Bassin amazonien

l’écriture : il ne permet que d’admirer sans entrer en action. Même si le vieux connaît bien la forêt, il ne fait que la contempler. Alors que quelqu’un qui sait écrire peut agir de bonne ou de mauvaise foi. Comme des livres, il faut lire la forêt amazonienne sans la perturber, apprendre à vivre en harmonie avec celle-ci. Il est aussi important de noter que le nom du village El Idilio se traduit L’Idylle de l’espagnol qui signifie « amour tendre et naïf ». « (…) et prit la direction d’El Idilio, de sa

primaires ont été convertis en terres agricoles entre 1990 et 2003 »[1]. Depuis la prise de conscience mondiale des problèmes environnementaux, que ce soit sur le réchauffement climatique ou la perte de biodiversité, la menace pesant sur la forêt Amazonienne a pris une toute nouvelle dimension. Surnommée le « poumon de la planète », de nombreux efforts ont été consentis pour lutter contre la déforestation. Pour cela le gouvernement a mis en place depuis les années 2000 une politique de régularisation

relation des documents. Dossier p 40-41 : lire et exploiter une carte thématique, une anamorphose. Video forêt amazonienne : prise de notes et confection d’un schéma. Vidéo visible sur internet : http://www.dailymotion.com/video/xp1yrx_la-deforestation-le-cas-de-la-foret-amazonienne-le-dessous-des-cartes_news Repères (lieux, évènements, …) Brésil, ses 5 régions, Sao Paulo, forêt amazonienne Population en 2010, prévisions 2050 et 2100 Chine, barrage des Trois-Gorges rapport Bruntland (1987) Protocole

Il est dédié à son ami Chico Mendes, défenseur de la forêt amazonienne, assassiné le 22 décembre 1988. Luis Sepulveda, qui a vécu quelques temps dans une tribu Shuar, observe avec ironie dans ce roman « d’aventures », l’ignorance et la stupidité des colons, qui s’installent sur ces terres sans aucune connaissance ni respect de la nature, et des dégâts qu’ils provoquent. 2-L’histoire Ce roman nous entraîne en pleine forêt amazonienne et nous raconte l’histoire d’un vieil homme, Antonio José Bolivar

agricole (doc. 9, 11, 14) ? 3. Le chemin encore long vers uneagriculture durable. Page 70 du manuel 8. En quoi l’extension des cultures commerciales et de l’élevage entraîne-t-elle un recul de la forêt amazonienne(doc. 15, 16) ? 9. Pour étudier plus précisément le recul de la forêt amazonienne, reportez-vous aux exercices du Point-Net 2, pages 132-133. 10. Comment lesautorités interviennent-elles pour tenter de contrôler les implantations en Amazonie et de réduire la déforestation (doc. 16, 17)

novelas de amor) est un roman chilien de Luis Sepúlveda, publié originellement en espagnol en 1992 et traduit la même année par François Maspero pour les Éditions Métailié. Le cadavre d'un homme est retrouvé sur une pirogue, en pleine forêt amazonienne, et les habitants d'El Idilio accusent aussitôt les indiens. Antonio José Bolivar reconnaît pourtant là l'œuvre d'un félin. Ce passionné de romans d'amour va s'enfoncer dans la forêt, à la poursuite de la bête. Sommaire [masquer] 1 Résumé

indifférenciée. A l'intérieur de beaucoup de pays il peut exister de très grandes disparités en fonction des variations climatiques ou des densités de population. Un bel exemple nous est donné par le Brésil, premier pays (grâce aux précipitations amazoniennes) pour l'estimation de la ressource en eau mais qui abrite aussi avec le Nordeste une des régions où sévissent de façon récurrente de sévères sécheresses. Il faut par ailleurs compter avec les variations par rapport à la moyenne qui peuvent être

humains)[22], la pénurie des ressources en eaux douces susceptible d'affecter l'agriculture[23], la destruction et lafragmentation des écosystèmes, notamment la déforestation qui se manifeste par la destruction des forêts tropicales (forêt amazonienne, forêt du bassin du Congo, forêt indonésienne)[24], ainsi que la diminution de la biodiversité qui diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due

que cette déforestation progresse moins rapidement depuis que l’État fédéral brésilien a pris le problème à bras le corps (présidence de Lula) ; 4. que l’enjeu est à la fois mondial et national (Brésil), à l’échelle d’un continent (la forêt amazonienne s’étend sur 4,2 millions de km2, dont 3,7 au brésil, soit un espace aussi vaste que l’Europe occidentale) ; 5. que l’enjeu est à la fois environnemental, économique, politique et social et, en premier lieu, le sort des populations autochtones

l'épuisement des ressources naturelles (matières premières, énergies fossiles pour les humains)[15], la destruction et la fragmentation des écosystèmes, notamment la déforestation qui se manifeste par la destruction des forêts tropicales (forêt amazonienne, forêt du bassin du Congo, forêt indonésienne)[16], ainsi que la diminution de la biodiversité qui diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due