Bambara

20 20 85 00 +225 20 20 84 00 Côte d'Ivoire 20 21 83 75 20 21 83 55 20 21 83 61 20 21 83 64 20 21 83 73 20 21 83 68 20 21 83 77 20 21 83 81 325 64 53 Français Malinké Baoulé Bété Guinée Bissau Mali Portugais Créole Français Français Bambara Sarakolé Français Haoussa Djerma Français Wolof Pulaar Sérère Français Ewé Kabyè Kotokoli +245 325 63 25 35231 35232 20 72 44 81 +223 20 22 25 41 +223 20 22 37 56 +223 20 22 37 57 +227 20 72 24 91 +227 20 72 24 92 +221 33 889 45 45 Niger

le statut foncier du domaine irrigable et le développement rizicole dans la vallée du fleuve Sénégal, Paris : CFD (Division des stratégies sectorielles et de l’environnement), 1995, 22 p. + annexes SIMARD P., Territorialité et autonomie des femmes bambara du Manghadié (Mali) : l’escompte de l’accès aux ressources naturelles, Université de Laval, Série conférence n° 23, 1990. TRACY M., L’Etat et l’Agriculture en Europe occidentale, Paris : Economica, 1986, 464 p. (coll. Economie agricole et agro-alimentaire)

devra considérer les “effets langue maternelle” de façons différentes. Ainsi un enfant qui parle anglais, allemand ou japonais, on aura coutume de dire qu’il est bilingue et que ce bilinguisme ne peut que lui profiter. De ceux qui parlent arabe, bambara ou soninké… on remarquera communément qu’ils sont lourdement handicapés du fait ce cette différence entre la langue parlée à l’école et celle de la maison. Cette confusion entre langue parlée et niveau socioculturel perdure qui constitue une valeur

africaine, il n’a de cesse qu’il n’ait découvert les traces de ses « ancêtres Bambaras ».305 Or, ceux-ci croient à la transmigration successive des âmes et à l’inexistence d’une barrière infranchissable entre le village des vivants et celui des morts. Que Césaire, qui s’enorgueillit de ses origines africaines retrouvées, ait souscrit à la théorie de la réincarnation, cela témoigne de la normalité. Quoi qu’il en soit, le Bambara auquel il s’identifie considère l’au-delà comme la demeure par excellence

colonisateur, leurs œuvres marquent la naissance d’une littérature nationale véhiculée par une langue nationale, soulignée par la présence du créole dans la littérature haïtienne, selon le modèle de la littérature africaine qui a introduit le peul, le bambara, le swahili, et beaucoup d’autres langues régionales. Cette présentation succincte de la littérature haïtienne suggère qu’elle est un tissage de différentes langues et cultures : le créole, le français, d’où la notion de métissage issue de la volonté

participons d’une culture, plus exactement nous sommes structurés, constitués en tant que sujets parlants à travers l’ensemble des conventions, des modèles de comportement, des règles de communication et de conduite qui définissent une culture (l’enfant bambara ne salue pas de la même façon son père dans la chambre duquel il pénètre, sa mère devant la porte de laquelle il s’accroupit du côté gauche, un vieillard ne sera jamais abordé de face mais sur son côté gauche ; l’énigmatique sourire japonais est un

cycle de formation était de 3 ans, comme en Guinée. Il a été ensuite porté à 4 ans, comme au Burkina Faso. Bien que les CED aient vocation à être étendus à l’ensemble du territoire, ils se trouvent actuellement concentrés dans l’aire linguistique bambara. L’ONG Plan International intervient aujourd’hui sur 84 CED. Au cours de l’atelier, la présentation des trois expériences a révélé des difficultés du même ordre. La formation insuffisante des enseignants, le manque de matériaux didactiques, les faiblesses

essentiellement d’activités agropastorales (72%). La densité de la population est de 9,2 hbts /km2. Dans le massif six principales ethnies sont recensées parmi lesquelles les Peulhs dominent avec 40% de la population suivis des Soninké et des Bambaras. Quant à la population, elle compte 11342 habitants avec 5452 Hommes et 5890 Femmes (service régional de la statistique) II.3. : Organisation sociale traditionnelle et fonctionnement La société reste traditionnelle et très hiérarchisée

zones  du Sud du pays, notamment dans la région naturelle de la Casamance (à majorité catholique avec souvent une forte tradition animiste). Ce sont les Diolas (3 %) qui en constituent la communauté la plus importante, les Mandingues (5,3 %) et les Bambaras (0,5 % chacun) qui constituent de petites communautés dans les régions périphériques proches du Mali ou de la Guinée. D’autres minorités ethniques habitent dans les montagnes du Sud-Est, tels les Bassari dans les contreforts du Fouta-Djalon. 83

se montre en réalité assez difficile à manipuler, et tout homme ne sait pas s’en servir correctement. Selon A. Schaeffner54, «  le hochet à percutants externes, signalé au début du xviiie siècle dans la région du Bénin, est employé au Mali (Bambara, 6. Des hochets-sonnailles destinés à rythmer les chants religieux d’un culte syncrétique dénommé kotokounou ou Foi africaine en pays agni (N’guinou, sous-préfecture de Bongouanou, centre-est de la Côte d’Ivoire). (Photo : Aka Konin, 2004.)