Félix Faure

Alsaciens de France, multiplia les entretiens pour tenter de se faire une opinion sûre. Scheurer-Kestner va désormais défendre l'innocence du capitaine, auprès du ministre de la guerre, Jean-Baptiste Billot, et auprès du président de la République, Félix Faure. Le 26 novembre 1897, par l'intermédiaire de son avocat Me Jullemier, Madame de Boulancy, cousine et ancienne maîtresse de Ferdinand Walsin Esterhazy, qui a décidé de se venger de son amant et débiteur, fait parvenir à Scheurer-Kestner les lettres

République, nous vous dégradons ! ». On commence à prétendre que Dreyfus aurait fait des aveux au capitaine Lebrun-Renault après la dégradation. 15 janvier 1895 : Casimir-Perier démissionne de la présidence de la République 17 janvier 1895 : Félix Faure est élu Président de la République par le Congrès.   Le 17 janvier 1895 Dreyfus est sorti en pleine nuit de la prison de la Santé, amené depuis la gare d'Orsay par train cellulaire à La Rochelle, où une foule haineuse qui le reconnaît  menace

Texte 1 : « J’accuse… ! » Lettre au président de la République (M. Felix Faure), par EMILE ZOLA, paru le 13 janvier 1898 dans l’Aurore La lettre ouverte de Zola au sujet de l’affaire Dreyfus a été publiée en 1898. A cette époque, Zola est un écrivain connu donc il utilise sa notoriété au service de cette affaire. En résumé l’affaire Dreyfus, c’est un militaire juif qui a été accusé à tort de trahison, il aurait livré des informations sur la France aux Allemands. J’accuse est à la fois une lette

ensuite l’économie et pour terminer la société. En 1900 en France c’est la IIIe République sous la présidence de Emile Loubet qui succède a Felix Faure suite a son décès en 1899, malgré la tentative de coups d’état de Paul Déroulède. La course à la présidence de la République oppose le camp des antidreyfusards aux dreyfusards. Jusqu'ici, Félix Faure aurait appuyé les adversaires de la révision du procès de Dreyfus. Il est alors élu président de la république par le congres réunie a Versailles

Un jour dans la forêt, j'avais lak jsuis kan jwis anal bsbsbsb Lettre à M. Félix Faure, Président de la République Monsieur le Président, Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m’avez fait un jour, d’avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu’ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des taches ? Vous êtes sorti sain et sauf des basses calomnies, vous avez conquis les cœurs. Vous apparaissez

des valeurs et de la tradition nationale inspire cette droite antidreyfusarde représentée par la Ligue des Patriotes crée en 1882. L’élection en 1899, à la présidence de la République, du modéré prudemment révisionniste Emile Loubet à la place de Félix Faure (également modéré mais fortement antirévisionniste) puis la formation du Gouvernement de défense républicaine de Waldeck-Rousseau, appuyé sur le Bloc des gauches rassemblant l’ensemble des dreyfusards, socialistes, radicaux, modérés révisionnistes

petite ville administrative, mais aussi, grâce à sa situation en lisière de forêt et au chemin de fer, une ville de villégiature en plein essor. Dès 1873, le président Mac-Mahon et ses successeurs viennent chasser dans le domaine de Rambouillet. Félix Faure transforme le château en résidence présidentielle en 1896. De son côté, la bourgeoisie d’affaires et industrielle édifie de riches villas urbaines sur le plateau, tandis que l’aristocratie se fait construire des châteaux de chasse en périphérie

était Juif qu'on l'a condamné. » Bernard-Lazare, le premier des dreyfusards, résume ainsi le sort du capitaine Dreyfus. a. J’accuse … d’Emile Zola Le 13 Janvier 1898, Emile Zola fait publier, en première page de L’aurore, sa lettre ouverte à M. Felix Faure, Président de la République. Son J’accuse… qui fut tiré en 300 000 exemplaires, met en cause les experts mais surtout les généraux et les bureaux de la guerre. Dans le dernier paragraphe qui fait office de conclusion il porte les accusations suivantes :

traditions de la IIIe et la volonté de certains 2 auraient dû conduire à une démission collective du Gouvernement. Ce précédent resservira, notamment à Georges Bidault face à la défection de ses ministres socialistes en février 1950, et à Edgar Faure en 1955 en présence de la démission de ministres gaullistes puis radicaux. Pourtant, tous les présidents du Conseil de la IVe République n’auront pas ce courage et le gouvernement Ramadier lui-même tombera du fait de la défection de ses ministres

parlementarisme rationalisé, car les conditions de la dissolution sont presque impossibles à réunir : le gouvernement ne doit pas être en place depuis plus de 18 mois, et doit avoir traversé deux crises gouvernementales durant cette période. Seul Edgar Faure parviendra à réunir ces conditions en 1955. II. Il est cependant victime du régime et de la vie politique de la Quatrième République 1. Le jeu des partis politiques Jusqu’en 1947, la vie politique française présente un tripartisme