Carillon

cloche comme une allégorie de la spiritualité. Cʼest en ce sens quʼelle incarnerait lʼIdéal. Le « cri religieux » poussé par la cloche au vers 8 renforce cette hypothèse. ! Dans le poème, lʼapparition de la cloche est précédée du « bruit des carillons » (v. 4). Ces derniers se marient mieux avec la douceur qui règne dans le premier quatrain puisque leur son est moins sonore que celui de la cloche. Ils apparaissent comme une présence réconfortante, annonciatrice de la cloche, qui se manifeste

comme une question de fait, portait une forte ressemblance à Handicaper Général, une femme nommée Diana Moon Glampers. « Si j'étais Diana Moon Glampers, » dit Hazel. « J'aurais des carillons le dimanche simplement des carillons. Le genre d'honneur de la religion. » « Je pourrais penser, si c'était seulement des carillons, » dit George. « Eh bien, peut-être faire des voix réels, » dit Hazel. Je pense que je ferais une bonne Handicaper Général. » « Bien comme quelqu'un d'autre, » dit George. « Qui

chaises s’avancent jusque près du milieu du plateau. Un arbre poussiéreux près des chaises de la terrasse. Ciel bleu, pas loin de midi, en été. Jean et Béranger iront s’asseoir à une table de la terrasse. Avant le lever du rideau, on entend carillonner. Le carillon cessera quelques secondes après le lever du rideau. Lorsque le rideau se lève, une femme, portant sous un bras un panier à provisions vide, et sous l’autre un chat, traverse en silence la scène, de droite à gauche. A son passage, l’Epicière

précisée, des indices montrent que l'on est dans l'époque contemporaine des spectateurs : Le spectateur de 1980 se trouve donc face à un monde qui lui ai très proche. - Avant même le lever de rideau, « on entend carillonner » l.20, élément sonore qui a une double fonction : Le carillon remplace les trois coups traditionnels du théâtre ( Ionesco n'aime pas les conventions du théâtre traditionnel, le théâtre d'avant garde remet en cause les traditions ). De plus, ce son agit comme un signal qui marque

 amer  et  doux,  pendant  les  nuits  d’hiver,   D’écouter,  près  du  feu  qui  palpite  et  qui  fume,   Les  souvenirs  lointains  lentement  s’élever   Au  bruit  des  carillons  qui  chantent  dans  la  brume.     Bienheureuse  la  cloche  au  gosier  vigoureux   Qui,  malgré  sa  vieillesse,  alerte  et  bien  portante,   Jette  fidèlement  son  cri

arbre poussiéreux près des chaises de la terrasse. Ciel bleu, lumière crue, murs très blancs. C’est un dimanche, pas loin de midi, en été. Jean et Bérenger iront s’asseoir à une table de la terrasse. Avant le lever du rideau, on entend carillonner. Le carillon cessera quelques secondes après le lever du rideau. Lorsque le rideau se lève, une femme, portant sous un bras un panier à provisions vide, et sous l’autre un chat, traverse en silence la scène, de droite à gauche. A son passage, l’Epicière

de souffrance on site la scène en hiver > saison de la mort/vieillesse « souvenirs lointains » fuite du temps + « lentement » langueur 3. Confrontation Ambiance ǂ Chute chaleur « feu qui fume » allitération en [f] carillon > musique gaie « brume » soir > heure du carillon > attire le poète à l'extérieur foyer > à l'abri du froid/monde extérieur/hostile Ambiance rassurante ǂ Chute violente champ lexical de la mort > annonce la mort comme un glas « d'immenses efforts » hyperbole « au bord

phoques au lieu de les FRAPPER Ce nest pas vraiment une chasse les bbs sont frapps rptitivement jusqu ce que le cerveau soit broy. Jennifer Zaplitny, The Carillon 1995, Site Internet du journal tudiant de lUniversit de Rgina Mme si la POPULATION de phoques est ABONDANTE, y aurait-il quand mme une MENACE DEXTINCTION Jennifer Zaplitny, The Carillon 1995, Site Internet du journal tudiant de lUniversit de Rgina  Selon Matthew Taylor, le Canada ne peut quENDOMMAGER sa RPUTATION INTERNATIONALE et ses

La cloche fêlée II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume, Les souvenirs lointains lentement s'élever Au bruit des carillons qui chantent dans la brume. Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante, Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis Elle veut de ses chants peupler l'air froid des nuits

Subtilement opérée tout au long du 1er quatrain. ⇨ Image de la cloche annoncée par les "carillons" (v.4), liés habituellement à l'idée de fête, d'où le verbe "chanter" que lui applique le poète. ⇨ D'autre part, le chant des cloches est associé, ds ce quatrain, à la remémoration rêveuse du poète : il en constitue le contexte sonore : resurgissement des "souvenirs lointains", "au bruit des carillons". Ainsi, la cloche est indissociable pour le rêveur d'un mouvement de retour sur lui-même