Cas Areva Pestel

III. L’activité du groupe : 15 IV. Métier du groupe : 16 2.4.1 Hypermarché : 16 2.4.2 Supermarché : 16 2.4.3 Hard – Discount : 18 2.4.4 Proximité et autres : 19 V. Stratégie du groupe : 19 PARTIE III: ANALYSE PESTEL DE MARCHE CHINOIS 22 I. Analyse facteur politique. 22 3.1.1 Commerce extérieur 22 3.1.2 Echange bilatéraux 24 II. Analyse facteur économique. 24 3.2.1 General 24 3.2.2 L'investissement direct étranger (IDE) en Chine

taux de croissance de 5,3 % en 2012 et 5,6% en 2013, contre 5% en moyenne avant la crise. Si l'on exclut l'Afrique du sud, le taux de croissance de la région devrait atteindre 6%. Toutefois, ces prévisions pourraient être révisées à la baisse en cas de dégradation de l’économie mondiale. Lors du premier trimestre de 2012, les exportations en Afrique ont rebondi et augmenté de 32% alors qu’une baisse de 11% avait été enregistrée lors du dernier trimestre de 2011. La croissance s'est généralisée

effets d’image, ou des complémentarités de gamme, ou des cessions internes (réels ou potentiels) » (Atamer et Calori, 1993) Globalement, le métier va servir d’outils de communication auprès des différentes parties prenantes de l’organisation. Ex. Le cas l’Oréal Schéma 7 L’Oréal s’est développé dans un métier qui est la cosmétique. Conf Schéma. DAS 1 L’Oréal ex L’Oréal Keyrastase DAS 2 Démocratiser les produits de la Cosmétique en faisant un produit de consommation de tous les jours : Maybeline,

nécessaire de mettre en évidence quelques acquisitions et cessions ayant modifié le périmètre du groupe. * 2001 : Alcatel cède sa participation dans Alstom (24%). Alcatel réduit sa participation dans Thalès. Cession de la participation d’Alcatel dans Areva (soit 2.2 %). * 2002 : Alcatel cede ses activités microélectroniques à STMicro. Sortie du Capital de Thomson. Alcatel réduit sa participation dans Thalès la ramenant à 9.7%. Le groupe ramène sa participation dans Nexans à 15 %. * 2003 : Acquisition

attentes exprimées ci-dessus. Sa première qualité est évidemment le souci permanent des auteurs d’accessibilité et de clarté à destination d’un public de non-spécialistes. La sélection des concepts, des outils et des méthodes d’une part et les nombreux cas qui l’illustrent, essentiellement issus de l’industrie, d’autre part, y contribuent grandement et renforcent son caractère pratique. Les deux premiers chapitres, sur la stratégie et l’offre, abordent des thèmes perçus et connus des ingénieurs mais le

. . . . . . . . . . . . . . . .73 .74 .76 .76 .79 .82 PHASE 1 – IDENTIFICATION DES RISQUES . . . . . . . Comment identifier les risques d’un projet Des projets uniques . . . . . . . . . . . . . . . . Comment se prémunir du risque pays ? . . Le cas des projets informatiques . . . . . . . . . . . . PHASE 3 – ÉVALUATION DE L’EFFICACITÉ DU DISPOSITIF DE MAÎTRISE RISQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .91 DES PHASE 4 – DÉTERMINATION DES PLANS D’ACTION

38 .42 .44 .51 .55 .59 .66 .69 .73 .74 .76 .76 .79 .82 PHASE 1 – IDENTIFICATION DES RISQUES . . . . . . . Comment identifier les risques d’un projet Des projets uniques . . . . . . . . . . . . . . . . Comment se prémunir du risque pays ? . . Le cas des projets informatiques . . . . . . . .. ? .. .. .. PHASE 2 – ÉVALUATION DE LA CRITICITÉ DES RISQUES . . . . . . Prise en compte de la criticité des risques . . . . . . . . Dommages collatéraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Évaluer

impôt « historiquement décalé et insupportable », elle se démarque des écolos et exprime tout haut les réticences de beaucoup de Français. « Oui, il faut un dispositif juste et efficace », argumente-t-elle dans nos colonnes, ce C qui n’est pas le cas, selon elle, du projet du gouvernement. Attaquée par Daniel Cohn-Bendit et les siens, Royal s’est défendue avec acharnement sur tous les fronts. Démontrant encore sa légendaire pugnacité dans la bataille. La voilà une nouvelle fois dans le collimateur