un 1er essai : Le putsch de 1923 à Munich Jugé, emprisonné Rédige « Mein Kampf » (idéologie raciste) • • Hitler séduit :  Par son anticommunisme, les banquiers et les industriels  Par son nationalisme, les militaires  Tous ceux qui ont des difficultés : les chômeurs, les petits bourgeois… • Succès électoraux Violences des campagnes électorales (les S.A. Milice du parti nazie) et

que le professeur est disponible pour une aide ponctuelle. Questionnement « brut » possible : 1. Où se trouve la ville appelée Stalingrad ? 2. Quelles armées s’y affrontent ? Quand ? Pour quelle raison ? (étude du nazisme à remobiliser : anticommunisme, racisme, espace-vital) 3. Pourquoi le nom de cette ville comme la bataille qui s’y déroule sont-ils hautement symboliques ? 4. Par quels moyens chaque camp cherche-t-il à anéantir l’ennemi ? 5. Qui l’emporte à Stalingrad ? Le déchaînement