Aristide Boucicaut

Aristide Jacques Boucicaut naît le 15 juillet 1810 à Bellême et décède le 26 décembre 1877 à Paris. C’est un entrepreneur et un homme d’affaires français. Aristide Boucicaut a débuté sa carrière commerciale comme simple commis chapelier dans la boutique paternelle. Il quitte sa ville natale en 1828 pour s’associer à un marchand d’étoffes ambulant. Il s’installe à Paris en 1829, où il entre comme vendeur au Petit Saint-Thomas, un magasin de nouveautés fondé par Simon Mannoury, rue du Bac. Ce magasin

 ARISTIDE BOUCICAUT (1810-1877) Historique : Aristide Boucicaut est né le 14 Juillet 1810 dans l'Orne, il est décédé le 26 Décembre 1877 à Paris. Il était un entrepreneur et un homme d'affaire. Il débuta sa carrière dans le commerce dans la boutique de son père comme commis chapelier. En 1845, il rencontra les frères Videau à Paris et se mit à travailler dans leur mercerie fraîchement ouverte appelée « Au Bon Marché », située à l'angle de la rue de Sèvres et de la rue du Bac. Les frères

 Aristide Boucicaut : Le Bon Marché À Paris, en 1852, Aristide Boucicaut ouvre Le Bon Marché, premier grand magasin au monde. Toutes les femmes accourent, se pressent pour découvrir ce lieu magique ou l’abondance prospère. Pour les bourgeoises de cette époque, Le Bon Marché est le paradis : Elles quittent leur foyer et sortent seul de chez elles (ce qui n’est pas courant au XIXème siècle). L’apparition du magasin est un tel choque, que l’écrivain Émile Zola décide de lui consacrer un

Aristide Boucicaut : Qui était Aristide Boursicaut ? Il est né en 1810 à Bellême (photo d’où c’est). Fils d’un chapelier, il travaille d’abord comme commis dans la boutique de son père, pour ensuite devenir marchand d’étoffe sur les marchés. A ces 19 ans, cet homme d’imposante stature (Montrer une photo) et barbu, décide de monter à Paris, et trouve un emploi dans un petit magasin de nouveauté « le petit saint thomas ». A cette époque il est important de savoir que les boutiquiers de la capitale

architecture. À quels autres bâtiments construits à cette époque peut-on les assimiler ? 12. Retrouver le nom des grands magasins dont Zola a pu s’inspirer. Décrire l’intérieur et l’extérieur de l’un d’eux. 13. Qui est Aristide Boucicaut et quels sont ses huit commandements ? Retrouvez-les dans les documents présentés. 14. L’émergence de la publicité : quel autre mot employait-on pour la désigner ? Prendre une affiche et la décrire avec le plus de précision possible

ARISTIDE BOUCICAUT Négociant et philantrope français (Bellême 1810-Paris 1877). Ayant acquis en 1852 le Bon Marché il en fit le plus grand magasin de Paris sous le Second Empire, et se consacra à de nombreuses activités philantropiques, poursuivies après sa mort pa sa veuve Marguerite Boucicaut née Guérin (1816-1887), fondatirce de l'hopital Boucicaut à Paris 15ème. Def Philantrope : Personne généreuse et désintéressée 160 ANS D'ESPRIT RIVE GAUCHE Le Bon Marché Rive Gauche fête ses 160

nombreux emplois. Toutcela a eu pour but d'augmenter la population et donc la consommation. Le but de ces Grands Magasins étaient de proposer toute sorte de marchandises, mais aussi d'accueillir une clientèle quidéambulerait librement. C’est Aristide Boucicaut qui ouvrira le premier Grand Magasin en 1852 : Le Bon Marché. Les grands magasins inaugurent l’ère de la consommation. Sous le second empire, les premiers grands magasins ont été créés, comme le Bon Marché et la Samaritaine. A la différence

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Emile Zola est né à Paris, le 2 avril 1840 et est mort le 29 septembre 1902. Un de ses loisirs est de réaliser des travaux littéraires. Il devient romancier et entreprend une série de romans reliés entre eux suivant le procédé favori de Balzac, par la réapparition des mêmes personnages sous le titre général : Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire (1871-1893), qui raconte le destin d’une famille sur cinq générations. Au Bonheur des Dames est le onzième

Chapitre I. Denise Baudu, jeune orpheline d’une vingtaine d’années, part s’installer à Paris avec ses petits frères, Jean et Pépé, dans l’espoir de travailler pour son oncle Baudu au sein de sa petite boutique Au Vieil Elbeuf. Malheureusement, celui-ci n’a pas de place pour elle et on lui propose de postuler dans le grand magasin de la place, Au Bonheur des Dames. Chapitre II. Tôt le matin, Denise se rend Au Bonheur des Dames, mais effrayée, n’ose y entrer tandis qu’à l’intérieur une inspection