Irrigation

en moyenne, de plus de 40 %. Pendant les années sèches, il donne que cette méthode pouvait non seulement fournir de l’eau sûre et bon marché pour l’usage domestique, mais encore qu’elle permettait d’accroître la production agricole grâce à une irrigation supplémentaire. Les rendements ont augmenté d’environ 40 % en année normale et de beaucoup plus en année de sécheresse. Disposant d’eau dans leurs réservoirs, les agriculteurs peuvent maintenant diversifier leurs systèmes de culture. Avant le projet

voir les familles détroussées ac violence aussitôt les distributions alimentaire effectuées.. Quelles sont les Solutions possible pour sortir le Sahel de l'Insécurité alimentaire ? _ Par des travaux de Bonifications : (aménagement de petites irrigations financés par des immigrés ou par la coopération internationale.) _ Par l'action des Etats : (Mali) => Il prete de l'argent aux paysans pour augmenter la productivité (riz) pour dépendre moins des importation Asiatique et donc des prix mondiaux

importants : une des ressources les plus convoitées et les plus importante du desert (non renouvelable) D’autres ressources et potentialités Des sols très fertiles (dès qu’ils sont irrigués par les aquifères) = dvpement de parcelles ciculaire + irrigation par aspersion Des potentialités pour l’energie solaire (fort ensoleillement) Projet de construction de centrales solaires pour l’Europe et Af. Nord par sc. allemends Des potentialités pour le tourisme (aventure…) mais insécurité endemique Qui

ECOLE NATIONALE DES SCIENCES APPLIQUEES DE FES ------------------------------------------------------------------------------------------ Résumé Un jardin, qu'il soit potager ou d’agrément avec pelouse, arbustes et fleurs, nécessite une irrigation abondante afin de pouvoir éviter la sécheresse du sol. Or, lorsque l'on irrigue un terrain, on ne sait jamais si la quantité d'eau apportée est suffisante ou si l'arrosage est réalisé au bon moment avec un maximum d’efficacité. Pour minimiser

et l’assèchement des marais de nouvelles terres. Les aménagements syriens : Le barrage Tabqa sur l’Euphrate terminé en 1976. La retenue de 12 km3 devrait permettre la mise sous irrigation de 640 000 nouveaux hectares mais le résultat n’est pas le même que ce qui était attendu, on constate actuellement une irrigation de 100 000 à 150 000 hectares. Les aménagements Turque : La Turquie à mis en place en 1972 son programme Régional de développement de l’Anatonlie du Sud-Est, qui vise au développement

Par ailleurs, l’utilisation massive et non concertée des engrais et pesticides a dénaturé les sols. Ainsi les craintes énoncées dès 1968 par Monkombu Swaminathan7, père de la « révolution verte » en Inde, face aux conséquences d’une mauvaise irrigation et du recours abusif des pesticides, se révèlent fondées et sont aujourd’hui d’actualité. Une portion de la surface agricole utile du pays est ainsi fortement dégradée : salinisation des sols, baisse du niveau de certaines nappes phréatiques sont

alors quasi réduite à celle d’eau de boisson et aux pertes par évaporation. Ce moyen est déjà utilisé par la principauté de Monaco ainsi que dans les navettes spatiales où, par obligation, la même eau doit être utilisée parfois durant des mois. § Irrigation des cultures et des espaces verts urbains Les eaux domestiques usées peuvent aussi être réutilisées pour un tout autre usage, notamment pour l'irrigation. En Israël, 70 % des eaux d'égout sont ainsi recyclées et permettent d'irriguer 20 000 hectares

(agriculture, activités industrielles). L'urbanisation conduit à une hausse de la consommation moyenne des individus, en raison de leur mode de vie et de leurs revenus. La croissance économique introduit de nouvelles pratiques consommatrices d'eau : irrigation dans l'agriculture, nettoyage des véhicules, arrosage des jardins privé, etc. 2)Un accès à l'eau inégal L'accès à l'eau demeure inégal à travers le monde : 1,3 milliards de personnes n'ont pas accès à l'eau potable. La mauvaise qualité de l'eau

inégale. Les avancées les plus spectaculaires ont concerné les céréales nobles, comme le riz et surtout le blé, et quelques cultures anciennement orientées vers la vente, telles la canne à sucre et le coton. […] Les cultures capables de réussir sans irrigation, ou d’occuper les sols les plus médiocres, comme les millets, se voient confiner dans les situations marginales, ce qui limite encore leur productivité. Du coup, elles reçoivent moins d’efforts et d’investissements, si bien que leur désavantage

agraire ». Le recensement général des coopératives de 1998 a dénombré 1724 coopératives couvrant de multiples services (collecte et commercialisation du lait, élevage du bétail, approvisionnement, utilisation commune des engins agricoles, légumes, irrigation, avicoles, agrumes, olives…). En matière d'irrigation, on assiste à la mise en place, dans les périmètres de petite et moyenne hydraulique mais aussi dans la grande hydraulique, de nombreuses Associations d'Usagers de l'Eau Agricole (AUEA), appelées