Beaucoup de bruit pour rien

penser à rien. L'esprit libre, l'âme en paix et le corps reposé. Je somnolais. J'étais Calme. Triste ou heureux ? Je n'en savais trop rien. J'avais l'impression d'être seul. Ce n'était pas déplaisant mais je me sentais abandonné. Je pensais que je pouvais régner sur tout et sur tout le monde. Personne pour me contredire ou pour me dire ce que je devais faire. J'aurais voulu que ce moment dure une éternité. C'était si parfait. Un monde que personne ne peut atteindre. Un monde inconnu de beaucoup...

réveillé par je ne sais quelle émotion confuse et bizarre. Je ne vis rien d'abord puis, tout à coup, il me sembla qu'une page du livre resté ouvert sur ma table venait de tourner toute seule. Me posant des questions, je regardai autour de moi pour essayer de répondre à ce phénomène. Volets fermés, porte fermée, tout paraissait normal. Je sortis de mon lit et me diriga vers la porte de ma chambre, en essayant de ne pas faire de bruit. En ouvrant la porte, j'aperçus la lumière de la cuisine allumée. Persuadé

vision très péjorative de la guerre, on peut le voir dès la ligne 23 « rien que du feu et puis du bruit », « mais alors un de ces bruits comme on ne croirait jamais qu’il en existe », là on voit que le bruit prend une grande partie, il fait surement allusion aux obus qui explosent comme il le dit de nouveau à la ligne 25 « plein les yeux, les oreilles, le nez, la bouche » . On voit que le bruit perturbe beaucoup l’auteur « le bruit est resté longtemps dans ma tête », « les bras et les jambes qui tremblaient

fais spécialement venir du nord font l’affaire, mais là… Les cauchemars que je faisais, étaient vraiment très bizarres, ils étaient noirs, tout ce que je voyais c’est le noir qui ne finit plus, et aussi les bruit qui étais les uns encore plus étranges que les autres. Dedans, je suivais les bruits sans vraiment savoir ou je vous, et chaque cauchemars je sentais quelque choses qui s’approchait de moi, mais, venait-t-il en bien ou en mal ? J’ai raconté au docteur exactement ce que je sentais a chaque

chaude journée venait de s’achever sur Honolulu. J’en avais profité avec ces vingt-neuf degrés pour aller surfer toute l’après-midi. Je me rappelle très bien des vagues : elles étaient immenses, un courant incroyable était présent aussi, mais je n’avais rien remarqué d’anormal au fait du climat qui entourait l’île d’Hawaii. Plus tard, dans la soirée, j’étais rentrée à mon appartement, poser ma planche de surf et grignoter quelque chose qui me tienne à l’estomac. Aussitôt avoir avalé une petite salade sur

lundi Je m’appelle Raimond, je suis un citron. Je vit dans un citronnier en haut d‘une colline a côté d‘autre citronnier, je passe mes journée a ne rien faire a par murir est bronzé au soleil. La nuit j’ai très froid car je suis dehors même si j’ai une peau très dur est très épaisse je n’ai pas très chaud. J’ai déjà essayer de me cacher derrière une feuille mais cela ne me donnait que très peu de chaleur. J’ai de plus en plus froid la nuit car je suis habitué a avoir chaud la journée. Je me demande

comparer deux œuvres littéraires, l’une française et l’autre allemande, traitant, au moins en partie, des conditions de vie et de combats des soldats de la Première Guerre mondiale. En l’occurrence : Voyage au bout de la nuit (Cliquer) et A l’ouest rien de nouveau. (Cliquer) Cependant, nous aurions pu en choisir d’autres, en effet, nous avions également pensé à Orages d’acier de Ernst Jünger, Les champs d’honneur, de Jean Rouaud, La main coupée de Blaise Cendras, Le Feu d’Henri Barbusse, La Peur

rond et tranquille, et de beaux yeux noirs un peu obliques. Mais c'était surtout ses cheveux qu'on remarquait, des cheveux brun cendré qui changeaient de couleur selon la lumière, et qui paraissaient presque gris à la tombée de la nuit. On ne savait rien de sa famille, ni de sa maison. Peutêtre qu'il n'en avait pas. Toujours, quand on ne s'y attendait pas, quand on ne pensait pas à lui, il apparaissait au coin d'une rue, près de la plage, ou sur la place du marché. Il marchait seul, l'air décidé, en

Il est terrible le petit bruit de l’oeuf dur cassé sur un comptoir d’étain il est terrible ce bruit quand il remue dans la mémoire de l’homme qui a faim elle est terrible aussi la tête de l’homme la tête de l’homme qui a faim quand il se regarde à six heures du matin dans la glace du grand magasin une tête couleur de poussière ce n’est pas sa tête pourtant qu’il regarde dans la vitrine de chez Potin il s’en fout de sa tête l’homme il n’y pense pas il songe il imagine une autre tête

• connaître Victor Hugo Identification du document Donner le texte aux élèves, leur demander de quel genre de texte il s'agit, de qui il est, d'où il est extrait, et de quelle année la contemplation : le fait de regarder quelque chose avec beaucoup d'attention contempler : regarder sans penser à autre chose que ce qu'on regarde leur poser des questions sur la structure du poème et faire une phrase pour récapituler ce poème de Victor Hugo est extrait des Contemplations ; il est composé