Consonne

L’Alphabet Lettres, voyelles, consonnes, alphabet, forme orale, forme écrite, minuscule, majuscule, fréquence 2 Les mots français ont deux formes : une forme orale, celle qu’on entend et une forme écrite, celle qu’on peut lire. Pour écrire l’ensemble des mots, 26 lettres se trouvent à notre disposition. Elles sont soit minuscules, soit majuscules : LES MAJUSCULES Les 6 voyelles sont : a, e, i, o, u, y, parfois munies d'un accent (é è à, etc.). Les 20 consonnes sont : b, c, d, f, g, h, j

Un phénomène très fréquent en français est celui du passage des voyelles / i, y, et u/ aux glides / j, ɥ et w/ Les trois voyelles fermées du français, [i], [y] et [u], peuvent se transformer, dans certains contextes phonétiques, en semi-consonnes [j], [ɥ] et [w]. Ces voyelles diffèrent l’une de l’autre par les caractéristiques avant/arrière, arrondie/non-arrondie, comme l’on peut voir dans le tableau suivant : |Voyelles fermées | |-arrondi |+ arrondi

(qu'on écrirait ニヤ) mais nya. Du fait d'évolutions phonétiques, il faut connaître des équivalences qui ne sont pas forcément évidentes : ainsi, チョ vaut phonologiquement chi-yo → chyo mais se lit cho. De plus, le ツ sert comme en hiragana, à noter les consonnes géminées : ベッド se lit donc beddo, « lit » (de l'anglais bed) et non betsudo. Quand les katakanas servent à transcrire des mots étrangers ou des onomatopées, ils suivent une série de règles supplémentaires : • tout d'abord, l'allongement de

button » « candle » •  Ou n’importe quelle consonne : berbère tachlhit : [g] « être » , [f] « donne » –  •  Consonnes syllabiques « vous avez tordu » 10 L’attaque •  Élément marginal qui précède le noyau •  Segments qui occupent l’attaque : consonnes (ou semi-consonnes) •  Optionnelle selon les langues : –  « a.mi » (français) •  Plusieurs consonnes permises : attaques complexes –  « prix »; « plâ.trer » •  Une seule consonne permise : hawaïen par ex 11 La coda • 

selon le groupe rythmique. (Voir I ci-dessus). Il y a liaison quand la consonne finale muette (qui n’est pas prononcée devant une consonne) d’un mot se prononce devant la voyelle initiale du mot suivant. La liaison se fait seulement entre les mots unis par le sens: LA LIAISON: des_enfants en_Espagne ATTENTION: La consonne finale ne se prononce pas devant une consonne: les garçons le premier mai La consonne finale se prononce en liaison avec la voyelle initiale du mot qui suit: les_amis

latéralisation, perception de l’environnement…). Pour la technique vocale il est fort intéressant de différencier ces deux types parce-que certaines indications concernant la posture, le geste vocal, la relation tonicité- détente, l’attitude envers consonnes et voyelles, la dynamique tête- mâchoire, l’image sonore, peuvent être littéralement opposées. Un professeur qui prend connaissance du type respiratoire de son élève se trouve devant deux cas de figure : 1. l’élève est du même type que lui : Il peut

peu [pO], deux [dO] peur [pø :{], meuble [møbl] le [l´], premier [p{´mje] matin [matE)], plein [plE)], cintre [sE)_:t{] sans [sA)], vent [vA)], centre [sA) :t{] bon [bo)], ombre [o):b{] lundi [lø)di], brun [b{ø)] SEMI-VOYELLES (semi-consonnes) [j] [w] [Á] CONSONNES [p] [b] [t] [d] père [pE:{], soupe [sup] bien [bjE)], robe [{çb] terre [tE:{], vite [vit] dans [dA)], aide [Ed] yeux [jO], paille [pA:j], pied [pje] oui [wi], noir [nwa:{] huile [Áil], lui [lÁi] [k] [g] [f] [v] [s] [z] [S] [Z] [l]

voyelle ne doit pas être compté. Sans / rien / voir / au / de / hors, // sans / en / ten / dr(e) au / cun / bruit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 ● Le « e » suivi d'une consonne doit être compté et entendu. Tris / t(e), et / le / jour / pour / moi // se / ra / co / mme / la / nuit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Attention, le poète peut faire prononcer

un quintil, une de 6 un sizain et une de 10 un dizain. 6. Un monostique est une strophe à un seul vers. III. La métrique 7. À l'intérieur d'un vers, on compte la syllabe qui se termine par un « e » muet si la syllabe suivante commence par une consonne, on ne la compte pas si la syllabe suivante commence par une voyelle. À la fin d'un vers, on ne compte jamais le « e » muet. 8. Le premier vers est un octosyllabe, et les deux derniers sont des alexandrins. 9. Deux sons habituellement prononcés

I. La liaison Il y a une liaison quand la consonne finale d’un mot, présente dans la graphie mais pas dans la prononciation du mot en position isolée, se prononce devant une voyelle ou un « h » muet appartenant au mot suivant. REMARQUES : Des enfants ; un ami • La consonne de liaison se détache du mot auquel elle appartient et forme une syllabe avec la voyelle qui commence le mot suivant. En Ancien Français, les lettres finales étaient généralement prononcées et en Moyen Français, peu à