Comté d'Imperial

sont le départ d’agglomération de comté autour d’un missus (prélude à la formation de principauté territorile). II / L’administration territoriale Selon une contrainte traditionnelle, l’empire carolingien est découpé en comtés. A la tête de ces subdivisions, l’empereur nomme des membres de la haute aristocratie qu’il peut déplacer et révoquer à sa guise mais au cours du temps de véritable dynastie s’imposent. Ces administrateurs locaux ont le titre de comte. Les comtes gouvernent les territoires

ensuite le comte Pietranera, qui est un général de Napoléon. Le marquis n’admet pas ce mariage, et refuse d’envoyer de l’argent à sa sœur. La comtesse Pietranera décide de suivre son mari, quelles qu’en soient les conséquences : « toujours folle d’amour, elle ne voulait pas quitter son mari et mourrait de faim en France. » A la mort du comte, Gina retourne vivre au château de Grianta, où elle retrouve son neveu, Fabrice. Alors que Fabrice est parti en guerre, Gina fait connaissance du comte de Mosca

1942 en Belgique, Joseph Bernstein est un jeune garçon juif de 7ans. Un jour, alors qu'il est dans le tramway avec sa mère, celle-ci entend des soldats allemands dire qu'il va y avoir des rafles dans leur quartier. Afin de protéger son fils, elle l'amène chez un couple d'aristocrates catholiques, et part prévenir son mari et ses amis du danger. Joseph est hébergé par ce couple jusqu'à ce qu'il se fasse dénoncer par des voisins. La comtesse sauve la situation de justesse, mais c'est devenu trop

réveillant dans un fossé entre des cadavres, il a survécu miraculeusement à ses blessures. Il revient dix ans après et souhaite réclamer son titre, faire valoir ses droits et revivre avec sa femme. Or celle-ci , durant son absence, s’est remariée avec le comte Ferraud. Mais celle-ci le repousse et refuse de reconnaître son ancien mari. L’avocat accepte d’aider le colonel en proposant une transaction à son ancienne épouse. Par dignité, Chabert refuse cet arrangement et disparaît. Repoussé par sa femme

dans les papiers de la défunte des lettres prouvant que sa mère a entretenu une relation adultère avec un ami de la famille. Paul, lui, connaît de graves problèmes de santé et Jeanne craignant de se retrouver seule voudrait un autre enfant. Le comte de Fourville, s’étant rendu compte de la relation qu’entretenait sa femme avec Julien, les tue tous les deux. Entre temps, Jeanne accouche d’une fille morte née. Paul, sa seule consolation, grandit, aimé de tous, et poursuit des études très médiocres

L’histoire Lors d’une journée à la chasse deux amis, le marquis d’Albon et le baron Philippe de Sucy, rencontrent une femme manifestement folle prés d’une demeure à l’abandon. Philippe reconnaît alors la comtesse Stéphanie, sa maîtresse, dont il fut tragiquement séparé en 1812 lors du passage de la Bérézina. C’est alors qu’un espoir va naître chez le baron qui va tout faire pour que Stéphanie recouvre la mémoire. Malgré ses efforts, la comtesse reste folle et le baron à bout de nerfs veut

L'enfant de Noé Titre : L’énorme compagnie du curé Résumé : Pendant la seconde guerre mondiale, les juifs commencent à être menacé du régime hitlérien, beaucoup de famille tentent de faire sauver leurs enfants promis à une mort certaine s’ils sont trouvés. La famille Berstein décide donc de laisser Joseph leur petit fils, âgé de 7 ans, à la comtesse de Sully. Celle-ci ne peut pas garder l’enfant c’est trop risqué. Elle le confie donc à un petit curé de campagne, le père Pons qui est

 Etude de texte : Note Appréciation Signatures Le Colonel Chabert, H de Balzac La première phrase de l'incipit «Allons ! Encore notre vieux carrick » signifie le Colonel Chabert on peut le comprendre que plus tard dans le livre. Les personnages de l'incipit sont six, ils se trouvent dans une étude d'avoué, c'est un bureau d'avocat. Après la description le Colonel Chabert apparaît, l'auteur se moque, le critique, l'ignore

Dissertation sur le colonel chabert. Introduction: Dans le colonel chabert, Balzac aborde la société de son temps à travers l'évocation réaliste d'un cas judiciaire qui révèle la puissance de l'argent. Les trois personnages principaux du roman relèvent d'une même idéologie, caractéristiques du XIXème siècle: Ils veulent posséder ou recouvrer des biens. Néanmoins, les moyens qu'ils mettent en oeuvre pour y arriver diffèrent beaucoup et permettent de les caractériser. En effet, la société

n’ont pas à s’inquiéter car leurs fiefs sera héréditaire, « Si est mort un comte dont le fils est avec nous, que notre fils et le restant de nos fidèles désignent parmi ceux qui ont été le plus proche et le plus familier, ce qui veillera sur ce comté » de même que si ce comte à un fils, jeune, il pourra également hérédité des fiefs de son père « Et s’il a un fils très jeune, que cet administrateur, avec les ministériaux dudit comté et l’évêque de la paroisse dont il dépend, veille sur ce compté ». Et