Certificat d'études primaires

et le gibier, il était aussi adjoint au maire de l’arrondissement. Robert Desnos passe tout son enfance et son adolescence dans le quartier Saint-Merri un quartier populaire des Halles. Il fait sa première communion en 1911 et obtient son certificat d’études en 1913, mais au collège Robert Desnos est un mauvais élève car les cours ne l’intéressent pas, il préfère surtout lire les ouvrages de Victor Hugo et Charles Baudelaire. Il décide de quitter le collège et devient vendeur dans une importante

un milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour

dans un milieu musulman traditionnel1. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 19572. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour

HASSIBA BEN BOUALI Née le 18 janvier 1938 à El-Asnam (aujourd'hui Chlef), Hassiba Ben Bouali y entama ses études primaires, qu'elle poursuivit à l'école Aïn Zerga, à Alger, où ses parents s'étaient installés en 1947. Elle obtient le certificat d'études primaires en 1950 et entre au lycée Pasteur (aujourd'hui annexe de la Faculté Centrale), où elle y étudia jusqu’en deuxième année. De nombreux témoignages la présentent comme une adolescente particulièrement éveillée, curieuse et sensible. C'est ainsi

dans un milieu musulman traditionnel1. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé dupremier gouvernement sénégalais en 19572. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale deRufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour

un milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de laSanté du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans,elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionalede l’enseignement pour

dans un milieu musulman traditionnel1. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 19572. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour

milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour

les jeunes filles africaines outre cette opposition de mentalités,c'est un véritable fossé culturel qui se creuse entre mère et fille, surtout si celle ci fait des études supérieures. La mère, souvent analphabète, ou ayant au plus un certificat d'études primaires, ne parle pas assez le français pour pouvoir se débrouiller seule et reste doublement dépendante: de son mari, sur le plan financier, car peu de femmes africaines travaillent; de ses enfants pour toute démarche nécessitant une communication

un milieu musulman traditionnel[1]. Son père, Amadou Bâ, est devenu ministre de la Santé du premier gouvernement sénégalais en 1957[2]. Elle intègre une école française et se fait remarquer par ses résultats. Par conséquent, après son certificat d'études primaires obtenu à 14 ans, elle entre à l’École normale de Rufisque en 1943, qu’elle quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Elle enseigne pendant douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour