Cruche

ce cas, je n’ai eu besoin que d’une alèse * 10 compresses (une pour chaque doigt) * Un coupe ongle * Une petite serviette * Un gant à laver à usage unique * Un savon (celui du patient est préférable) * Une bassine * Une cruche Déroulement du soin dans la salle de bain du service Tout d’abord j’ai demandé à la patiente, Mme L, si elle voulait avoir un bain de pied. Après son accord (et c’était une demande qu’elle attendait depuis deux jours), j’ai effectué un lavage simple

désobligeante à sa mère | -« belle comme son père » - remarquable de douceur et d’humilité - elle raconte « naïvement » ce qui s’est passé à sa mère, pourquoi elle est rentrée en retard | | La fée est l’arbitre Cadette pourvue que d’une cruche Familiarités cadette-fée : « pauvre fille, « pauvre femme » Récompense flatteuse | II/ Convention narrative | Convention temporelle « Il était une fois » « Un jour » Pas de précision géographique « Logis à une demi –lieue »

Charles Perrault ne s’attarde sur aucun détail, aucune description. Peu de qualificatifs. Sommaires, par exemple, l.40 : la fille arrive directement à la forêt. à Ce conte rapporte seul ce qui est nécessaire à la compréhension du texte, ex : cruche d’« argent » pour montrer l’hypocrisie. 3. Similitudes et oppositions • Similitudes : - situation familiale (deux sœurs) - péripéties des 2 rencontres (exactement les mêmes actions) - situation finale (chassées par leur

2 du document 3: le passage de l'état solide à l'état gazeux. Question 4 1) D'après le document 4, l'évaporation est accélérée par les courants d'air balayant la surface de la cruche. 2) L'évaporation permet de refroidir l'eau de la cruche car l'eau qui s'évapore consomme la chaleur du contenue de la cruche => Donc ce contenu se refroidit. 3) a - Le passage de l'état liquide à l'état gazeux s'apelle la vaporisation. b - Ce changement d'état correspond au numéro 5 du document 3. c - La

le jour, puiser de l’eau à une grande demi-lieue du logis, et qu’elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu’elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme, qui la pria de lui donner à boire. «Oui-da, ma bonne mère», dit cette belle fille; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l’eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche, afin qu’elle bût plus aisément. La bonne femme ayant bu, lui dit: «Vous êtes si belle, si bonne et si

Charles Perrault ne s’attarde sur aucun détail, aucune description. Peu de qualificatifs. Sommaires, par exemple, l.40 : la fille arrive directement à la forêt.     à Ce conte rapporte seul ce qui est nécessaire à la compréhension du texte, ex : cruche d’« argent » pour montrer l’hypocrisie. 3. Similitudes et oppositions dans le récit • Similitudes :        - situation familiale (deux sœurs)       - péripéties des 2 rencontres (exactement les mêmes actions)       - situation finale (chassées

d’ailleurs partie du premier plan, la mise en valeur ne se joue pas seulement sur la laitière mais également sur les instruments l’entourant. Le pain, la carafe, le panier en oseille remplis de quignons, ainsi que bien évidemment, le lait coulant de la cruche au bol. Le deuxième plan lui, se constitue du pan de mur blanc éclatant, mettant en valeur à nouveau le premier plan, la beauté des instruments et le naturel de cette femme. Le troisième plan, est fait de la chaufferette au sol ainsi que du carrelage

fois le jour puiser de l'eau à une grande demilieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. "Oui-dà1, ma bonne mère", dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : "Vous êtes si belle, si bonne, et

fois le jour, puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui lui pria de lui donner à boire. -" Oui, ma bonne mère, " dit cette belle fille. Et, rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui présenta, soutenant toujours la cruche, afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : " Vous êtes si belle, si bonne

avant un décor changé, c’est-à-dire un appartement plus petit avec seulement une chambre et une pièce principale et aussi qui est moins attractif que le précédent. Au début de l’acte, Zénobie se réveille auprès de Cruche qui est la domestique. La fille est malade et discute avec Cruche à propos du mystérieux bruit qui l’intrigue profusément et veut absolument descendre les escaliers pour aller voir ce qui se passe dans l’étage du dessous car la nostalgie est trop forte pour Zénobie. Par la suite