Bicêtre

jean-baptiste Pussin. Le texte porte donc sur les idées, les pensées, les réflexions de jean-baptiste Pussin sur la profession d’infirmier et sur son évolution au fil du temps. Jean-baptiste Pussin est un ancien tanneur qui arriva malade à Bicêtre en 1771. Il fut soigné puis guérit. Il commença à travailler à l’hospice et fut promut surveillant dans le service des aliénés agités puis il travailla en tant que surveillant de Pinel qui remarqua que sa façon de procéder avec les aliénés était

Villejuif Marolles en Brie Le Perreux Nogent sur Marne sur Marne Champigny sur Marne Bry sur Marne Villiers sur Marne Fontenay sous Bois St Mandé Vincennes St Maurice Joinville le Pont Maisons Alfort Le Ivry sur Seine Kremlin Bicetre Gentilly Arcueil Cachan Villejuif Vitry sur Seine l'Hay les Roses Chevilly Larue Rungis Thiais Choisy le Roi Orly Villeneuve le Roi Villeneuve St Georges Valenton Limeil Brevannes Boissy st Leger Sucy en Brie Santeny Villecresnes

Introduction : Le narrateur toujours incarcéré (emprisonné) à Bicêtre assiste au ferrement des forçats qui partent vers le bagne de Toulon. C’est le geôlier qui lui a proposé cette distraction et qui l’amène dans une cellule d’où il peut voir la scène qui se déroule dans la cour de la prison. I. Du réel au fantastique 1) Le ferrement : une réalité C’est un rite cruel qui précède le départ des forçats et il a lieu deux fois par an à Bicêtre et attire des spectateurs. L’opération consiste à poser au

Toulon : Le narrateur raconte qu’un jour la prison était très agitée par le départ des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce spectacle à travers une fenêtre, le narrateur s’attarde sur la description de la grande cour de Bicêtre, des bâtiments vétustes, des fenêtres grillées et principalement sur les visages des prisonniers qui regardent à travers ces fenêtres. Le spectacle du départ commence à midi avec l’entée (=greffer) d’une charrette transportant des chaînes servant

comprendre un texte. Étude du chapitre XXII Le Dernier Jour d’un condamné. Victor Hugo Un milieu de roman ou le paroxysme de l’enfer. Seul face au monde et à la société, le condamné dénonce dans ce passage qui relate son transfert de Bicêtre à la Conciergerie l’indifférence et la niaiserie humaine. C’est à travers des personnages absurdes et caricaturaux qui, par leurs propos et leurs attitudes, sont en décalage total avec la situation présente que le narrateur oriente le regard du lecteur

Misérables 1• Le dernier Jour d’un condamné, est un roman écrit par Victor Hugo paru en 1829, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. 2• Cette oeuvre fait partie du romantisme. 3• Résumé : Dans la prison de Bicêtre, un condamné à mort (le narrateur) attend le jour de son exécution. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamné à mort. Jour après jour, il note ses

| |• Hôpital Kremlin Bicêtre | |78, rue du Général Leclerc 94270 Le Kremlin Bicêtre / Tél : 01 45 21 32 98 | |

La situation retenue dans le cadre de ma formation en soins infirmiers, s’effectue dans l’hôpital de Bicêtre situé au Kremlin-Bicêtre (94) avec près de 954 lits. La situation se passe de nuit en gastro-entérologie, le service propose la prise en charge intégrée, multidisciplinaire des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (endoscopie, biothérapies, chirurgie

I-La situation du texte : Le texte se situe au début du roman à thèse « Le dernier jour d’un condamné »de Victor Hugo. Le narrateur lui-même le personnage principal, captif dans une prison « Bicêtre » pense à sa vie passée et la compare à sa vie présente. II-Identification du texte : Genre : extrait d’un roman à thèse Type : discours et narration Personnage : le condamné Registre : pathétique III-Axes de lectures 1) L’énonciation : -L’émetteur : Un condamné à mort, l’indice personnel

ses camarades" morts au front, lui dont la vie s'apparentait à un roman. Ses obsèques nationales seront célébrées lundi 17 mars au matin. Lazare Ponticelli, lors d'une cérémonie commémorant l'Armistice de la Première Guerre Mondiale, au Kremlin-Bicêtre le 11 novembre 2006. Au lendemain du décès, le 20 janvier, de l’avant-dernier survivant de la Grande Guerre, Louis de Cazenave, Lazare Ponticelli avait finalement décidé d’accepter des obsèques nationales, « au nom de tous ceux qui sont morts, hommes