Jargon

insinuatif, préparatif et rémollient » et « amollir, humecter, rafraîchir ». Les deux adjectifs « préparatif, rémollient » relèvent de l’ordre du jargon médical mais « insinuatif » est un néologisme formé avec le suffixe if. Molière parodie le vocabulaire technique et pseudo-médical. Le langage de l’apothicaire mêle soutenu et trivial (langage courant), jargon et inventions. La juxtaposition

la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu’il soit égal de t’adorer dans un jargon formé d’une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l’habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d’un petit tas de la boue de ce monde et qui possèdent quelques fragments arrondis d’un certain métal, jouissent sans

la refuser : " ceux dont l’habit est teint en violet " (évêques), " ceux dont l’habit est teint en rouge " (cardinaux), " quelques fragments arrondis d’un certain métal " (argent), " un jargon formé d’une ancienne langue " (latin) Lignes 14-15. Ces périphrases de plus, dévalorisent ce dont il est question : " jargon " Ligne 14, " petit tas de la boue " Ligne 16. - Critique des rites multiples qui sont source de conflits entre les hommes : " ...lumière... "Ligne 11, " ...leur robe....manteau .... "

âge-là que nous avons l’impression que l’enfant fait de grands discourt, mais c’est seulement plusieurs syllabes groupées. Le babil sera différent selon la langue maternelle. Le jargon Le jargon apparait vers 14 mois. L’enfant se rappelle des mots, mais à oublier les sons et la façon de prononcer cela crée alors le jargon. Seule les proche de l’enfant arrive à déchiffré ce qu’il dit. L’enfant pointe et imite les sons que font les objets pour communiquer. Par exemple le poupon pointe un chien et

de situation est provoqué : Follavoine blame Rose pour son ignorance mais celui-ci ne sait même pas orthographier « Iles Hébrides »(Z’hébrides…). Dans « Knock », on observe un comique de mots et de situation. Le comique de mots se traduit par un jargon médical inventé(colonne de Clark »). Le comique de situation s’exprime par le comportement de Knock envers la vieille dame. Il profite de son ignorance pour se moquer d’elle( elle serait tombé de 3m50 d’une échelle). On remarque également un comique

la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d'une toile blanche pour dire qu'il faut t'aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu'il soit égal de t'adorer dans un jargon formé d'une ancienne langue2, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l'habit est teint en rouge ou en violet3, qui dominent sur une petite parcelle d'un petit tas de la boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d'un certain métal4, jouissent

fait aux hommes que Voltaire s'adresse (prétérition de la ligne 1), même s'ils paraissent incapables de le comprendre. Les termes de la péroraison reprennent ceux de la prière : phénomène d'écho
 "égorger" ..."déchirons" ; "haïr" ... "haïssons" ; "jargon" ..."langages divers"
2° IA : Dieu est d'ailleurs absent des lignes 7 à 23 consacrées aux seuls hommes. Dieu n'est donc qu'un moyen. Et le "prier" est absurde ... puisque ses "décrets sont immuables" ! 3° § Dieu lui-même est, en fait, "égratigné"

fait aux hommes que Voltaire s'adresse (prétérition de la ligne 1), même s'ils paraissent incapables de le comprendre. Les termes de la péroraison reprennent ceux de la prière : phénomène d'écho "égorger" ..."déchirons" ; "haïr" ... "haïssons" ; "jargon" ..."langages divers" 2° IA : Dieu est d'ailleurs absent des lignes 7 à 23 consacrées aux seuls hommes. Dieu n'est donc qu'un moyen. Et le "prier" est absurde ... puisque ses "décrets sont immuables" ! 3° § Dieu lui-même est, en fait, "égratigné"

la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu’il soit égal de t’adorer dans un jargon formé d’une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l’habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d’un petit tas de la boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d’un certain métal, jouissent sans

la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu’il soit égal de t’adorer dans un jargon formé d’une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l’habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d’un petit tas de boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d’un certain métal, jouissent sans orgueil