Jean Donneau de Visé

Dissertation Philinte est un « homme sage et prudent […] si raisonnable que tout le monde devrait l’imiter. » Jean Donneau de Visé, journaliste et écrivain contemporain de Molière Jean Donneau de Visé était un journaliste et écrivain français du XVIIème siècle. Il s’est fait connaître en 1663 par ses prises de parti contre et pour Corneille, par ses attaques contre Molière. Il se réconcilie avec Molière pour représenter au Palais-Royal sa première comédie, La Mère coquette ou les Amants brouillés

du mariage On reproche a Molière la forme aucunes règles (3 unités), puis le fond religieux : le mariage. Molière répond des attaques par La critique de l’école des femmes (juin 1663). C’est une autocritique ainsi qu’une défense. Jean Donneau de Visé et Boursault se liguent contre Molière. Puis vint l’acteur Montfleury (troupe de l’hôtel de bourgogne). C’est un jeu attaque/contre attaque. La troupe de Molière contient : Béjart ( sa fille), Armande et Madeleine. Or Louis XIV demande

comédie L'École des femmes (1662) a donné lieu à une longue polémique, en partie orchestrée par le parti dévot. Molière parodie ici Jean Donneau de Visé, qui, dans Zélinde, ou La Véritable Critique de l'École des Femmes (1663) avait tenté de ridiculiser Molière en mettant un faux éloge de la comédie dans la bouche d'Oriane, femme futile, et du rêveur Aristide (Jean de La Fontaine, ami de Molière) : ORIANE. - Il faut avouer que c'est un agréable divertissement que la comédie. (Aristide lève la tête

support de plusieurs nouvelles publications littéraires  parmi lesquelles : Journal d’une femme de chambre d’Octave Mirbeau en 1900. Elle disparait en 1903.) * Le Mercure de France (fondée dés 1672 sous le nom de Le Mercure Galant par Jean Donneau de Visé, elle évoluera au fil des siècles et connaîtra son plus grand succès à partir de 1890 sous le nom de Le Mercure de France. On y a publié des titres de Mallarmé, d’Heredia, Claudel et bien d’autres jeunes écrivains. Une maison d’édition sous

la tragédie Sertorius). Sans compter les précieux, les petits marquis et les pédants ridiculisés par Molière. Ils trouvent un chef de file en Jean Donneau de Visé, un noble de 24 ans. En 1663, Molière reprend L’Ecole des femmes au Palais-Royal et y adjoint une petite pièce, La Critique de L’Ecole des femmes. En 1663 toujours, dans une comédie, Donneau de Visé accuse Molière d’impiété et cherche à mobiliser contre lui tous ceux qu’il a malmenés. La même année, Boursault, un jeune auteur inconnu, fait

devient meilleur seulement après avoir reçu une éducation philosophique. Il voulait prouver que, grâce au progrès des Lumières, les Hommes, même ceux dit "sauvages" pouvaient devenir bons. Au chapitre 11 Voltaire critique ces écrivains comme Jean Donneau de Visé, Molière, Racine ou encore Diderot. Voltaire osé s’attaquer aux grands écrivains mais dans ses contes, cela passé bien car il faisait passer ces critiques par des personnages souvent apprécié par le lecteur comme Gordon dans ce conte : l’Ingénu

des poètes à gage. C'est un auteur qui est emboché par une compagnie de théâtre qui vont le salarié pour qu'ils produisent des pièces qui remportent l'agrément des comédiens. Il perd tout droit de regard sur sa propre production. Alexandre Hardy et Jean de Rotrou. Quelqu'un comme Racine, ultra reconnu, le mec du moment. Il écrit souvent pour ses comédiennes. Le role d'Andromaque a été pensé pour la Du Parc, Phèdre est inspiré de la comédienne La Champsmeslé qui voulaient être mise en valeure par de

pour lequel ils avaient écrit. Lectures à des intimes, indiscrétions calculées, rumeurs répandues par l'éditeur lui même... Paris est convaincu, la province suit et on se jette sur un roman posé par avance comme chef-d’œuvre. En 1672, Jean Donneau de Visé entreprend de faire paraître périodiquement un journal appelé Le Mercure Galant, qui couvre les actualités mondaines, littéraires et vestimentaires. En janvier 1678, un peu moins de deux mois avant la parution de La Princesse de Clèves

pratique théâtrale habituelle au XVIIe siècle pour les comédies, les satires et les farces. En revanche, la paternité des œuvres de Molière n'a jamais été mise en doute par ses contemporains, si l'on excepte quelques allusions, notamment celle de Donneau de Visé : "le Parnasse s'assemble lorsqu'il (Molière) veut faire quelque chose"[1] (1663) ou celle de Charles Robinet : "on ne peut pas dire que Zoïle (Molière) soit une source vive, mais seulement un bassin qui reçoit ses eaux d'ailleurs"[2] (1663) ou

Molière et son siècle (17ème) Jean-Baptiste Poquelin né en 1622 à Paris dans une famille bourgeoise. Etudes secondaire au collège jésuite de Clermont (ajd lycée Louis-le-Grand) puis licence de droit obtenue à Orléans en 1642. Se destine à devenir (comme son père) tapissier du roi. Avec Louis Cressé, son grand père fréquents scènes de théâtres. Il s’éprend de Madeleine Béjart. En 1643 renonce à la charge de son père pour fonder l’illustre théâtre (mais retentissante faillite en 1645: comédien manquent