Jean-Antoine de Baïf

sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cette constellation pour se désigner. Outre Ronsard, la Pléiade regroupe Joachim du Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Pelletier du Mans, Jean Dorat prendra sa place au sein

Cléopâtre captive (1553). - Jean-Antoine de Antoine Baïf, né en 1532 et mort en 1589 ; il essaya d’appliquer la prosodie latine, à base de brèves et de longues, à la poésie française. - Jacques Peletier du Mans, né en 1517 et mort en 1582 ; un poète, un médecin et un scientifique français qui voyagea et proposa entre autres une réforme de l’orthographe. Au départ, la Pléiade était composé de Ronsard, du Bellay, Jean-Antoine du Baïf, Étienne Jodelle et Jean de la Péruse (1529-1554). Cependant

Jodelle (1532-1573 ) _ Pontus de Tyard ( 1521-1605 ) _ Jean Antoine de Baïf ( 1532-1589 ) Conviction de la Pléiade : _ Une affirmation de l'élétisme _ Le principe de l'imitation _ La éhabilitation de la langue française _ Un enrichissement poétique Oeuvres poétiques de la Pléiade : 1549 Les Erreurs amoureuses , Pontus Tyard. 1550 Odes, Ronsard 1552 Amours , Ronsard 1555 Les Amours de Francine , Jean Antoine du Baif 1558 Les Regrets , Du Bellay .

évoluer la poésie en premier au XVème siècle. Cette évolution continue avec les poètes Maurice Scève² (1501- v1564) et Louise Labé3 (v1522-1566). En France en 1549, les poètes Pierre Ronsard, Joachim Du Bellay et Antoine de Baïf qui ont étudié au collège humaniste Coqueret dirigé par Jean Dorat créent « la Brigade » avec les autres poètes Jacques Peletier du Mans, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard et Rémy Belleau. En 1949, Du Bellay rédige le texte fondateur de la pléiade, la défense et illustration

l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au iiie siècle, le nom de cette constellation pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)). À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau,Antoine de Baïf, Pontus

Biographie de Joachimdu Bellay Joachim du Bellay est né au château de La Turmelière, près de Liré en Anjou, en1522. Il est originaire d’une famille de cardinaux, de diplomates et de gouverneurs. Orphelin de père (Jean du Bellay, seigneur de Gonnort, 1480-1423) et de mère (Renée Chabot, 1490-1530) avant qu’il n’ait 10 ans, il est confié à la tutelle de René, son frère aîné. Il a également une soeur, Catherine (née vers 1510, qui épousera Christophe du Breil, Capitaine d’une compagnie de 50 hommes

situe dans le département du Loir-et-Cher. Sa date de naissance est incertaine car à l'époque on ne tenait pas de registre. Blason de la famille Issu de la noblesse du pays de Vendômois, il est le sixième fils du chevalier Louis de Ronsard et de Jeanne Chaudrier. Son père était page du duc d'Orléans, futur Louis XII. Il combattit dans les guerres d'Italie et à la bataille de Marignan en 1515. Il se maria le 2 février 1514 et mourut le 6 juin 1544 à l'âge de 65 ans. (voir en annexe). En 1536,

du Bellay, Baïf) * DE LA BRIGADE A LA PLÉIADE : par simple métaphore, Ronsard comparait sept poètes de son temps aux sept étoiles de la Pléiade, comme on l’avait fait autrefois pour sept poètes Alexandrins du IIIe siècle. Ce mot a très vite désigné les poètes groupés autour de Ronsard et reconnus par lui comme meilleurs compagnons. Il en a plusieurs fois modifié la liste, en maître incontesté (ses contemporains l’appelaient «le prince des poètes») : - 1553 : Ronsard, du Bellay, Baïf, Pontus de

dans le Château de la Possennière, près de Vendôme. Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François 1er. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Le 6 mars 1543, il est tonsuré au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui lui vaut de consacrer

Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578) Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.       Le 6 mars 1543, il est tonsuré (consistant à raser une partie des cheveux) au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui assure