Déportation

contraint de vivre dans un ghetto comme Szpilman, celui de Cracovie. Il a évité la déportation, contrairement à ses parents et à sa sœur. Ils ont été déporté à Aushwitz où sa mère est morte. Ce n'est qu'en 1945 qu'il retrouve son père revenu des camps. Et c'est après la guerre qu'il découvre sa vocation pour le cinéma. Résumé du film: Wladyslaw Szpiman, brillant pianniste juif polonais, échappe à la déportation. Contraint de vivre au coeur du ghetto de Varsovie, il en partage les souffrances,

Blanchet lors d’une conférence du Dr MOSCOVICI qui revenait lui aussi d’AUSCHWITZ. Malgré sa religion- qui l’empêchait d’épouser une femme d’une autre religion que la sienne- Léo se maria à Odette*. *Odette Blanchet n’a que 18 ans lorsque les déportations ont commencé (elle dit avoir été là au bon moment). Elle connaissait la famille MOSCOVICI, elle les a vus se faire arrêter les uns après les autres. Elle a donc décidé d’aider cette famille en cachant les deux enfants MOSCOVICI : Liliane (deux

rafles et aux arrestations des juifs et ce, y compris, en zone libre, où Pierre Laval aux cotés du Maréchal Pétain va être le principal maître d'oeuvre de la politique de collaboration d'État avec l'Allemagne nazie, ordonnant l'arrestation et la déportation de Juifs, y compris des enfants de moins de seize ans, au-delà de la demande allemande. III) après les rafles et les camps d'internement : les camps de concentration et d'extermination Source http://www.maxicours.com - Ce document est

la Résistance). Puis, elle reconnait que les crimes de Vichy étaient aussi ceux de la France. Le souvenir des Juifs déportés a d’abord été assimilé à l’ensemble des déportés, puis la spécificité de la Shoah a fait émerger une mémoire juive de la déportation. Chaque groupe politique, social, culturel exprime une strate de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Mais comprendre l’histoire d’une période, c’est aussi étudier la manière dont sa mémoire s’est diffusée. Il est alors de plus en plus demandé

compositeur américain. Il est considéré comme l'un des pionniers de la musique minimaliste. Il utilise l'expression « musique de phases », le Phasing. De religion juive, il souhaite rendre un hommage aux juifs déportés tout en dénonçant l’horreur de la déportation, c’est pourquoi, il écrit « Different Trains ». Thématique : Domaine : Arts, Etats et pouvoir Arts du son Nature /genre de L’œuvre : Musique contemporaine, mélangeant musique de chambre (quatuor à cordes) et musique à sons fixés sur

Allemands, dans la région parisienne. Mais ce n’est qu’en 1964, les blessures de la guerre d’Algérie se refermant, que le mythe résistancialiste s’affirme. Dans les écoles et collèges de France est crée le Concours national de la Résistance et de la déportation ». Le 18 décembre 1964, le Général De Gaulle fait transférer en grande pompe les cendres de Jean Moulin au Panthéon. Cette cérémonie se déroule après le vote d’une première loi d’amnistie entre des délits les moins graves commis lors de la guerre

dans le cadre de la répression, le commandement militaire allemand organise les premières déportations dans les prisons du Reich dans le cadre de la sécurité des troupes allemandes. Afin de freiner la résistance, des déportations de représentations sont décidées dès décembre 1941. Ainsi, un convoi de 1 175 otages communistes et cégétistes quitte Compiègne le 6 juillet 1942 pour Auschwitz. Ces déportations se poursuives jusqu’à l’été 1944. A partir de 1942, elles s’inscrivent dans le cadre de

rafles et aux arrestation des juifs et ce, y compris , en zone libre, où Pierre Laval aux cotés du Marchal Pétain va être le principale maitre d’œuvre de la politique de la collaboration d’Etat avec l’Allemagne nazie, ordonnant l’arrestation et la déportation de juifs, y compris les enfants de moin de seize ans, au-delà de la demande allemande * * Troisième document : Apres les rafles, et les camps d’internement : les camps de concentration et les camps d’extermination | Source 1er document

1940-1944 est d’abord dominé par la mémoire de la Résistance. Il se transforme dans les années 1970 avec le réveil de la mémoire juive et un nouveau regard sur le régime de Vichy. Depuis les années 1990, la responsabilité de l’Etat français dans la déportation des juifs fait l’objet d’un « devoir de mémoire » envers lequel les historiens prennent leurs distances. A- 1944-1971 : Le mythe résistancialiste, une lecture unanimiste de la Résistance Le résistancialisme, concept forgé par l’historien

groupes mémoriels Pour la Seconde Guerre mondiale, les historiens distinguent aujourd’hui, quatre grandes familles de mémoire de groupe La mémoire repliée des prisonniers de guerre (étudiée par R. Franck) La mémoire blessée de la déportation (juive et non-juive) La mémoire sur la défensive des travailleurs volontaires en Allemagne et des requis du STO. La mémoire motrice de la Résistance • La mémoire repliée des prisonniers de guerre. C’est une mémoire de vaincus,