Carbonatation

c) Le transport III) L'extraction du jus a) Le lavage b) Le découpage c) La diffusion IV) L'épuration des jus a) Le chaulage b) La carbonatation c) La filtration V) L'extraction du sucre a) Décalcification et élaboration b) Cristallisation c) Stockage en silos

non sucre apporté par le jus brut. c. PREMIERE CARBONATATION Dans cette opération, le jus chaulé passe dans un bac à carbonatation où il y a un distributeur de CO2. Cette étape a comme but: L'élimination de l'excès de chaux prévenant du chaulage et du préchaulage. La formation de CaCO3 qui permet d'absorber les non sucres et matières colorantes. La libération du saccharose avec abaissement de pH. d. DECANTATION Après la première carbonatation, on obtient un jus trouble qui est acheminé vers

reliée à un moteur de 1 CV. L'eau pompée est introduite dans le saturateur à travers une série de clapets anti-retour. La vitesse fixe de pompage assure que la quantité correcte d’eau est acheminée au carbonateur et qu’à son tour le taux de carbonatation entre l'eau et le gaz carbonique (CO2) est maintenu. Soupape régulatrice de pression: La fonction de cette soupape est de veiller à ce qu’une pression fixe de CO2 est bien maintenue dans le carbonateur. En effet, c'est le coeur de la machine

(donc de carbonatation) La chaux en poudre correspond bien aux pratiques actuelles du bâtiment (dosage en volume, mélange à la bétonnière...) La chaux en pâte permet l'obtention de mortier plus "gras", moins sujet à la désication rapide, des enduits ou des badigeons carbonatant plus vite et mieux donc plus résistant. Par contre, son dosage est plus difficile, le mélange avec le sable plus délicat sauf à utiliser l'outillage adapté (malaxeur planétaire, rabot…). La meilleure carbonatation de la chaux

Casablanca ………………….………………...7 Quelques données générales ………………………………………….….……..8 Chapitre .II : Fabrication du sucre ……………………………………………………………………………….10 Raffinage ….……………………………………………..….……………………………..11 Affinage ………………………………………………………….…………………………12 a) Carbonatation ………………………………………………………………..12 b) Filtration …………………………………………………………………………13 c) Décoloration……………………………………………………………………14 d) Evaporation ……………………………………………………..…………….15 e) Cristallisation ………………………………………………………………….16 f) Malaxage ………………………………………………………………………

stockage. Ce sucre est très soluble dans l’eau et il est d’autant plus soluble lorsque la température de celle-ci est plus élevée. Le saccharose diminue sensiblement l’acidité des composants acides ou aigres, de plus, il a été démontré que la carbonatation n’affectait en rien la saveur sucrée d’une boisson si sa concentration en saccharose est comprise entre 2 et 16%. Le saccharose s’hydrolyse facilement en milieu acide et s’invertit en glucose + fructose, ce qui augmente la molarité des sucres

température 85 °C, où le jus circule dans un sens opposé à celui d’un courant du lait de chaux. Le lait de chaux réagit avec les impuretés pour donner des précipités. La carbonatation : * Le jus doit maintenant être purifié avant d’ être utilisé pour la production de sucre. Cela se fait par un processus appelé la carbonatation, où un courant de dioxyde de carbon réagit avec le jus chaulé suivant la réaction : Ca(OH)2 + CO2 CaCO3 + H2O Donc, on obtient

le sucre affiné, ce sirop s’appelle la fonte. Epuration : 1) Carbonatation : Cette étape a pour but d’enlever les impuretés internes telle que (cendres..) ça commence par l’ajout de lait à chaux et le CO2 qui après des réactions chimiques se transforme en cristaux de calcaire appelé aussi boue qui contient la plupart des impuretés internes ainsi qu’un peu de coloration. 2) Filtration : Après la carbonatation la liqueur de sucre et les cristaux de calcaire passent par des filtres

l’eau et dans l’air, elles forment des carbonates .Cette contamination est appelé carbonatation. La carbonatation peut avoir lieu de trois manières différentes : * par fixation de l’anhydre carbonique sur les substances alcalines utilisées dans la préparation. * Par le dioxyde de carbone soluble dans l’eau. * Par le dioxyde de carbone de l’air, au cours de la conservation. Ce risque de carbonatation rend le titre des solutions alcalines instable et leur conservation difficile. Il

constitue l’agent de défécation connu depuis plus de 100 ans. C’est le seul appliqué en combinaison avec un chauffage aussi bien en sucrerie de betterave qu’en sucrerie de canne. C’est en 1859 que deux français ont élaboré le procédé dit de « double carbonatation » qui est encore à la base de la technique actuelle de l’épuration. Depuis, de nombreuses études et de nombreux brevets (plus de 700) ont gravité autour du procédé de base. Malgré ces recherches, il reste encore imparfaitement connu et il est difficile