Coucher de soleil

etaient les baobas, que etait a problem puor le petit prince, parce que les baobabs sont des arbori tre gros et ils dostoied le planet. A information sur le planet de le peti bonhomme. Ie petit prince amait veder le coucher du solleil, quand un est tellement triste on aime les coucher de soleil.,

est  «  port de mer au soleil couchant » Je vois un port comme l’indique le titre «  port de mer au soleil couchant » avec un coucher de soleil .On peut aussi voir que c’est une ville avec des bâtiments et aussi un monument religieux a gauche puis a droite les bateaux qui se range sur le port . Il y a une perspective linéaire le centre de cette perspective et le soleil il y a aussi des contrastes , la couleur la plus est voyante et le jaunes (soleil) le soleil éclaire la ville et la

+ 20 ikhlass 3ème 1 fatiha + 30 ikhlass 4ème 1 fatiha + 40 ikhlass Total 100 ikhlass Après salut final réciter 7 fatiha + 7 koursiou + 7 ikhlass + 7 falaqi + 7 nassi faire ses vœux * Nuit du jeudi au vendredi c'est-à-dire au coucher avant safa et witr 4 rak’as de 2 salam dans chaque rak’a 1 fatiha + 50 zoulzilah VI. Vendredi * Yor yor 2 rak’as : 1er rak’a 1 fatiha 10 koursiou 2ème rak’a 1 fatiha 11 ikhlass * Entre la prière de vendredi

------------------------------------------------- MEDITATIONS POETIQUES « Isolement » TEXTE : L'ISOLEMENT. Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes; Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur; Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur

« sombre Paris «  s'éveille et se prépare au travail « après s'être frotté les yeux » c'est encore une personnification. A travers ce texte on peut voir les deux signification de crépuscule : c'est une lueur atmosphérique présente avant le lever du soleil. A la 2° strophe (ligne 12 …) on peut ressentir une atmosphère très négative de la ville : quelques gens se sont levés parce qu'on voit la fumée des maisons mais « les femme de plaisir » à la ligne 13 probablement des putains, dorment encore

Laissez-moi ! C’est l’heure où l’horizon qui fume Cache un front inégal sous un cercle de brume, L’heure où l’astre géant rougit et disparaît. Le grand bois jaunissant dore seul la colline : On dirait qu’en ces jours où l’automne décline, Le soleil et la pluie ont rouillé la forêt. Oh ! Qui fera surgir soudain, qui fera naître, Là-bas, - tandis que seul je rêve à la fenêtre Et que l’ombre s’amasse au fond du corridor, Quelque ville mauresque, éclatante, inouïe, Qui, comme une fusée en

mettre en relation le ciel et la terra qui sont correspondances verticales). Le poème s’institut Harmonie du soir, extrait de la première partie , le thème apparent est le soleil couchant et à travers ce coucher il va exprimer son amour pour Mme SABATIER. Annonce du plan Tout d’abord, nous allons analyser la description du soleil couchant, pour ensuite voir comment le poète va exprimer son amour mystique envers Mme SABATIER. Développement Ce texte « Harmonie du soir » invite le lecteur dès le

abondante, une jungle ! Tout à l’air d’avoir été recouvert d’émeraude ! Un petit étang à mes pieds. A ma droite, une plage. En face de moi la cascade qui se jette de toute sa grandeur dans une rivière. A ma gauche un soleil immense se couchant. A ma droite une lune levant. Ce coucher de soleil fait ressortir le vert de la forêt abondante. Derrière moi une autres îles, mais en plein centre de la mer un volcan, menasse à tout moment de rentrer en éruption. Les îles sont un havre de paix, à côté le volcan

l’antithèse entre le fleuve aux vagues écumantes et le lac immobile, qui contribue aussi à exprimer cet état tourmenté. Le poète multiplie en outre les termes appartenant au champ lexical de l’ombre et de l’obscurité : « à l’ombre » (v.1), « coucher du soleil » (v.2), « en un lointain obscur » (v.6), « bois sombres » (v.9), « crépuscule » (v.10), et la métaphore du « char vaporeux de la reine des ombres », qui désigne la brume de la tombée de la nuit. Le locuteur se compare lui-même à une « ombre

vieux chêne », v2-« coucher du soleil », v6- « en un lointain obscur »,v9- « bois sombres, v10-« le crépuscule », v11-«  la reine des ombres »-qui est une périphrase pour désigner la lune. Dans les strophes 7 à 13 s’expriment la désespérance et l’espoir. Les strophes 7 et 8 correspondent précisément à cette désespérance. Le monde est vide pour le poète, , il est « vain »-v 26. Son œil reste « indifférent » au tableau qu’il lui offre ; et ce que fait la joie de tous, le soleil, n’a pour lui aucune