Dion Cassius

Guerres Civiles (197) qui avaient permis à l'empereur d'accéder au pouvoir. Après quelques années en dehors de Rome (certainement en charge de gouverneur dans une province), il prit les fonctions de consul suffect dans la capitale en 205-206. Dion Cassius était un brillant haut fonctionnaire, discret mais efficace qui sut garder sa place dans une époque de fréquents changements de dynastie. Il fut toujours très proche des empereurs, amicus principis (ami du prince) et habitué des salons de Julia

des prétoriens et de l’armée Selon Tacite, Nerva a eu le mérite de combiner deux notions inconciliables :le principat et la liberté.Ce texte est un extrait de l’ouvrage de l’historien Dion Cassius « Histoire romaine » écrit vers 207 qui retrace l’histoire de Rome de sa fondation à Septime Sévère.Dion Cassius nait vers 155 en Asie Mineure d’une famille sénatoriale il est contemporain de Septime Sévère et occupe des charges importantes comme celle de consul suffect en 205-206 et consul en 229.Marcus

Haut-Empire : de la bataille d’Actium à l’assassinat de Sévère Alexandre, p. 181-182 et p. 200-207. G. Webster, The Roman invasion of Britain, Londres, 1993. Cours de civilisation antique de Khâgne ULM. Introduction : Auteur et œuvre : Dion Cassius, ou Lucius Cassius Dio, est né vers 163/164 et serait mort vers 235 apr. J.C. Natif de Nicée en Bithynie dans une famille sénatoriale, il a reçu une formation en philosophie et en rhétorique, mais aussi en droit romain. Il est titulaire du Cursus Honorum

tyran. Les limites de l’empire sont l’ensemble de ses frontières appelés le Limes, ces frontières s’étendent tout autour de la mer méditerrannée.les barbares perses ou encore germains vont attaquer ces frontières, ce qui amène la guerre. Dion Cassius fils de consul, parle dans « histoires romaines », parut au troisième siècle après J.C, d’un édit fiscal. En effet, la romanisation, qui correspond à l’influence exercée par Rome dans la vie politique et culturelle de l’empire, avait déjà attiré

lrsquoassassinat de Seacutevegravere Alexandre, p. 181-182 et p. 200-207. br / G. Webster, The Roman invasion of Britain, Londres, 1993.br / Cours de civilisation antique de Khacircgne ULM.br / Introduction br / Auteur et oeliguvrenbsp Dion Cassius, ou Lucius Cassius Dio, est neacute vers 163/164 et serait mort vers 235nbspapr. J.C. Natif de Niceacutee en Bithynie dans une famille seacutenatoriale, il a reccedilu une formation en philosophie et en rheacutetorique, mais aussi en droit romain. Il est

décision seule de l’empereur. Mais comme tout document, ce texte est subjectif. En l’occurrence il présente uniquement les arguments que Caracalla souhaite donner pour se présenter comme un empereur magnanime. Or selon des historiens de l’époque comme Dion Cassius, l’empereur était plus motivé par les nouveaux impôts que par la grandeur romaine lorsqu’il a étendu la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire. 

hommes de rang consulaire, dans d’autres des hommes de rang prétorien, dans d’autres encore des chevaliers. Les rois, les dynastes et les décarques sont et ont toujours été sous la dépendance de César. Strabon, Géographie, XVII, 3, 24-25 Dion Cassius : Lorsque l’imperium lui eut été confirmé par le Sénat et le peuple, n’en voulant pas moins apparaître populaire, il accepta la responsabilité totale de l’Etat comme si celui-ci avait besoin de soins particuliers. Il déclara qu’il ne prendrait

citoyen, il faut par contre être un homme libre d’au moins 18 ans, avoir fait son service militaire et ne pas être déditice, c'est-à-dire qu’il fallait être proche de la culture gréco-romaine. Certains hommes se sont opposés à cette loi, comme Dion Cassius, un homme ayant vécu à l’époque de Caracalla, et qui à écrit le texte « Histoire Romaine ». Il était témoin, c’est-a-dire une personne dont les œuvres rendent compte d’une époque. Il accuse Caracalla de despote, en disant qu’il ne fait ça que dans

Tous habitant doit prétendre à haut fonction pour servir l'empereur et lui êtres fidèle. B) Les critiques Malgré les critiques de Sénèque contre Claude qui dit qu'il veut railler sa décision d'étendre la citoyenneté. Ainsi les critique de Dion Cassius contre Caracalla qui dit que l'édit de 212 ne se passe pas comme prévu tantôt c'etais gratuit tantôt il imposer leur dépense. Les citoyens continu à les écouter. III Les citoyens pour la cité et l'empereur A) La romanisation des citoyens

décision seule de l’empereur. Mais comme tout document, ce texte est subjectif. En l’occurrence il présente uniquement les arguments que Caracalla souhaite donner pour se présenter comme un empereur magnanime. Or selon des historiens de l’époque comme Dion Cassius, l’empereur était plus motivé par les nouveaux impôts que par la grandeur romaine lorsqu’il a étendu la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire.