Exposé Sur Rêve

souvent dans les titres :Énigme d'un soir d'automne, L'Énigme de l'oracle, L'Énigme de l'heure... Suivant son frère, devenu peintre lui aussi, Chirico s'installe à Paris et fréquente les samedis de Guillaume Apollinaire où il rencontre Picasso8. Il expose ses premières œuvres au Salon d'automne de 1912 et 1913. Apollinaire trouve le peintre « inhabile et moderne »9 mais après la visite d'une exposition que Chirico a personnellement organisée dans son atelier de la rue Notre-Dame-des-Champs, Apollinaire

œuvre, cherche à découvrir et à exprimé le fonctionnement réel, pur et spontané de la pensée, détaché de toutes préoccupations extérieures et sans intervention aucune de la raison. Les artistes surréalistes ont des sujets de prédilection comme le rêve, l’aliénation mentale et l’inconscient, qui sont des mécanismes de pensée complexe qui encore aujourd’hui ne sont que partiellement compris. Ainsi ces artistes cherchent à projeter sur leurs œuvre l’expression de la pensée sans bride, et expérimente

Duchamp aux surréalistes Marcel Duchamp (1887-1968).Les ready-mades Roue de bicyclette, Roue métallique montée sur un tabouret en bois peint, Neuilly, 1913. hauteur ; 128,5, New York, The Museum of Modern Art En 1913, Marcel Duchamp expose une “sculpture” appelée Roue de bicyclette. Deux objets quotidiens sont assemblés et collés l’un sur l’autre par l’artiste : une roue de bicyclette et un tabouret. Ici rien ne sort de la main de l’artiste, qui réalise un collage tridimensionnel en

étages. Le rez-de-chaussée est destiné à accueillir les visiteurs et le premier étage comporte la plupart des pièces exposées. Il est composé de 4 parties : -Le vestibule:ici sont exposé affiches de ses livres et des livres de Jules Verne -Le salon : tous les effets personnels de JV ainsi que son mobilier sont exposés dans cette partie du musée -La Salle des Maquettes : ici ont voit des maquettes de créatures et de paysage de ses romans ainsi que des maquettes des lieux de son enfance. -Les salles :

composition. Sommaire I- Préface II- L’amour dans les poèmes * Une allée du Luxembourg, Gérard de Nerval, 1854 * Les roses de Saadi, Marceline Desbordes-Valmore, 1859 * A une passante, Charles Baudelaire, 1860 * J’ai tant rêvé de toi, Robert Desnos, 1930 III- La tristesse et la solitude dans les poèmes * La complainte du Désespéré, Joachim du Bellay, 1558 * Spleen, Charles Baudelaire, 1857 * Automne, Guillaume Apollinaire, 1913 IV- La mort dans les

demi-dieu. Après avoir mis en évidence la fabrique d'un héros , nous montrerons que le sportif est le reflet de la société qui cherche ses repères. I. Le sportif victime d'une fabrique de héros C'est un fait les sportifs sont de plus en plus exposé médiatiquement, mais aussi sportivement où on leurs demande toujours plus. Dans notre nouvelle ère le sportif sont les nouveaux guerriers , aventuriers, qui cherche toujours a repousser ses limites comme le dossier de presse Le Battant, nous explique

lui-même : la seule chose qui puisse définir le « moi » c’est mes perceptions et celles-ci sont parfois difficilement saisissables. Enfin, il analyse la situation lorsque les perceptions s’éclipsent ou disparaissent. Tout d’abord, Hume nous expose la façon d’analyser la notion de « moi » de « certains philosophes ». Il montre d’ailleurs immédiatement son désaccord avec eux en employant le verbe « imaginer », ce qui enlève toute crédibilité à leur thèse qu’il va énoncer. Dans ces premières lignes

sociétés modernes. Nous pouvons citer Paul Eluard avec son poème Liberté, où l’auteur se dit être devenu le défenseur de la liberté et est devenu un symbole de la résistance à l’oppression nazie. Ou encore Gérard de Nerval, dans son poème Vers dorés, expose de vive critique contre le courant humaniste, plaçant l’homme au centre de toute réflexion au point d’oublier la nature ou le divin. Peut être peut-on rapprocher le poème de Nerval Vers dorés et celui de Charles Baudelaire Correspondance tiré du

derrière le texte décousu, on perçoit la cohérence d'une pensée. On peut donc tenter de retrouver la démarche logique qui sous-tend ces menues analyses, et les directions dans lesquelles s'oriente la réflexion valéryenne. Sans doute une lecture créant un exposé systématique dont l'ébauche même est absente des Cahiers comporte une large part d'arbitraire. L'examen d'un thème devrait d'ailleurs être complété par d'autres études, qui ne peuvent trouver leur place ici, précisant les notions générales — celle

de l’exécution. Le condamné sans cesse épouvanté par la sentence qu'il va encourir et par l'image de la guillotine, se cloître sur lui même avec la peur comme seul émotion. Durant cette ouvrage, il n'arrive plus a faire la part des choses entre le rêve et la réalité. 2 ° Enfermé, isolé, déshumanisé.. Dans le roman, le condamné est reclus dans plusieurs cellules mais a chaque changement rien ne change du point de vu liberté et règles, ce qui donne un effet symbolique a l'enfermement .L'isolement