Fantaisie Pétrus Borel

célèbre. - Petrus Borel, héritier de toute la tradition du roman noir, il écrit plus des contes fantastiques. - Aloysius (Louis) Bertrand , il est considéré comme un poète maudit, il n’a rien publié de son vivant, il est mort très jeune et il est véritablement le représentant de cette catégorie d’artiste qui rejette la société bourgeoise de l’époque. Son recueil s’appel Gaspard de la nuit, fantaisies a la manière de Rembrandt et de Callot

Ce soir-là, les "Jeunes France" remportent une victoire sur les classiques. Vers la fin de l'année 1830, Gautier commence à participer aux rencontres du "petit cénacle", groupe d'artistes et de sculpteurs. Il y fait des amitiées avec Nerval et Petrus Borel. Dans la préface de Mademoiselle de Maupin (1835), Gautier manifeste sa théorie de l’art pur, suivie ensuite dans le recueil Émaux et Camées (1852) où il présente ce que doit être la poésie. Gautier s'y fait précurseur du Parnasse et de la doctrine

Gérard Beuglant. Louis Gerval. Identité fluctuante, mobile, dès sa prime jeunesse. Dans les années 30, il participe à la bohème littéraire en compagnie de ses amis Gautier, Philotée O'Neddy, Petrus Borel, le lycanthrope, Jehan Du Seigneur, et durant cette période il écrit ses poèmes les plus connus : "La fantaisie". En 1834, il voit pour la première fois au théâtre Jenny Colon dont il tombe fou amoureux. Une vraie passion, au point de transformer un héritage de son oncle pour créer un journal : "le

Saint-Antoine, et découvre à cette occasion qu'il souffre de myopie 2 . « La grande boutique… romantique » Le 27 juin 1829, Gautier rencontre celui qui allait devenir son « maître » en littérature, Victor Hugo, auquel le présentent Gérard et Petrus Borel. Cet évènement précipite sa carrière d'écrivain. Le 25 février 1830, il participe à la fameuse bataille d'Hernani, vêtu d'un gilet rouge3 qui marquera durablement les esprits. Le soir même, il quitte l'atelier de Rioult. Tout en menant « toutes

citer les noms de Jean Moréas, Henri de Régnier, Albert Samain, Georges Rodenbach… Notons aussi pour leur fantaisie Charles Cros et Jules Laforgue, qui ne sont parfois pas si loin des chansons d’Aristide Bruant, lui-même lointain successeur de Béranger. Curiosité : Un nombre important de poètes français du XIXe siècle (et non des moindres !) étaient fils de militaire : Hugo, Vigny, Petrus Borel, Aloysius Bertrand, Leconte de Lisle, Banville, Nerval, Rimbaud, Verlaine ... Ajoutons Baudelaire, dont

la musique structure le poème : « piano » (v. 1), « un air bien vieux » (v. 4), « doux Chant badin » (v. 9), « fin refrain incertain » (v. 10). Le texte est construit comme une mélodie faite d’échos, initiée par l’allitération en [s] du vers de Petrus Borel. Il faut noter aussi la diérèse sur « piano » à l’attaque du poème et l’assonance en [ε] qui accompagne toutes les rimes féminines. 5 Dans ce même poème, relevez les éléments qui évoquent l’intimité et précisez à qui s’adresse le poète dans

erreur, il s’était lié à la prostituée juive Sarah, dite «Louchette», pour laquelle il éprouva une sorte de compassion tendre, mais qui lui avait fait contracter sa maladie vénérienne, et lui inspira plusieurs poèmes d’un fougueux réalisme à la Pétrus Borel : ‘’Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle’’, ‘’Une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive’’, ‘’Je n’ai pas pour maîtresse une lionne illustre’’. Car il s’exerçait à rimer avec des camarades : Ernest Prarond, Jules Buisson, Gustave Le

crépuscule Les Voix intérieures Les Rayons et les Ombres Les Contemplations La Légende des siècles La Fin de Satan V - Le romantisme noir Charles Nodier : Jean Sbogar (1818) ; La Fée aux miettes (1832) ; Xavier Forneret : Ombres de poésie (1860) Petrus Borel : Contes immoraux (1833) ; Madame Putiphar (1839) Aloysius Bertrand : Gaspard de la nuit (1842) Gérard de Nerval: Les Illuminés (1852) ; Les Filles du feu (1854) ; Les Chimères (1854) ; Aurélia (1855). Alors que le romantisme historique, celui

romantique qui existe autour de la personnalité de Hugo. - En 1829, « Le petit cénacle » se réunit dans l’atelier du sculpteur Jean Duseigneur. Ils se sont appelés eux même les « petits romantiques » car pour la plupart ils ne sont pas très connus : Pétrus Borel, Arsène Harssaye, Théophile Gzutier, Nerval. Ce dernier cercle se dédouble autour du peintre Camille Rogier, dans un quartier près du Louvre : Le cercle du doyenné. On y retrouve Harssaye, Gautier… A l’époque, les journaux, quotidiens d’actualité

notamment p. 171, 190-191, 246, 314, etc.; sur l'influence des Petits Romantiques d'avant 1850, voir aussi A. Fongaro, Quelques images dans "Les Fleurs du Mal", Presses Universitaires du Mirail-Toulouse, 1988, p. 50, et J.-L. Steinmetz, "Baudelaire et Pétrus Borel", dans Du Romantisme au surnaturalisme. Hommage à Claude Pichois, Neuchâtel, La Baconnière, 1985, p. 137 à 146. Plus généralement, voir les études de J.-L. Steinmetz et de J. Bellemin-Noël sur les "petits romantiques" et les "frénétiques", dans