Course de chars

Damla UYGUR (06101498) LA PREMIERE GUERRE MONDIALE: UNE GUERRE D’UN TYPE NOUVEAU Travail de recherche Dans le cadre du cours «Conférence de méthode de science politique» Enseignant : Esra Atuk Département de relations internationales Université Galatasaray 26 mai 2008 LA PREMIERE GUERRE MONDIALE : UNE GUERRE D’UN TYPE NOUVEAU Comment peut-on définir la guerre? Les théoriciens, les historiens donnent plusieurs définitions à ce terme donc chacun a sa propre manière

différents pays européens au cours du 19e siecle apres la défaite napoléonienne de 1815, le Congres de Vienne qui s'en est suivi en 1815 et l'indépendance belge de 1830 entraînant la France et l'Angleterre a se porter garantes de celle-ci. Des malentendus diplomatiques s'en suivirent, l'Allemagne croyant notamment que le Royaume-Uni resterait neutre devant l'invasion de la Belgique. Le climat de tension régnant avait poussé les grandes puissances européennes a une course aux armements, et chaque état-major

c’est la course à la mer. Mais c’est un échec, la guerre de mouvement ne fonctionnant pas les armées s’enterrent dans des tranchées à partir de 1915, c’est la guerre de position. S’étend une ligne de tranchées de 700 km qui s’étend de la mer du Nord à la frontière suisse à l’Ouest et à l’Est de la Baltique aux Carpates. Avec la guerre de tranchées, l’équipement et l’armement évoluent : apparition d’uniforme moins voyant, développement de gaz toxiques, d’avions de chasse et de chars Renault.

évolution de la guerre donne l'avantage aux soldats qui défendent par rapport à ceux qui attaquent. La guerre s'enterre. C) La guerre des tranchées : La Première Guerre mondiale devient alors la guerre des tranchées (voir les documents distribués en cours). Les attaques vont se succéder de 1915 à 1918 sans succès très importants. A chaque fois, les pertes sont immenses pour ne déplacer la ligne de front que de quelques kilomètres dans un sens ou dans l'autre (ex : 1916 : attaque des Allemands à Verdun

Histoire- 1ère Guerre Mondiale III / A l'arrière : mobilisation et souffrance. A) L’État dans l'organisation de l'effort de guerre La guerre est une course à la production d'armes. Le «champ de travail» devient le «champ de bataille». Les États bourrent le crâne de la population ; l'idée est : «Pensez guerre, manger guerre,boire guerre, vivre guerre !». Cette propagande de guerre mélangée à la censure limite énormément les pensées de la population qui ne voit pas le front comme

résiste aux troupes allemandes au centre, l’armée de Maunoury, transportée en partie par des taxis parisiens au nord de la Marne, prend l’aile droite ennemie à revers, obligeant les Allemands à se replier sur l’Aisne. Après une série de débordements (la course à la mer) les armées se figent en novembre 1914, le long d’un front allant de la Suisse à la mer du Nord. La guerre devient la Grande Guerre, nécessitant une mobilisation générale des hommes, de l’économie, des énergies morales. La guerre de tranchées

neutre et la France entre avril et mai 1940. De 1939 en 1941, toute l’Europe est sous la botte allemande à l’exception de l’Angleterre de Churchill qui est la seule à résister. La stratégie offensive des nazis s’appuyant sur une armée mécanisée(les chars) et l’aviation a tout balayé sur son passage. b) Une guerre mondiale L’invasion de l’URSS par l’Allemagne le 22 juin 1941 et l’agression japonaise de Pearl Harbor le 7 décembre 1941 mondialisent le conflit. Les forces de l’Axe s’imposent par une stratégie

développée. on développe 5-6 chasseurs différents pour faire face aux nouvelles menaces et missions différentes la manœuvrabilité des appareils, la vitesse, l'armement (canon) les moyens de communications et de navigation avion pour contrer les chars allemands avion torpilleur qui permettent de couler deux géants (Yamato et Bismarck)" Les stratégies de combats apparaissent également (bombardier protégé par chasseur), Blitzkrieg, bombardements en piqué, bombardement de nuit, stratégique (ang.)

arbitraire. Elle s'efforce de donner une valeur représentative, des relations entre les sonorités. Les effets sonores produisent du sens. Dans l'analyse d'un poème, il faut définir le sens produit par les sonorités.             Le roulement des chars, le sifflement des balles. (Hugo)   -> sifflement : mime le bruit de la balle Certaines voyelles sont aigues ou graves, claires ou sombres. Voyelles aigues : i, u, é, ê... Voyelles graves : o, ou, on... Les consonnes peuvent être douces ou

les marchés fermiers, et l’existence fusionnelle avec la nature. En plus, cela les fait bénéficier des végétaux qu’elles n’ont pas d’habitudes de côtoyer en Russie, c’est le cas des produits à la lavande dont une campagne promotionnelle est en cours actuellement et qui fait penser aux paysages du sud de la France. Cela les fait rêver, comme si avec chaque produit Yves Rocher acheté, elles s’offraient un mini séjour en France. • Accessibilité et proximité Le positionnement de la marque est