Bien intermédiaire

Question 3 : Les points fort de l’entretien sont les fait que la vendeuse a su pousser la cliente à expliciter ça demande ce qui lui a permis d’identifier directement le besoin et proposer un produit répondant au besoin. Par la suite elle sut très bien répondre aux objections et proposer un produit supplémentaire. Cette situation ne présente pas de points faibles. Question 4 : Dans ce cas non il n’y a pas de correction a présenter sauf si dans le cas présent une carte de fidélité est existante

parallèlement à la droite initiale. Vers la gauche s’il y a augmentation des prix et vers la droite s’il y a diminution des prix. * Il peut y avoir une modification du prix relatif (Prix A) des biens : PrixA/PrixB , prix d’un bien exprimé par un autre bien. ATTENTION ! Ce n’est qu’une simplification de la réalité. B – Comment choisir ? 1- Choix individuel Il y a plusieurs manières d’effectuer un choix : en fonction de nos envies, de l’humeur

lui donne de la prestance. La caractérisation de "joli garçon" au début, est développée par un portrait physique qui énumère des traits positifs : "grand, bien fait, d'un blond châtain [...] avec des yeux bleus". Les cheveux bouclés et la moustache, qui en "moussant" appelle les baisers, mentionné deux fois, lui donne un caractère viril. Bien que pauvre, il porte avec élégance ses vêtements de qualité médiocre : "un chapeau à haute forme", mais "défraîchi" et un costume bon marché mas qui attire

|FICHE DESCRIPTIVE D’ACTIVITE PROFESSIONNELLE | | | | | |Nom de l’élève : AUBERT Thibaud

demande, pour un produit donné la confrontation détermine un prix dit prix d’équilibre qui pourra satisfaire les acheteurs et les vendeurs. 1. La demande Loi de la demande : « Toutes choses égales par ailleurs, la quantité demandée d’un bien diminue lorsque son prix augmente ». l’élasticité – prix Une variation donnée à partir de pA (niveau de prix cher) provoquera une moins forte variation en (%) de la quantité demandée d’une variation au point pB (niveau de prix le plus bas)

la réalisation de notre potentiel est restreinte par la chance à un individu de naitre dans un milieu pauvre. Premièrement, dans la société capitaliste, une dépendance face à l’argent est envisageable chez certains individus, puisque c’est le bien nécessaire à toutes les habitudes primitives d’un humain. En effet, en prenant pour exemple l’activité qui nous coûte le moins cher : dormir. Cette activité montre l’individu dans sa facette la plus libre qu’elle soit. Or, celle-ci lui contraint très

Question 2 : La politique à adopter est la politique d’écrémage car nous savons, d’après l’énoncé, que notre entreprise a déjà une certaine notoriété sur le marché des cosmétiques (sur le marché féminin notamment). Etant dans « le peloton de tête des cosmétiques», elle bénéficie déjà d’une place acquise et reconnue sur le marché. De part sa notoriété, l’entreprise sera déjà connue de sa nouvelle cible (les hommes ), mais elle devra tout de même réussir pour fidéliser les hommes à sa marque

est libre naturellement, ne connaît ni obstacles ni entraves ; ce qui n'en dépend pas est faible, esclave, exposé aux obstacles et nous est étranger. 3.— Donc, rappelle-toi que si tu tiens pour libre ce qui est naturellement esclave et pour un bien propre ce qui t'est étranger, tu vivras contrarié, chagriné, tourmenté ; tu en voudras aux hommes comme aux dieux ; mais si tu ne juges tien que ce qui l'est vraiment — et tout le reste étranger —, jamais personne ne saura te contraindre ni te barrer

LA CONSOMMATION DES MÉNAGES * Consommation des ménages (n.m) : elle mesure les dépenses en biens et services. Analyse des documents : * Document n°1 : Les dépenses en berne, mais pour différentes raisons. Nature : Article de journal – Source : Journal du Net – Date : 23 février 2010 Idées générales : L’attitude des Français face à la crise, leurs moyens de consommation. * Document n°2 : Dépenses de consommation : ce qui a changé en 50 ans. Nature : Article de journal – Source :

Théorie cardinale de l'utilité Les précurseurs de la révolution marginaliste (Walras, Jevons, Menger) concevaient l'utilité comme la sensation de plaisir associée à la consommation d'un bien. Ils défendirent l'idée d'une mesure cardinale de l'utilité en supposant que le consommateur était capable de donner une évaluation de l'utilité que lui apportait toute combinaison de biens. Cette faculté était l'exact miroir de la capacité supposée du producteur à prédire la production pour toute combinaison