Cités et Gouvernements locaux unis

de gouverner avec deux préoccupations supplémentaire a) améliorer les interactions entre l'état et la société b) promouvoir un nouveau mode de gestion des affaires publiques fondé sur la participation de la société civile a tous les niveaux ( locale, régionale, nationale, internationale ) B. caractéristiques de la mondialisation Les peuples antiques développent une dynamique de mondialisation dans le cadre d'un système monde qui est la méditerrannee, les phéniciens, en 900 av JC développent

l’Islande (9,5), Singapour (9,3), la Suède (9,2), la Suisse (9,1), la Norvège (8,9), l’Australie (8,8), les Pays-bas ( 8,7), la Grande-Bretagne (8,6), le Canada (8,5). Notons aussi la quinzième place de l’Allemagne (8,2) et la dix-septième place des Etats-Unis (7,5). La France est donc vingt-deuxième : nous étions vingt-troisième l’an dernier, le progrès n’est pas spectaculaire. Notre note est de 7,1. La plupart des pays occidentaux sont dans les quarante pays les moins corrompus, tandis qu’au contraire

voisins – éloignés, les Perses, (Marathon en 490), ses voisins – proches , les autres cités grecques , Sparte (La guerre du Péloponnèse, -431-404) -Les Athéniens mettent en place un gouvernement original, au cours du VIe-Ve siècle, la démocratie (démos-kratos = peuple-pouvoir), un système politique où le citoyen joue un rôle central puisqu’il exerce directement le pouvoir et participe pleinement au gouvernement de la cité Comment s’articulent citoyenneté et démocratie à Athènes ? Etre citoyen

autres. C'est pourquoi l'idée de démocratie sera traditionnellement associée aux cités-Etats. A Athènes même, l'Assemblée ne réunissait qu'une fraction des citoyens (6 000 en moyenne sur 30 000 au ive siècle). - Une instabilité congénitale. L'expérience historique l'atteste : les démocraties sont instables et semblent conduites irréversiblement à l'anarchie ou à l'oligarchie. C'est le cas de la cité athénienne comme des cités italiennes de la Renaissance. Les perpétuelles divisions entre factions dont

Violence dans les Cités: Quels sont les moyens mis en œuvre pour résorber et réprimer la violence de cité et sont ils efficaces ? La violence de cité, phénomène de société faisant depuis quelques années la une de l'actualité, est devenue une des préoccupations majeures du monde politique. Confronté à l'aggravation du sentiment d'insécurité, à la violence effectuée par des individus de plus en plus jeunes, et à l'extension du phénomène, l'état, devant assurer son devoir de protection, a dû

comme lieu de conflits d’intérêts 1. Le gouvernement d’entreprise. 2. La théorie des parties prenantes 3. Des principes de grandeurs variés. 4. LA RSEE et le DD 1. Le gouvernement d’entreprise. → L’entreprise n’est pas un simple « nœud de contrats » (coûts de transaction et coûts d'organisation) → Elle fait cohabiter durablement des acteurs différents (adoptant des stratégies variées : exit, voice ou loyalty) → La chaîne de gouvernement : quels acteurs peuvent influencer la

représentants d’autorités locales, de collectivités territoriales européennes et internationales, de réseaux de villes et de syndicats, l’on comprend pourquoi plusieurs intervenants, dont les initiateurs de Genève, Yossi Beilin président du parti Yahad, ancien ministre de la Justice et Yasser Abed Rabbo, ancien ministre de la Culture, chef de la Palestinian Peace Coalition, ont souligné d’emblée le caractère exceptionnel de cette rencontre. Rarement autant d’élus et de responsables locaux ont été si nombreux

1994. (dir.), Face à l'exclusion, le modèle français, Esprit, 1991. avec Philippe Estèbe, L'État animateur : essai sur la politique de la ville, Esprit, 1994. avec Catherine Mével et Anne Wyvekens, Faire société : la politique de la ville aux États-Unis et en France, Éditions du Seuil, coll. « La couleur des idées », 2003. Quand la ville se défait : quelle politique face à la crise des banlieues ?, Éditions du Seuil, 2006 ; éd. poche, coll. « Points essais », 2008. Vers une citoyenneté urbaine : la

fondamentaux Des penseurs aussi divers que Platon, Aristote ou Polybe ont distingué trois types de régimes : le gouvernement d’un seul ; le gouvernement de plusieurs(ou d’une minorité) ; et le gouvernement de tous (ou d’une majorité). Pourtant, contrairement à ce que nous attendrions, le critère du bon régime politique ne se situe pas dans le nombre, car chacun de ces trois types de gouvernement connaît une forme « juste » et une forme « déviée », selon que le pouvoir politique s’exerce en vue du bien

Selon Stoker, 1998 La gouvernance désigne de façon plus restreinte, l'élaboration de modes de gouvernement dans lesquels la frontière entre les secteurs public et privé tend à s'estomper. 1-5 selon Francois Xavier Merrien (1998) Francois Xavier Merrien: Enonce que la gouvernance répond à une triple ambition, elle est : -Descriptive (rendre compte des transformations réelles des modes de gouvernement) -Analytique (proposer une grille d'interprétation des relations entre des réseaux institués