Barrage de Tucuruí

Mesure de débit à partir de déversoir 1-\ But du T.P : Le but de notre T.P est de comparer le Cd théorique avec Cd calculé a partir de l’expérience ainsi que de comparer le débit volumétrique avec le débit théorique calculé. 2-\ Généralités : Nous pouvons calculer le débit dans une section rectangulaire avec la formule suivante : Avec : Tandis que pour une section triangulaire la formule se change et qui redeviens :

TP3 Introduction Plusieurs méthodes servent à mesurer le débit :la méthode des seuils et jaugeurs, la méthode volumétrique, déversoir à mince paroi qui reste la méthode la plus précise. Objectifs L objectif est d’étudier la relation entre le debit et la charge à l’amont d’un seuil ainsi que de tracer des courbes de tarage pour differents types de deversoirs en mince paroi. Soit: h: Hauteur de la surface libre; Q: Débit de l’écoulement; h0: La hauteur de la paroi mince. On a:

Présentation d’une séquence d’apprentissage faisant partie du cours de formation géographique et sociale au 3 ème degré. 1. Choix du sujet Ayant l’eau dans le programme de 5ème ou 6ème pour thème, j’ai choisi comme question-problème « Est-ce que le barrage du Belo Monte participe au développement du Brésil ? ». La porte d’entrée choisie est donc géoéconomique (analyse des disparités spatiales) et fait référence au fait que le Brésil est considéré comme un pays émergent. Au départ d’une question de recherche

de la région de Belo Monte ont décidé de se mobiliser contre le projet d'un immense barrage. Ils dénoncent une catastrophe écologique pour l'environnement et la disparition sous les eaux de l'habitat de 40 000 personnes vivant dans le bassin de l'Amazone. France Courrier international Des membres de la tribu des Caiapós dont la culture et les moyens de subsistance sont menacés par la construction d'un barrage sur la Xingu River - photo de Terence Turner. Des membres de la tribu des Caiapós

allés en priorité aux méga-projets énergétiques ou d’infrastructures (barrages, centrales thermiques, routes, voies ferrées…), très souvent inadaptés et mégalomaniaques, que l’on a surnommés “ éléphants blancs ”. Le but n’était pas d’améliorer la vie quotidienne des populations sur place, mais plutôt de parvenir à extraire les richesses naturelles du Sud et les transporter facilement vers le marché mondial. Par exemple, le barrage d’Inga au Zaïre a permis à partir de 1972 de tirer une ligne à haute

de Bahia. Grâce notamment aux barrages d’Itaipu (le barrage d'Itaipu est la plus grande centrale hydroélectrique du monde après le barrage des Trois-Gorges en Chine, achevé en 2006. Il ne fait néanmoins pas partie des plus grands barrages du monde. Il est situé sur le fleuve Paraná et produit 25 % de l'énergie électrique consommée par le Brésil et 90 % de celle qui est consommée par le Paraguay. La capacité de production de la centrale est de 12,6 GW) et de Tucurui (au sud-est du bassin amazonien

agricole brésilien progresse du sud du pays vers le centre-ouest et qu’un nombre croissant d’agriculteurs spécialisés dans la culture du soja s’installent au Paraguay dans les décennies qui suivent : on les appelle les Brasiguayens. La construction du barrage binational d’Itaipu crée aussi un appel d’air pour la main-d’œuvre tandis que la relative proximité linguistique entre l’espagnol et le portugais contribue à l’émergence d’un langage véhiculaire syncrétique : le « portugnol ». Mais c’est surtout