Charles Ier

La rivalité de François 1er et Charles Quint en 1537 : En quoi ce texte nous montre t-il que la rivalité entre François 1er et Charles Quint ne pourra mener à une paix durable ? I. Une adversité dû à des différences A. François 1er et Charles Quint : deux personnalités opposées. B. Deux politiques différentes II. Une trêve qui leur serait profitable A. Une trêve bénéfique pour le peuple B. Un réequilibre des forces III. Une paix impossible A. Une jalousie omniprésente B. Une volonté

François Ier, roi de France de 1515 à 1547, et sa première épouse Claude de France. Premier représentant de la dynastie des Valois-Angoulême. Ce monument est le plus important des tombeaux de Saint-Denis. En 1548, Henri II charge l'architecte Philibert DELORME de l'exécution du mausolée de ses parents ; que Philibert DELORME exécute avec l’aide de Pierre BONTEMPS et François MARCHAND. L'architecture est ordonnée comme un arc de triomphe romain en référence aux campagnes militaires de François

François Ier, Charles Quint et Henri VIII ont eu différents comportements avec les femmes, bien que ces relations aient des similarités. François Ier était un homme qui aimait énormément les femmes mais son grand amour reste sa mère, Louise de Savoie. Ils étaient très proches, celle-ci étant devenue veuve à dix-neuf ans, (son mari ne sera donc pas celui qui gouvernera la vie du futur roi de France), elle se consacre à l’éducation de ses deux enfants. Cette femme avait de grandes ambitions pour son

1649. Elle eut pour conséquence la décapitation de Charles Ier (le 30 janvier 1649) et la mise en place d’une république, le Commonwealth d'Angleterre, qui dura jusqu’en 1660, date à laquelle la monarchie fut remise en place. L'Angleterre durant la guerre civile (1642-1650) Depuis 1603, un même roi régnait sur trois royaumes : l’Angleterre, le Pays de Galles et l’Ecosse. Ces royaumes avaient néanmoins des parlements différents. En 1625, Charles Ier, reprenant les idées de son père, veut unifier ces

important pour saisir les difficultés de la transition entre la République des années 1650 et le retour d’un monarque au style politique particulier[2]. Samuel Pepys, ancien secrétaire de deux ministres de la République mais désormais fidèle du roi Charles II doit donc affronter les difficultés de cette transition tout en justifiant ses choix passés au regard des événements de 1663. C’est en effet à cette date que se situe l’extrait que nous allons étudier. En 1663, Samuel Pepys exerce un office

normal que ce droit lui revînt. Et qu’il décidât désormais de se passer d’un roi. Une quarantaine de conseillers, dont Cromwell, remplirent la fonction exécutive laissée vacante par Charles Ier. Les Ecossais ne l’entendaient pas de cette oreille ; les états du parlement d’Edimbourg proclamèrent sans attendre Charles II, fils du défunt, roi de leur pays. Ou plutôt, de façon certes menaçante, « roi de la Grande-Bretagne ». Si la monarchie était britannique, la république devait l’être aussi. Ce fut

l’objet était le commerce et la colonisation sur les bords du Saint-Laurent. La même année, la guerre se déclara entre la France et l’Angleterre. La compagnie commandita alors une expédition commandée par David Kirke, qui fut chargé par le roi, Charles Ier, d’évincer les Français du « Canada ». Accompagné de ses frères, Lewis, Thomas, John et James (ce dernier appelé parfois Jarvis), David Kirke partit avec trois vaisseaux, probablement escortés d’une flottille amenant des colons à la colonie projetée

Royaume-Uni → Trois nations indépendantes avec des souverains différents, férocement hostiles, voir haineuses les unes envers les autres : Angleterre, Ecosse, Irlande (Galles et Cornouailles ne sont pas indépendantes à cette époque) Jacques Ier Stuart 1603 : Roi d’Ecosse + Roi d’Angleterre + Irlande → Un seul homme pour trois couronnes et trois nations (trois royautés séparées) = ingérable En outre jusqu’en 1802 (traité d’Amiens) les souverains britanniques prétendent être

monumentales, dont celle des Quatre Fleuves, offrant à la vue de tous le déchaînement des forces vives du baroque, exerceront une grande influence sur l'urbanisme romain et sur l'organisation des places publiques dans les autres capitales européennes. Charles Ier d'Angleterre lui fit faire sa statue. Ses premières oeuvres seront influencées par l'art hellénistique. Il s'installera à Rome, en 1605, et devient l'architecte en chef de Saint-Pierre en 1629. Le Bernin mettra son talent au service de sept papes

ans, et dont l'oraison funèbre est la plus fameuse. Les oraisons funèbres ne sont qu'au nombre de 12 ; ce sont des chefs-d'œuvre d'éloquence qui sont sans modèle depuisl'Antiquité. Zoom sur l’œuvre Henriette d'Angleterre est fille du roi Charles Ier d'Angleterre et d'Écosse et de la reine Henriette de France. Elle est donc la petite-fille d'Henri IV, la nièce deLouis XIII et la cousine germaine de Louis XIV. Bossuet était le directeur de conscience de la princesse. Elle meurt en Juin 1670