Chemin des Dames

La mémoire des indigènes I. Les soldats indigènes durant la guerre Durant la première guerre mondiale, les bataillons noirs ont été jetés dans toutes les grandes offensives de la guerre, dont Verdun en 1916, et le Chemin des Dames en 1917. Ils ont pourtant été très loyalistes : on n’a compté qu’une seule mutinerie, en 1917. Les qualités militaires des tirailleurs étaient louées par leurs supérieurs et les hommes politiques, ainsi que par la presse qui leur courage

armes sont beaucoup plus puissance et causes des dégâts plus importants surtout dans les premières lignes avant de traverser le no man ’ s land. Ce qui est prouvé par les perte de l’ offensive de la Somme qui est de 400 000 morts et celle du Chemin des Dames d’avril à octobre 1917 près de 500 000 morts. Les nouvelles armes sont la cause principale des nouvelles blessures. Les canons sont utilisés car ils tirent plus loin, les obus sont plus gros, les mitrailleuses, les lance-flammes, les grenades

qui en ont assez de la guerre surtout en France. En 17, nouveau gouvernement de G. Clémenceau qui a pour discours: « Je fais la guerre ». => guerre totale, ce qui provoque une fracture. Il lance des offensives qui ne servent à rien: « Le chemin des dames ». Il y a une vague de mutineries volontaires pour ne pas combattre et pour retrouver leur famille. => Grandes mutineries. 554 condamnations et 49 exécutions à mort. Pendant l'année 18, la première partie de l'année est à l'avantage

soldats français, ce massacre est tout de même jouissif pour l'état major du fait de la victoire de l'armée française. Mais d'autres combats montreront la violence de cette guerre. Comme l'attaque lancé par le général Nivelle en avril 1917, dans Le Chemin Des Dames sur le front prussien, est un véritable bain de sang, 40 000 soldats français périrent en une journée dans ce futile combat. Les armes sont de plus en plus mortelles et horribles. Les obus qui éclatent dans les tranchées et sur le no man's land

versions est publiée en 1919 par Paul Vaillant-Couturier sous le titre de Chanson de Lorette. Période et contexte historique : Craonne est une commune de Picardie où ont eu lieu des combats au moment de l'offensive déclenchée par Nivelle au Chemin des Dames en avril 1917. Cette offensive se solde par de nombreux morts sans progrès notable sur le front. Elle suscite l'exaspération des soldats et déclenche des mutineries. Les paroles sont restées anonymes malgré les récompenses offertes par le commandement

dans la région de la Marne, comme en témoignent les multiples références aux lieux qui ancrent l’action dans la réalité : « Château-Thierry », « Reims », « Jonchery » ou encore « la cote 108 » restée célèbre pour une bataille meurtrière du Chemin des Dames en 1917. Ainsi, en s’appuyant sur ses souvenirs et son expérience personnelle de pilote, Kessel raconte la vie quotidienne d’une escadrille, au sol, dans l’attente d’une mission, comme dans les airs, au moment des attaques sur le front. En

par la violence des affrontements et les conditions de vie atroces dans les tranchées. Exaspération quant à la stratégie des chefs militaires, notamment à la suite de la désastreuse offensive du général Nivelle qui a envoyé se faire tuer au "Chemin des Dames" 147 000 hommes. 2) Présentation de l'oeuvre a) Son histoire Il s’agit d’une chanson créée en 1917. Son auteur est resté anonyme (pour des raisons évidentes liées à son contenu et à la censure. La hiérarchie militaire aurait, selon certaines

lorsqu'ils se réveillent avec un rat sur eux qui tente de les manger. Le froid, la boue ainsi que les rats rendent l’existence insupportable. Il y a eu plusieurs grandes batailles : la bataille de Verdun en France, la bataille de la Somme (1916) et le chemin des Dames (1917).Ces batailles sont meurtrières mais aucune n'arrive à emporter la décision malgré l'utilisation d'armes nouvelles (aviation, chars et gaz de combat). En 1917, les soldats sont fatigués par la guerre et des mutineries (révoltes ou refus

de la Grande Guerre et en collaboration avec le Centre de recherche de l’Historial Scénographie : Scénorama : Jean-Christophe Ponce et Dany Gandon www.scenorama.net Partenaire : La Grande Guerre par quatre chemins mené en collaboration avec La Caverne du Dragon/Musée du Chemin des Dames (Aisne), In Flanders Fields Museum (Belgique) et le Musée départemental de Flandre à Cassel (Nord), dans le cadre du projet européen INTERREG « Mémoire de la Grande Guerre » (www.memoire1418.org ) dont le Conseil

décision stratégique. | Œuvres | * Invitation à une philosophie du management, Calmann-Lévy, 1991 * Humanisme et technique, " Que sais-je ? ", PUF, 1996 * 100 ans de management, Dunod, 2000 * Stratégie sans complexes, Dunod, 2004 * Le Chemin des Dames, théâtre, Gaïa Village, 2011 | Vincent LENHARDT | | né le 14 août 1942 à Rabat (Maroc)Coach et formateurAuteur de plusieurs ouvragesDiplômé de HEC aux Etats-Unis, il suivit une formation en Analyse Transactionnelle auprès de l’ITAA (International