Delirium tremens

Dossier pour le cours de français portant sur DELIRIUM TREMENS de Ken Bruen [pic] • La biographie et l’œuvre de l’auteur Je suis né en 1951 en Irlande. Après une carrière d'enseignant d'anglais qui me mèna en Afrique, en Asie du Sud-Est et en Amérique du Sud, je fis même un séjour très éprouvant en prison au Brésil. De retour dans mon pays natal, je décida de me consacrer à l'écriture. Je mène deux séries de front : • La première se déroulant autour d’un personnage central, Jack

LEXOMIL : pathologies pour lesquelles il peut-être prescrit • Manifestation anxieuse sévère et/ou invalidante • Delirium tremens et autres manifestations du sevrage alcoolique Classe thérapeutique Neurologie-psychiatrie Principes actifs Bromazépam Excipients Cellulose microcristalline (E460),  Lactose,  Talc (E553b),  Magnésium stéarate (E572) Statut Médicament soumis à prescription médicale Prix de vente TTC 2,65 € Tx de remboursement SS 65 % Laboratoire Roche Présentation Précautions

progressivement la raison, est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner sa belle boutique pour aller habiter parmi les pauvres d'une grande maison ouvrière. Devant elle, Coupeau est pris d’une terrible crise de delirium tremens, et meurt dans d’atroces souffrances. Réduite à la mendicité, Gervaise succède au père Bru, qui vivait dans une niche sous l’escalier. Elle connaît la déchéance finale en se prostituant dans la rue, où elle est trouvée morte de faim et de misère

ainsi recours aux liqueurs fortes pour apaiser sa peine émotionnelle. Puis, sa situation avec Gervaise se détériore : il devient arrogant et se met à la battre. Plus tard. Coupeau finit par mourir de folie. nous verrons qu’il sombre dans le Delirium Tremens (conséquences neurologiques sévères du syndrome de sevrage d’alcool auquel il est soumis à l’hôpital St Anne), et ceci devient le passage le plus célèbre du roman, tellement il est décrit de manière détaillée et élaborée par Zola -Claude et

roman ; jusqu'à sa chute d'un toit, il reste sobre en souvenir de son père alcoolique ; sa rancœur envers le travail et la peur de remonter sur les toits le font sombrer dans l'ivrognerie et la paresse ; il devient la proie d'affreuses crises de delirium tremens ; il est interné sept fois à l'hôpital Sainte-Anne, où il décède. Auguste Lantier : ouvrier tanneur puis chapelier, beau parleur, dépensier et infidèle ; père de Claude et Étienne ; après avoir dépensé l'héritage de Gervaise, il l'abandonne

misère. Il va le détruire jusqu’à la folie et la mort. Sa fin se situe dans une chambre de l’hôpital Ste Anne, où on enfermait les fous. Zola s’est précisément documenté et après avoir montré une scène d’hallucinations il termine avec la mort par Delirium Tremens. L’important n’est donc pas l’émotion mais la précision. Le malade meurt dans des tremblements de tout le corps : « le tremblement était descendu des bras, et monté des jambes », « les muscles se faisaient vis-à-vis, la peau vibrait comme un

quotidien qui peuvent être plus ou moins graves. Pour les plus démunis, boire sert à ne plus sentir la faim et à se réchauffer. II- Les notes de Zola Lorsque Zola écrit ses notes, il fait des recherches sur l'alcoolisme et la maladie du « Delirium tremens » pour que le portrait de Coupeau ait l'air réaliste. Il veut que l'alcool soit vraiment présent dans sa vie pour démontrer ce que boire peut entraîner : la mort. III- Coupeau ''L'alcool c'est comme la beauté ou le confort. On s'y habitue

moment opportun de proposer à Gervaise de vendre la blanchisserie. Il a trouvé une acheteuse : Virginie. Gervaise comprend soudain la vengeance de Virginie et sa complicité avec Lantier. Elle les chasse. Coupeau, au cours d’un violent accès de « delirium tremens », saccage la boutique. Il meurt à l’hôpital peu après. Virginie prend alors possession de la blanchisserie et la transforme en confiserie. Lantier n’a même pas à déménager pour vivre désormais à ses crochets. Gervaise, demeurée seule, désemparée

progressivement la raison, est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner sa belle boutique pour aller habiter parmi les pauvres d'une grande maison ouvrière. Devant elle, Coupeau est pris d’une terrible crise de delirium tremens, et meurt dans d’atroces souffrances. Réduite à la mendicité, Gervaise succède au père Bru, qui vivait dans une niche sous l’escalier. Elle connaît la déchéance finale en se prostituant dans la rue, où elle est trouvée morte de faim et de misère

progressivement la raison, est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner sa belle boutique pour aller habiter parmi les pauvres d'une grande maison ouvrière. Devant elle, Coupeau est pris d’une terrible crise de delirium tremens, et meurt dans d’atroces souffrances. Réduite à la mendicité, Gervaise succède au père Bru, qui vivait dans une niche sous l’escalier. Elle connaît la déchéance finale en se prostituant dans la rue, où elle est trouvée morte de faim et de misère