Bellême

Aristide Jacques Boucicaut naît le 15 juillet 1810 à Bellême et décède le 26 décembre 1877 à Paris. C’est un entrepreneur et un homme d’affaires français. Aristide Boucicaut a débuté sa carrière commerciale comme simple commis chapelier dans la boutique paternelle. Il quitte sa ville natale en 1828 pour s’associer à un marchand d’étoffes ambulant. Il s’installe à Paris en 1829, où il entre comme vendeur au Petit Saint-Thomas, un magasin de nouveautés fondé par Simon Mannoury, rue du Bac. Ce magasin

ARISTIDE BOUCICAUT Négociant et philantrope français (Bellême 1810-Paris 1877). Ayant acquis en 1852 le Bon Marché il en fit le plus grand magasin de Paris sous le Second Empire, et se consacra à de nombreuses activités philantropiques, poursuivies après sa mort pa sa veuve Marguerite Boucicaut née Guérin (1816-1887), fondatirce de l'hopital Boucicaut à Paris 15ème. Def Philantrope : Personne généreuse et désintéressée 160 ANS D'ESPRIT RIVE GAUCHE Le Bon Marché Rive Gauche fête ses 160

Église Saint-Sauveur de Bellême Église Saint-Sauveur Le clocher-porche en façade. Le clocher-porche en façade. Présentation Période ou style classique Type Église paroissiale Architecte Divers, dont Jean Palastre puis Léonard Manguin. Date de construction XVIe , XVIIe siècles Propriétaire Commune Destination actuelle Culte catholique Protection Inscrit MH (1936, tour) Inscrit MH (1987) Géographie Pays France Région Basse-Normandie Localité Bellême Localisation Coordonnées

L’entreprise a) Présentation Le journal Le Perche fait partie du groupe Publihebdos. C’est un journal hebdomadaire, paraissant tous les mercredis, et couvrant l’ensemble de l’ancien comté du Perche, c’est-à-dire la région de Mortagne-au-Perche, de Bellême, de Mamers et de Nogent-le-Rotrou. [pic] b) Les différents acteurs de l’entreprise. Durant ce stage, j’ai pu observé non seulement le service de rédaction mais aussi le service commercial. Mon maître de stage, M. Moriceau, est le rédacteur

mêmes choses mais encore en moins cher, et surtout y a plein de petites tailles !!! Pas comme à Paris. Pour la bouffe, aller obligatoirement gouter le porc cuit dans le jus de coquillages (tellines) c’est absolument succulent. Passer également à Bellem pour acheter des Pasteis (patisserie délicieuse à la crème, parsemée de cannelle). Et enfin, acheter obligatoirement de la “ginja”, alcool de cerise local. Voili voilou, maintenant retour à la réalité, au travail, à mon diplôme qui approche et

proposer toute sorte de marchandises, mais aussi d'accueillir une clientèle qui déambulerait librement. C’est Aristide Boucicaut qui ouvrira le premier Grand Magasin en 1852 : Le Bon Marché Aristide-Jacques Boucicaut, né le 14 juillet 18101 à Bellême (Orne) et mort le 26 décembre 1877 à Paris, est un entrepreneur et homme d'affaires français. Créateur en 1852 à Paris du premier grand magasin, Le Bon Marché, il est le pionnier du commerce moderne et son exemple sera rapidement copié en France

forgeron, puis carrossier-charron ; il y monta une entreprise de location de voitures hippomobiles. En 1824, il s'était marié à Félicie Colle, fille d'un capitaine de l'Empire. 

Après sa communion, Charles Garnier est envoyée dans un institut de Bellême (Orne), tenu par un ami de la famille, afin de parachever son éducation. De retour à Paris, il poursuit ses études scolaires puis prend des cours à l'école de dessin. Le jeune élève est formé successivement chez Louis-Hippolyte Lebas et Jules André

faisant partie du Maine ou encore de l'Orléanais. Le Perche s'étend sur trois régions administratives (Basse-Normandie, Pays de la Loire et Centre), La partie bas-normande, forme le sud-est du département de l'Orne, autour de Mortagne-au-Perche et de Bellême. La Basse-Normandie est riche de zones humides, qu'elles soient littorales, comme la baie des Veys ou du Mont-Saint-Michel, ou terrestres, comme les marais arrière-littoraux ou de fonds de vallées alluviales mais aussi tourbières et prairies humides

connu dans le monde entier et emploie 1 788 salariés qui servent 18 000 consommateurs par jour. C’est de cette réussite spectaculaire qu’est née l’expression «la bosse du commerce», à cause de celle qui affligeait Aristide Boucicaut. Né en 1810 à Bellême, ce Normand, fils d’un chapelier, travaille d’abord comme commis dans la boutique paternelle, puis devient marchand d’étoffes sur les marchés. D’imposante stature et barbu, il «monte à Paris» à 19 ans et est embauché comme employé au «Petit Saint-Thomas»

du commerce moderne et de notre société de consommation actuel. Il jouera même un rôle important dans l’émancipation de la femme, qui sera la clef de son succès. Rien ne prédisposait Aristide Boucicaut à un destin exceptionnel. Né en 1810 à Bellême, petite commune située au cœur de la campagne normande, il est le fils d’un chapelier qui tient boutique dans la rue principale. À l’âge de ses 18 ans, le jeune homme quitte son village natal pour aller vendre des articles de bonneteries dans les