Ferdinand VII

Le Carlisme est un mouvement socio-politique des conflits de Succession d'Espagne dérivé de la mort de Ferdinand VII, en 1833, entre les partisans des droits au trône de son frère Carlos María Isidro, et sa fille Isabel II, qui a conduit à trois guerres civiles au cours du XIXe siècle (guerres carlistes). L'idéologie carliste peut se résumer dans le slogan «Dieu, Patrie, le Roi», qui a été accompagnée par la monarchie autoritaire catholique, une défense de la tradition et d'un système politique

aristocratique qui se range derrière le prince des Asturies, Ferdinand ; - des hauts fonctionnaires réformateurs ; - populaire qui se cristallise contre Godoy et sa politique vis-à-vis de la France (entrée des troupes de Napoléon en Espagne fin 1807), éclatant lors du soulèvement d’Aranjuez, le 18 mars 1808 ; • l’effondrement : - crise dynastique ouverte entre Charles IV et son fils Ferdinand ; - la crise est tranchée par Napoléon à Bayonne

Guernica. Le 2 et 3 mai, à Madrid, a lieu une révolte visant à empêcher le départ pour la France de l'Infant Francisco de Paula, dernier membre de la famille royale encore à Madrid. En effet, le roi Ferdinand VII et son père se trouvaient déjà à Bayonne, prisonniers de l'empereur Napoléon ; Ferdinand VII fut finalement obligé d'abdiquer en faveur du frère de Napoléon, Joseph Bonaparte, et interné au château de Valençay. Suite à un premier affrontement entre les passants et les soldats français, une

Libéralisme et contre révolution Les Apostoliques, en voyant le double jeu de Ferdinand VII, le dénoncent et se révoltent en sa contre: août 1827, la révolte des mécontents en Catalogne provoque la rupture entre eux. Ferdinand se rapproche aux afrancesados, libéraux modérés... Les Apostoliques se rapprochent à Don Carlos, frère du roi, pour succéder le roi qui n'a pas de descendance. C'est alors qu'il se marie avec Marie-Christine et ont une fille. À la mort du roi, les modérés forment un gouvernement

grandes : 2,66 m x 3,45 m. • Auteur : Francisco De Goya (1746-1828), peintre officiel de la cour royale en Espagne, acquis aux idées des Lumières (liberté, égalité) • Date de réalisation : 1814 (6 ans après les faits). Menacé par le roi Ferdinand VII qui emprisonne tous ceux qui ont soutenu les Français, De Goya veut le convaincre de sa fidélité à l'Espagne. Il peint deux tableaux ( Dos de Mayo et Tres de Mayo) en l'honneur de la nation espagnole persécutée par l'envahisseur français (1808-1814

(1806) ou encore Eylau (1807). Napoléon domine ainsi un vaste territoire auquel appartient l’Espagne. Les 2 et 3 mai 1808, à Madrid, à lieu une révolte contre l’occupation française. En effet, le roi Ferdinand VII et son père se trouvaient déjà à Bayonne, prisonniers de l'empereur Napoléon ; Ferdinand VII fut finalement obligé d'abdiquer en faveur du frère de Napoléon, Joseph Bonaparte. Suite à un premier affrontement entre les passants et les soldats français, une foule en colère s'assemble et se fait

travers cette œuvre, la question ayant retenu notre attention est : Comment Goya témoigne-t-il du sentiment national espagnol ? 3 Situer l’œuvre dans son contexte Lorsque Goya réalise ce tableau, le roi Ferdinand VII, qui avait dû abdiquer en 1808, a retrouvé son trône. Menacé par le roi Ferdinand VII qui emprisonne tous ceux qui ont soutenu les Français, Goya veut le convaincre de sa fidélité à l'Espagne. Il peint deux tableaux : « Très de Mayo » et « Dos des Mayo » « Très de Mayo » est une

contre les insurgés madrilènes, le 3 mai 1808. L’œuvre (266×345cm) est conservée au musée du Prado à Madrid. 2/ Au moment de l’insurrection, c’est le frère de Napoléon 1er, Joseph Bonaparte , qui dirige l’Espagne. Lorsque Goya réalise ce tableau, Ferdinand VII, qui avait dû abdiquer en 1808, a retrouvé son trône. Décrire l’œuvre et en expliquer son sens. 3/ Cette scène représente l’exécution des Madrilènes, tombés aux mains de l’armée française. Dans la partie gauche du tableau, des cadavres jonchent

ce qui était considéré comme vieux à cette époque. Il peignit les tableaux 6 ans après les scènes. Il n’y avait pas assisté mais grâce aux témoignages recueillis, il put les représentées avec une émotion forte. Ces tableaux furent peints pour Ferdinand VII suite à la défaite des français. En 1807, Napoléon Ier a conquis presque toute l’Europe mais l’Angleterre ne veut pas céder et domine les mers. Il décida donc de l’empêcher de se ravitailler pour qu’elle se rende. Mais pour réussir il fallait

s'était établie à Buenos Aires, « reconnaissant toujours le malheureux souverain sous les auspices duquel nous vivons (Ferdinand VII d'Espagne), nous unissant et nous confédérant avec la ville de Buenos Aires elle-même, » etc. Le 20 juin, les membres d'une Junte désignée par le Congrès de la province du Paraguay prêtèrent serment de n'obéir à aucun autre souverain que Ferdinand VII. Le 12 octobre 1811 fut signé avec Buenos Aires un traité de commerce, sur les frontières et d'amitié qui, dans son article