Hyperbole

forte, métaphore du lever du soleil et de ses rayons rouges. v.3 et 4 : image encore accentuée par l’adverbe « maint » (= beaucoup) brillance +++, au présent de vérité générale -> toujours vrai. Email = brillance (encore) = beauté +++ -> Hyperbole beauté matin/beauté féminine = tellement beau que le ciel rougit (dimension amoureuse, le ciel tombe amoureux de l’Aurore). Argument : Rencontre soudaine de la « Nymphe » et confrontation. Procédés : v.5 « quand » (conj. Valeur temporelle)

futur avec elle associé a Viergeb) coup de foudreF associe A à divinité ( métaphore + champ lexical lumière ) + hyperboles + clichés CDF ( voir en bas )c) forme de folie forme de folie ( voir bas ) veut tt connaitre sur A le rend heureux désir de possession = F devient malsainémet hypothèses (voir en bas) sur la vie de FIII – Flaubert critique le sentimentalisme

langage = complicité = noeud de l'histoire, car ils s'encouragent entre eux dans le libertinage. C. L'arrogance du Grand Seigneur Hyperboles : "délicieuses jouissances", "le plus grand projet que j'ai jamais formé", "j'y pense le jour, j'y rêve la nuit" (parallélisme, construction en parataxe, construction parallèle avec juste un signe de ponctuation), "saint respect" = hyperbole sarcastique. Tous les termes autour de la gloire : "l'ardeur du désir", "gloire". Ton extrêmement certain, catégorique, ton

sens propre ? ……………………………………………..Que mettent-elles en relief à propos d’Antoine et d’Emma ? ………………………………………………………………………………………………………………………...Exercice 2 : Indiquez le procédé d’écriture utilisé : comparaison, métaphore, personnification, opposition, hyperbole ou accumulation. Il a dû signer une avalanche d’autographes . …………………………………………….. Il est mort de honte.

lustrait, jouaient, se roulaient, erraient. Il se trouve un champ lexical du bruit et brouillard brisa, lacera les glaces et les rideaux, des porcelaines brisées, morceaux de cristal qui sonnaient…comme des lames d’harmonica, ce dernier est une hyperbole. Il y a aussi un aspect olfactif fumait son brûlé-guêpe, nuage de poussière. La vision épique-satirique du premiere paragraphe évolue vers une autre plus sombre, accentuée par l’adverbe Puis, la fureur assombrit se traduit en une exaltation plus

l'armée et la population Les spectateurs et les soldats réunis dans un même lieu se rallient ensuite autour de Napoléon. – La réunion est résumée → parallélisme "la population citadine et la population armée". – Une communion de sentiments → hyperbole d'"un enthousiasme indescriptible", cela traduit l'émotion intense que ressentent les spectateurs et les soldats autour de l'empereur. – Les deux groupes sont rassemblés → terme mélioratif de "citoyen", comme si chacun jouait un rôle, avait sa

emploi de la première personne- vocabulaire du sentiment- phrases expressives- figures d’insistance (hyperbole, gradation, anaphore) | épique | Célébration des prouesses et des exploits accomplis par des héros. Le but est de susciter l’admiration, l’étonnement et l’effroi. Personnages assimilés à des héros de combat. | - vocabulaire guerrier- vocabulaire valorisant- figures d’amplification (hyperboles, gradations) | didactique | Instruire, informer le lecteur. Enseigner, faire comprendre. | - vocabulaire

d’expérience auquel on peut supposer qu’il su tirer des leçons de vie - Phrase interrogative «  pourquoi tant m’inquiéter sur ce qui m’en reste ? » s’interroge sur sa vie, se pose des questions et va y répondre - « La plus brillante fortune » -> hyperbole - « Ne mérite point » « ne point » -> négation totale il recherche la sérénité mettre à distance cette vie de cour il s’en éloigne coordination négative « ni » adverbe de négation - Le pronom personnel « je » peut confirmer le fait que ça

totalement différent des autres, à l’image du Christ qui a enduré la souffrance et le martyr. Il est bienveillance et souffre pour le peuple. Sa mission est d’éclairer la foule. Le poète est un être entre deux mondes : Dieu et les hommes. De nombreuses hyperboles, accumulation traduisent la réussite de la mission sacrée : « il rayonne ! », « il jette la flamme » . Dans le dernier texte, Aragon fait appel à se qui touche à la mort « le chemin de croix », « chrysanthèmes », « trépas ». Le recours aux périphrases

détermination à persuader mais constate assez rapidement son échec, même après avoir usé de tous les moyens rhétoriques qu’il possédait. Cette image de l’orateur semble caricaturée par les traits grossiers, volontairement exagérés par les nombreuses hyperboles présentes dans la fable. D’un autre côté, on observe un peuple insensible et passif, en total contraste avec l’attitude énergique de l’orateur : cette passivité se traduit par de nombreuses négations : « personne ne s’émut », « ne daignait l’écouter »