Boulevard de Rochechouart

le boulevard ». Malgré que la chambre de Gervaise soit misérable, elle est cependant l'une des plus belles chambres. Cela montre bien que le milieu est misérable. Toujours une chose pour deux : « la malle de Germanise et Lantier », « pour les enfants, un lit de fer », « Veau à deux têtes » ! => Pas assez de moyens financiers pour avoir des choses personnelles . Lieux existants : bal du Grand-Balcon, boulevard de la Chapelle, barrière Poissonnière, hôtel Boncoeur, boulevard de Rochechouart

mais la manière dont celui-ci était orchestré lui rappelait que la routine n’est pas inéluctablement l’une des sources de l’ennuie quotidien mais celle du bonheur constant. Lantier continuait sa route et aperçu au loin les boucheries du boulevard Rochechouart, où devant celle-ci stationnaient des groupes de bouchers en tabliers sanglants. Leurs corpulences et leurs tabliers recouvert de sang lui rappelait avec une étrange joie ce petit lutin grincheux vêtue d’un costume rouge et blanc du nom de

ville, qui ne semble pas être le sien. Zola effectue un gros plan sur les enfants. Le mot "brunisseuse» l10 (Personne qui polit les métaux) montre que Gervaise appartient donc au milieu ouvrier. Le boulevard extérieur est un quartier de Paris (boulevard de la Chapelle l43, de Rochechouart l50). Gervaise vit donc dans un quartier bien réel de Paris "Hôtel Boncoeur" l47, " Mont de Piété "l30. … et naturaliste Le narrateur s’efface et plusieurs point de vue son proposés à son personnage

se déroule l’action cependant, le narrateur parle de deux villes espagnoles : « Oviédo » (l. 33) et « Salamanque » (l.51). Chez Zola, nous pouvons supposer que l’action se passe à Paris puisque deux boulevards parisiens sont évoqués, le boulevard de la Chapelle à la ligne 43 et le boulevard Rochechouart à la ligne 50. Ici le cadre temporel n’est pas clairement défini, nous savons juste que l’action se déroule entre deux et cinq heure du matin : « Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du

question au chapitre premier, était située à peu près à l’emplacement de l’actuel métro Barbès), à l’est par la ligne de chemin de fer du Nord et la rue de la Chapelle, au nord par la rue Doudeauville, au sud par le mur d’octroi que prolonge le boulevard de la Chapelle. C’est déjà un lieu inquiétant puisque de l’Hôtel Boncœur (le mal nommé), Gervaise entend, parfois, « des cris d’assassinés » derrière le mur d’octroi et, de sa fenêtre, « elle fouill(ait)e » les « coins sombres, noirs d’humidité

Située sur le boulevard de Rochechouart, dans le quartier de Pigalle, la salle de café-concert a été construite en 1887 à l'emplacement du Bal de la Boule noire (édifié en 1822)[1]. D'une capacité d'environ 1000 places, elle se spécialise immédiatement dans la revue. Elle est agrandie en 1894 par l'architecte Henri Grandpierre, avec un plafond peint par Adolphe Léon Willette. Elle accueille les spectacles de Mistinguett, Maurice Chevalier, Yvonne Printemps, Gaston Ouvrard, Arletty, Raimu ou Max Linder

étouffer les légers cris qui lui échappaient. Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs, au loin. L'hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle, à gauche de la barrière Poissonnière. C'était une masure de deux étages, peinte en rouge lie de vin jusqu'au second, avec des persiennes pourries par la pluie. Au-dessus d'une lanterne aux vitres étoilées, on parvenait à lire entre

Lyon Part Dieu Gare Paris Gare de Lyon TGV n° 6624, voiture n°x, place n°x TGV n°6669, voiture n°x, place n°x Arrivée Paris Gare de Lyon à 18 h 00 Arrivée Gare Lyon Part Dieu à 21 h 20 Hébergement : * Hôtel Ibis Sacré Cœur 18ème 100, Boulevard Rochechouart 75018 PARIS Tél : (+33)1/46069917 Fax : (+33)1/42554226 Réservation au nom de Philippe Auchère et Stéphanie Lefort Il est situé dans le Nord de Paris, au pied de la Butte Montmartre, à 500 M de la Basilique du Sacré Cœur et à 2 KM des

semaines plus tard -Lantier abandonne Gervaise et ses deux fils. -Gervaise n’accepte pas la demande en mariage de Coupeau, mais quelques semaines après elle l’accepte. Découverte -d’un cabaret, situé au coin de la rue des Poissonniers et du boulevard de Rochechouart. - Découverte d’une maison colossale rue de la Goutte d’or. III (p111à145) Juillet 1850, Paris Mariage de Gervaise et Coupeau, qui se passe mal, cérémonie bâclée. La noce visite le Louvre. Découverte de deux lieux : -Le moulin d’argent

mentalement aussi précises soient-elles. Ainsi, dans « L'Assommoir » de Zola, trouve-t-on cette phrase extrêmement réaliste : « Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvre. Elle regardait à droite, du côté du boulevard du Rochechouart, où des groupes de bouchers, devant les abattoirs, stationnaient en tabliers sanglant ; et le vent frais apportait une puanteur par moments une odeur fauve de bêtes massacrées. » Cet extrait, indiquant avec précision le lieu et l'attitude