Hyperbole

melioratif L9, « grande beauté »L28, éloge de la beauté la jeune femme. - « elle attira les yeux de tout le monde » L1, hyperbole, la beauté de la jeune femme cré un effet sur l’entourage. - « la blancheur de son teint… blonds » l29, parallélisme qui décrit le portrait typique des femmes de la noblesse du 17ème siècle. - hyperbole « il en fut surpris avec raison » « grande beauté », hyperboles » l27, met en valeur l’immense beauté de la jeune femme 2) Un portrait physique et moral - Portrait moral : L'éducation

nous allons dans un premier temps étudier le plaisir de ces lectures d’enfance, puis le registre ironique et satirique dans un second temps. Au début de l’extrait, Jean Paul Sartre fait l’éloge de ses lectures d’enfance, et nous exprime dans une hyperbole son goût d’enfant pour des livres qui lui semblaient merveilleux : « j’adorais ». C’est ensuite dans deux métaphores que le narrateur nous décrit des « petits théâtres (à) la couverture rouge à glands d’or » avec de « la poussière de soleil sur les

dans le regard entre Ronsard et Hélène. L’auteur utilise des mots comme «poignant regard»(V.8) pour démontrer à quel point le lien qui les a unis pendant ces quelques secondes était puissant. Ensuite, il utilise des procédés d’écriture telle qu’une hyperbole, «J'eus de froid et de chaud la fièvre continue»(V.7), qui exagère l’état d’esprit de Ronsard. De plus, la personnification a été l’une des figures de style Le thème principal de ce poème est le coup de foudre entre Ronsard et Hélène. En effet

oreilles des voisins (antiphrase) 11. Des nuits blanches qu’elle avait passées à gémir (oxymore) 12. Sans toi, le soleil deviendra froid (oxymore) 13. Ceux-ci en rient, ceux-là en pleurent (antithèse) 14. Elle posait mille questions à ma mère (hyperbole) 15. J’ai six ans, l’année prochaine j’en aurai sept et puis huit, neuf et dix (gradation) 16. Dans ma boite à merveilles il y avait des clous, des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des encriers vides,…. (énumération)

valeurs par divers procédés, comme des hyperboles, ou des analogies. Il vise à susciter l'admiration. Ce registre emploi un lexique guerrier, comme ici, «char» (l.2), «gardes» (l.2), «s'armer» (l.28), «ses javelots» (l.31). Mais aussi un vocabulaire mélioratif souvent amplifié par une hyperbole, «superbes coursiers» (l.6), «ardeur si noble» (l.7), «une voix formidable» (l.12), «Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros» (l.30), «lui seul» montre bien une hyperbole, désignant Hippolyte comme le seul

dire « Vous avez raison » au lieu de « bien raison », cependant, ce bien ajoute ici une note d’insistance de prise de parti. Vers 3 : même le plus petit des oiseaux paraît extrêmement lourd face à la fragilité du roseau On pourrait penser à une hyperbole or c’est entièrement vrai. Vers 4-5-6 : signifie que si par hasard le vent, bien qu’il soit doux, souffle, et qu’il ne fait que « rider », ébranler le calme de la surface de l’eau, il trouble tout de même le Roseau. Exagération, si le vent n’est

vain désir Celle pour qui mon cœur toujours me prie Maurice Scève, Délie, objet de plus haute vertu 1544. Texte 2 Je n'ai plus que les os, un squelette je semble, >>> métaphore Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, >>> accumulation et hyperbole Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; >>> personnification Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m'a trompé. Adieu, plaisant soleil

extraordinaire dans tout (hyperbole) les exercices. Ex : un air dans sa personne qui faisait qu’on ne pouvait regarder que lui (négation restrictive). Portrait physique : « un chef d’œuvre de la nature » → hyperbole. « Le mieux fait et le plus beau » → superlatif absolu / hyperbole. « Un engouement qui plaisait aux hommes et aux femmes ». « Adresse extraordinaire », « Un air dans toute sa personne qui faisait qu’on ne regardait que lui », « Agrément dans son visage » → hyperbole. Portrait moral : Valeurs

s’interroge, prend le lecteur à témoin. L’apostrophe (ô), utilise l’impératif ou le subjonctif. S’adresse à une divinité prise à témoin ou au lecteur. Rythmes et structures de phrases : ruptures marquant de fortes émotions Figures de style : hyperboles, anaphores, parallélismes, chiasmes … Ex : « En cet affront mon père est l’offensé Et l’offenseur est le père de Chimène » Corneille, Le Cid Sonorités : reprises de sons semblables pour marquer le retour des mêmes émotions, impressions

figures de style telles que les métaphores et les hyperboles afin de mettre en évidence la foule en mouvement. Ces figures de styles amplifient l’intensité de la situation : « flots vivants » (métaphore) « flots » (eau en mouvement qui désigne la foule d’insurgés) ; « tempête humaine » (hyperbole et métaphore) « tempête » (les insurgés sont tellement en colère et agités que l’ensemble ressemble à une tempête) ; « éclat assourdissant » (hyperbole) « assourdissant » (le chant des insurgés ne rend