Guerre latine

L’AMERIQUE LATINE ET LA 2° GUERRE MONDIALE Petit rappel : l’Amérique Latine fut soumise dans les années 1930 à une diffusion fasciste assez importante. D’abord, au niveau commercial : l’Allemagne et le Japon étaient très présents en Amérique Latine et intéressés par les matières premières. Aussi, les forces de l’Axe avaient une ancienne « complicité » avec certains pays d’Amérique Latine : l’Allemagne avec le Chili et l’Argentine, par exemple. Et dans presque tous les pays d’Amérique Latine, il y avait

L’Amérique latine pendant la Deuxième Guerre Mondiale L'Amérique Latine s'est tenue en marge de la guerre. Il n'y a pas de combat sur ses terres. Cela ne veut pas dire que rien ne s’y est passé. Le Mexique sous Cardenas, dès le début de la guerre civile d’Espagne en été 1936, voit le danger mondial que représente l’aide de Hitler et Mussolini à Franco. C’est pour cela que le Mexique demande l'intervention de la Société des Nations. La France et la GB refusent sous prétexte de neutralité et

Devoir-Maison : Les Guerres Puniques Introduction 1) A quel siècle eurent lieu les guerres puniques ? Les guerres puniques eurent lieu entre le 3èmeet le 2ème avant J.C 2) Expliquez d’où vient le terme « punique » et justifiez ainsi l’appellation de ces guerres. Du latin Punicus, « Carthaginois », Qui est relatif aux Carthaginois. (Habitants de Carthage). Les guerres sont appelés punique car elles sont contre les Carthaginois. 3) Situez précisément Carthage en indiquant le continent

L’AMERIQUE LATINE PENDANT LA GUERRE FROIDE La lutte contre l'expansion du communisme en Amérique est favorisée par le soutien organisé de l'Amérique latine aux États-Unis. Avec la constitution des deux blocs, les États-Unis décident de s'assurer l'appui de l'Amérique latine pour éviter l'expansion du communisme sur le continent américain. Ils cherchent à renforcer leurs alliances dès 1947 lors de la conférence inter.américaine « pour le maintien de la paix et de la sécurité collective » qui

cette indépendance, est restée lier à la culture traditionnelles des habitants d’en découles plusieurs formes de crimes liés a « la magie » (empoisonnement, délits sexuels, adultères…) qui est devenu un facteur direct de la délinquance En Amérique latine c’est le phénomène du banditisme des bandes armées des paysans chassés de leur terre qui caractérise ces payes, toutefois on aperçoit une certaine criminalité traditionnelle liée aussi aux pratiques « magiques », et c’est les mentalités issues de

actuelles arrivent bcp plus vite. Dans un monde ouvert le problème de la gouvernance globale se pose alr. Concurrence ouverte, dit concurrence généralisé, voir affrontement, a la concurrence d’autre fois et venu se substituer la guerre de la compétitivité, la guerre commerciale. A la fin du 19ème siècle le monde était dominé par la Grande Bretagne, le commerce mondial était bâtit sur le principe de bien vaquant. Aujourd’hui le monde est multipolaire, non seulement la domination britannique

Cicéron (en latin Marcus Tullius Cicero), né le 3 janvier 106 av. J.-C. à Arpinum en Italie et assassiné le 7 décembre 43 av. J.-C. à Gaète, est un homme d'État romain et un auteur latin. Originaire de la bourgeoisie italienne, Cicéron n’appartient pas à la noblesse romaine, ce qui en principe ne le destine pas à un rôle politique majeur. Contrairement à ses contemporains Pompée et Jules César, la carrière militaire ne l’intéresse pas, et après une solide formation à la rhétorique et au droit, il

religion dans le monde qui n'ait pas été souillée par le fanatisme, c'est celle des lettrés de la Chine L’origine de mot fanatisme Origine du mot fanatisme :Le fanatisme est essentiellement d’origine religieuse : étymologiquement, fanatisme vient du latin fanaticus, qui provient lui-même de fanum : le temple. Fanaticus signifie « ce qui concerne le temple » puis prend le sens d’ « inspiré », « en délire », à propos des prêtres de Cybèle qui se livraient à des manifestations violentes au cours du culte

d’or riche en enseignements. Le latin ecclésiastique en vigueur n’est qu’un jargon abâtardi, bien loin de la richesse du latin cicéronien. Dès lors, un seul mot d’ordre va dominer : « retour aux sources !». Le premier humanisme français est donc un humanisme qui s’appuiera avant tout sur la philologie : l’étude du langage. Dictionnaires, éditions critiques, traductions vont se multiplier, alors que quelques grands savants se mettent à dispenser un enseignement en latin et grec auquel assistent des foules

l’accession à la noblesse, une famille roturière pouvant obtenir l’anoblissement au bout de deux générations à condition de « vivre noblement » (pas d’activité commerçante ou de travail manuel, participation aux assemblées de la noblesse, aller à la guerre) et de payer de lourdes charges (droits de francs fiefs, service du ban et de l’arrière-ban). Si son grand-père, Grimon Eyquem, reste marchand et continue à faire prospérer la maison de commerce de Bordeaux, son père, Pierre Eyquem, le premier de