Artillerie

impératifs techniques et géographiques. Le but de la course est de s'emparer par la force, ou par la menace des navires ennemis et de leur cargaison. Cet objectif introduit donc certaines contraintes. Le navire doit être muni d'un armement conséquent en artillerie et en armes légères, avec poudre et munitions. Il doit être rapide et pouvoir chasser et rattraper les navires marchands ennemis et éventuellement semer un vaisseau de guerre ennemi. Le navire français passe pour être grand rouleur, grand marcheur

les conditions de l’atmosphère ; assombrissant ; teintes sévères »= obscurité. ---Tristesse : « pavés secs, ni boue ni eau, herbe ; s’y attriste ; mornes ; prison »= isolement, enfermement.  -La description est de plus en plus négative. Grosse artillerie balzacienne du cadre négatif, insistance ds la lourdeur des constructions répétitives (effet d’ennui, comme le lieu) : articles indéfinis, énumérations et lexique de la mort ou de la prison : « que des pensions […] ou […] ; de la misère ou de l’ennui

pertes de cette journée, sont de seize officiers et 542 hommes, tuées, blessées, ou disparut. Dans la soirée, vers vingt heures une contre-attaque allemande venant du N.O fut repoussée par les feux de notre infanterie, de nos mitrailleuse et de notre artillerie. 20 février : Journée du 20 : Le 20 à midi, la tranchée avait un profil suffisant et rejoignait par une ligne continu à gauche, vers le S.O le 83e, à droite le 124e dans la direction Sud du bois des trois sapins en même temps qu’un boyau de communication

bataille se situe sur le front de l'ouest. 2:Deux phases:Offensives allemandes puis contre offensive Française. 3:Il y a des poilus dans une tranchée. Ils les creusent en fonction de l'avancer de l'adversaire. 4:Les armes le plus meurtrier sont les artilleries,les obus,les mitrailleuse,les avions,les gaz. 5:a.Ce document est une lettre de Georges Gallois écrite en 1998 destiné a ses parents. b. Liquides enflammés,gaz asphyxiants et couteau. c. La mort est présente partout car tous ses camarades sont

« nuages bas de juillet » [pic] parole épistolaire du soldat (« j’écris ma lettre ») inscrite dans la réalité historique. Réalisme souligné par le registre de langue et certaines figures b) lexique réaliste, technique, familier, militaire « artillerie », « soldats », « boyaux », « boche »... + la formule banale et familière « il y a » c) les figures [pic] hyperboles (?) : des chiffres qui n’ont rien de poétique (« 46 000 soldats » [pic] jeux sur signifiants et signifiés : « grave/grosse »

Rembrandt (Rembrandt-Preis) à Salzbourg Otto Dix meurt le 25 juillet 1969 à Singen, près de Constance, des suites d'un infarctus. Sa tombe se trouve au cimetière de Hemmenhofen. Œuvres choisies[modifier | modifier le code] 1914 – Selbstbildnis mit Artillerie-Helm au dos de Selbstbildnis als Soldat(Autoportrait en soldat) (Kunstmuseum Stuttgart) 1915 – Selbstbildnis als Mars 1920 – Pragerstrasse (Rue de Prague) 1920 – Die Skatspieler ou Kartenspielende Kriegskrüppell (Les joueurs de skat) (Neue Nationalgalerie

et le charge de la réalisation de ces travaux. Raisons sont multiples : Volonté de remplacer les ruelles étroites du vieux Paris susceptibles d’accueillir des barricades par de grandes artères goudronnées, rectilignes et bordées de trottoirs où artillerie aura le dernier mot en cas de révolte + faire face à l’afflux de migrants + combat insalubrité avec remplacement d’immeubles vétustes du vieux Paris pour construire des maisons plus saines et aérées. Les réalisations majeures sont notamment la «

reviennent de la guerre avec des séquelles physiques, on les appelle les « gueules cassées » car ils sont souvent déformés suite à une explosion d’obus. Nous notons aussi une mort omniprésente que ce soit dans les tranchées ou en dehors à cause d’une artillerie plus moderne comme les gaz, les mitraillettes, etc… ce qui veut donc dire une guerre plus violente pour les soldats avec plus d’un million de mort pendant la bataille de la Somme seulement pour gagner moins de dix kilomètres. En 1917 nous remarquons

Les voisins se regroupent et suivent, heure par heure, la triste évolution de la Bataille de France. Des soldats français nombreux progressent à pied sur les petites routes du bocage virois vers l'Est et le Sud, avec un armement léger et sans artillerie. Ils ont été réembarqués à Dunkerque, sont passés en Angleterre et débarqués à Cherbourg. Le 17 juin 1940, aux environs de midi, nous entendons l'appel larmoyant et moralisateur du Maréchal Pétain annonçant sa demande d'armistice et proclamant

batailles, aussi bien les petites que les grandes comme celle de Verdun (février à décembre 1916) ou encore celle de la Somme (juillet à novembre 1916), la mort frappe toujours les soldats d’une violence ainsi que d’une barbarie horrible. La nouvelle artillerie, les mitrailleuses, les obus et autres nouvelles armes sont les premières causes de ces boucheries. Les combats aboutissent donc à de véritables hécatombes. Il y a donc une dose de violence et de souffrance quasiment insurmontables pour les soldats