Coup De Gigot

et celle de la chaise vide en face. Sur le bahut derrière elle, deux grands verres, eau gazeuse, whisky. Cubes de glace fraîche dans le seau thermos . Mary Maloney attendait son mari qui rentre du travail. De temps en temps elle jetterait un coup d'oeil en haut à l'horloge, mais sans anxiété, simplement se plaire avec la pensée que chaque minute partie par fait cela plus proche le temps où il viendrait. Il y avait un air souriant lent d'elle et de tout ce qu'elle a fait. La baisse(goutte) d'une

Elle avait l'air stressée ca se voyait sur son visage mais elle avait tout de même,bien que faux ,un sourire qui la rendait encore plus belle. M et Mme Brooks s'était rencontré lors d'une conférence il y a 10 ans. Et si pour M. Brooks se fut le coup de foudre immédiat,sa femme elle était attiré par sa fortune qu'il ne tâchait pas de dissimulé. Dérrière elle, se trouvait Robin, un adolescent de 17 ans qui avait arrêté l'école depuis peu ,il était vétu d'un costume noire parfaitement repassé et

l’aide de Rachid, il l’étala au sol. L’officier se débattit follement. Le sac blanchit de buée. Sayed serra très fort la gueule du sac autour du coup du capitaine. Ce dernier manqua très vite d’air et se mit à se contorsionner et à gigoter. Son corps fut traversé de convulsions brutales qui mirent longtemps à s’espacer avant de ramollir ; elles cessèrent d’un coup après un ultime soubresaut. Sayed et Rachid continuèrent d’écraser de leur poids le capitaine et ne se relevèrent qu’une fois le cadavre totalement

paysan alerté par le bruit, se réveille, saute de sa couche, dévale les escaliers et sort de la demeure. Vite, le voleur caché pénètre dans le logis, monte à la chambre du couple et se glisse dans le lit auprès de l’épouse endormie. « Cesse donc de gigoter… laisse-moi dormir, marmonne la femme dans un demi - sommeil . Oui, ma mie, mais j’ai fait un cauchemar…. Je ne savais plus où nous avons caché notre beau jambon fumé ……et un maraud cherchait à nous le dérober !!!! Chut !!! Rendors-toi….. Aucun

| | |policier au moyen de questions de lecture | |I Compréhension du texte | | |(Raconter la scène du meurtre ou écrire une | |Extrait de R Doalh Coup de gigot | | |lettre argumentée ( sujets au choix) | |II Expression écrite | | | | |Ecrire

besoins corporels : « il soupa », « il mangea », «il but », «il dormit », voilà à quoi se résume l’activité du faux dévot. A travers ces actions, il est décrit comme fainéant. Le champ lexical abondant du plaisir et de la volupté (« gigot », « but quatre grand coup de vin», « mangea deux perdrix »), mais également celui de la quantité nous démontre clairement la caricature d’un libertin, qui ne se préoccupe que de sa propre personne. Toutes ces activités : la paresse, la gourmandise, l’égoïsme

* Les deux gredins (1980) * Matilda (1988) * Un amour de tortue (1990) Autobiographies * Moi boy (1984) * Escadrille 80 (1986) Roman * Mon oncle Oswald (1979) Recueils de nouvelles * A tire d’aile (1945) * Coup de gigot (1953) * Le connaisseur (1954) Nouvelles * L’homme du sud * Un beau dimanche (1958) 4. RESUME Cette autobiographie couvre les années d’enfance et de jeunesse de l’auteur jusqu’à ses début dans l’aviation. Il connait une enfance

satan et belze puis moi - Texte1: la gourmandise alégre (Stéphane et Pimousse) - Texte 2 : la mort sucrée (Sandrine) - Fin texte 1 - Texte 3: la paresse (Francis et Marianne) - Eve: trop faignant celui-là, au premier coup de pioche il aura des ampoules. - Texte 4 : l’archevéque (Jean-Claude et Stéphane) - Eve ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… - Texte 5 : l’envie ( Fabien et Eliane) - Eve : Ca c’est le début

gêne, elle, la mort, pour se rire de nous ? Est-ce qu'elle ne pratique pas l'humour noir, elle, la mort ? Regardons s'agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à cent à l'heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d'un coup, ça s'arrête, sans plus de raison que ça n'avait commencé et, le militant de base, le pompeux PDG, la princesse d'opérette, l'enfant qui jouait à la marelle dans les

ressent beaucoup d'hésitation quant à ses productions. A l'heure du diner, Dubuche, un ami des deux autres, architecte, arrive dans l'atelier pour prendre le repas avec eux. Il est étonné par les oeuvres de Claude et cela alimente leur conversation. Du coup, le peintre se remet avec acharnement au travail sans s'intéresser aux deux autres ni à leur envie d'aller diner. Le père Malgras, marchand de tableaux, arrive dans l'atelier. On comprend que cet homme est un filou qui ne cherche qu'à gagner de l'argent