Barricade

amis l'attendent sur une barricade. Il se dirige spontanément vers le quartier d'où proviennent des bruits de combat. En effet ce jour-là Paris connaît l'une des plus graves émeutes populaires du dix- neuvième siècle. Une foule immense et en colère assiste aux funérailles du général Lamarque, un des derniers survivants de l'armée napoléonienne. Très vite le peuple se retrouve face aux forces de l'ordre, c'est l'insurrection. Clameurs et coups de feu. Les premières barricades se dressent dans les petites

premières grilles d’arbre en fonte sont arrachées » (p.74). 2.3 La nuit des barricades La nuit du 10 mai, appelée la « nuit des barricades » constitue un élément important lors de Mai 68, car la manifestation d’étudiants qui eut lieu cette nuit là engendra les plus longs affrontements (« Mai 68, 2008, p.119). Selon Anzieu (1969), la violence atteint ce soir là son paroxysme (p.71). Des étudiants et des jeunes érigent des barricades dans le Quartier Latin. On en compte une soixantaine. Malgré le mot d’ordre

amis l'attendent sur une barricade. Il se dirige spontanément vers le quartier d'où proviennent des bruits de combat. En effet ce jour-là Paris connaît l'une des plus graves émeutes populaires du dix-neuvième siècle. Une foule immense et en colère assiste aux funérailles du général Lamarque, un des derniers survivants de l'armée napoléonienne. Très vite le peuple se retrouve face aux forces de l'ordre, c'est l'insurrection. Clameurs et coups de feux. Les premières barricades se dressent dans les petites

|Marius est un jeune avocat qui va rejoindre le camp des | | | |révolutionnaires. Gravement blessé sur les barricades, il va être | | | |secouru par Jean Valjean. | |Fantine |[pic]

pas de structure strophique. La première et la dernière phrase forment un tout et pourraient constituer le résumé de ce texte : "Sur une barricade, au milieu des pavés, la mort stupide eut honte, et l'officier fit grâce". On aurait pu tout simplement mettre comme titre à ce poème "La barricade". Le texte : Sur une barricade, au milieu des pavés Souillés d'un sang coupable et d'un sang pur lavés, Un enfant de douze ans est pris avec des hommes, Es-tu de ceux-là

Le paradoxe entre l'atmosphère de la guerre et la phrase «il avait l'air de s'amuser beaucoup » donne le ton sur l'état d'esprit de Gavroche, c'est un enfant qui vit dans la guerre, mais qui conserve l'insouciance de son âge. Les antithèses «La barricade tremblait, lui il chantait» et «Il jouait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort» renforce notre idée sur le fait qu'il ne se rend pas compte de la gravité de la situation, ainsi que les métaphores «Ce n'était pas un enfant, ce n'était pas

d'actualité, et non un thème mythologique. Ceci est typique de la peinture romantique. E. Delacroix avait déjà travaillé sur les thèmes politiques avec des tableaux comme Le massacre de Chios. L'identification des différents personnages escaladant la barricade permet de faire un tour d'horizon des différents acteurs de la révolution de 1830. Références de l’œuvre : Titre Artiste (nom, dates, origine) Identification Dimensions Techniques LA LIBERTE GUIDANT LE PEUPLE EUGENE DELACROIX PEINTURE ROMANTIQUE

entre les mois d'octobre et de décembre 1830. La scène se passe à Paris, comme l'indiquent les tours de la cathedrale Notre-Dame qui émergent des fumées du dernier plan. Une foule d'émeutiers franchit une barricade. Au premier plan, associés aux matériaux–- pavés et poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L'un gît nu. Un ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une

TEXTE A - Victor Hugo, Les Misérables, 4e partie, livre 12, 1862. Gavroche, un gamin de Paris, aide les insurgés qui construisent une barricade, au cours de l’émeute parisienne de juin 1832. Gavroche, complètement envolé et radieux, s’était chargé de la mise en train. Il allait, venait, montait, descendait, remontait, bruissait, étincelait. Il semblait être là pour l’encouragement de tous. Avait-il un aiguillon ? oui certes, sa misère ; avait-il des ailes ? oui certes, sa joie. Gavroche était

amis l'attendent sur une barricade. Il se dirige spontanément vers le quartier d'où proviennent des bruits de combat. En effet ce jour-là Paris connaît l'une des plus graves émeutes populaires du dix-neuvième siècle. Une foule immense et en colère assiste aux funérailles du général Lamarque, un des derniers survivants de l'armée napoléonienne. Très vite le peuple se retrouve face aux forces de l'ordre, c'est l'insurrection. Clameurs et coups de feux. Les premières barricades se dressent dans les petites