Jurisconsulte

Rome. Qu’On nomme ces spécialistes JURISPRUDENTS car il mènent une réflexion sur le droit ou qu’on les nomme JURISCONSULTES car ils donnent des consultations sur des cas pratiques, contrait. En fat le droit romain s’analyse par l’analyse au cas par cas et ensuite ces spécialiste mènent une réflexion plus théorique sur le droit. Il y a véritablement ce que l’on pourrait appeler des JURISCONSULTES ou des JURISLAIQUES a partir du 2eme avant JC qui mènent une réflexion sur le droit. Ces juristes arrivent

de l’ouvrage intitulé Discours préliminaire au projet du Code civil et donc d’un texte de doctrine, inséré dans Discours et rapports sur le Code civil. Jean-Etienne-Marie Portalis (1745-1807) fut d’abord avocat au Parlement d’Aix-en-Provence, jurisconsulte, puis ministre des cultes de l’Empereur Napoléon Bonaparte. S’il est entré dans l’histoire, c’est pour avoir été l’un des quatre rédacteurs du Code civil et sans aucun doute celui dont la contribution a été déterminante par son esprit et son style

A. - Un rapport entre des personnes :un lien de droit personnel        Emprunté au verbe « lier », « attacher », le mot obligation exprime l'idée de « s'engager dans des liens ». Son emploi semble tardif. Ce n'est que progressivement que les jurisconsultes classiques dégageront l'idée d'un lien de droit entre deux personnes, avec un sujet actif, le créancier, et un sujet passif, le débiteur. Cette définition fait aujourd'hui encore l'unanimité. C'est la première caractéristique de l'obligation,

La loi islamique se distingue par la pluralité de ses sources. Ces sources font l'objet dune science propre appelée `ilm usul al-fiqh, qui signifie sciences des sources de la doctrine, elles sont classées de façon hiérarchique. Une majorité de jurisconsultes musulmans en ont identifié dix2(*). D'une part, il y a les sources primaires de la Chari'a. Ce sont les sources directes qui ne sont pas le fruit d'un travail de réflexion humain. Il s'agit en un premier lieu du Coran, texte sacré transcrivant

phases peuvent être distinguées La phase des prémices du code civiles & la phase de conception A) Les prémices du Code civil On trouve dans le Code civile des coutumes de l'ancien droit, des traces des ordonnances royales, des traces des jurisconsultes et des traces du droit ecclésiastique( = droit canonique) Les coutumes : le droit civil antérieure à la révolution française était largement coutumier. La coutume c'est une tradition populaire, constante et contraignante. A l'époque la coutume

une autre assemblée par comice. La clientèle siège au sein de l’aristocratie au sein des comices, qui votent d’abord et qui s’arrête lorsqu’il y a une unanimité. Les magistrats de la république présente des propositions aux comices. Puis les jurisconsultes (magistrat), appelé les prudents, ce sont des laïcs spécialiste du droit, du IUS, et comme les pontifes avant eux ils sont au service des citoyens, pour leur expliquer comment rendre justice. Leur consultation à aucune force obligatoire, ils ne

droit. Le droit constitutionnel, entendu comme une science juridique qui étudie les règles d'aménagement du pouvoir politique de l'Etat, remonte à la Monarchie de Juillet (1830 à 1848), plus exactement en 1834, année au cours de laquelle le jurisconsulte d'origine italienne, Pellegrino Rossi, reçut du Président du Conseil, Guizot, la première chaire du droit constitutionnel. Après avoir connu des fortunes diverses, notamment sous le second Empire (1851-1870), la discipline fut introduite dans

science qui est nourrie par les réflexions d'individus qui connaissent et enseignent le droit et que l'ont désignent par le terme « jurisconsultes ». Sans cette jurisprudence, le droit romain n'aurait pas pu être adapté au nécessité postérieure du moyen – age. Cette jurisprudence prend deux formes car les jurisconsultes ont en réalité deux types d'activité. les jurisconsultes font œuvre de doctrine. En ce sens , ils ont un pouvoir de droit. Faire œuvre de doctrine, c'est avant tout commenter l'édit du

ils n'ont dégagé un principe général de responsabilité. C'est seulement dans notre ancien droit, sous l'influence des canonistes et plus tard de l'École du droit naturel, qu'apparaît la théorie des obligations. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les jurisconsultes (Domat, Pothier) laïciseront les règles religieuses et, sur les textes des Institutes et du Digeste, présenteront une théorie qu'utiliseront ensuite les Rédacteurs du Code civil. Il ne s'agit donc pas d'une théorie romaine, mais d'une théorie

est très large et qu’à priori, tout instrument financier est compatible avec le précepte de l’islam, sauf cas de non-conformité clairement établi par les textes. La recherche de solutions financières conformes aux valeurs de l’islam incite le jurisconsulte ou le chercheur musulman à puiser dans tous les modèles économiques et financiers sans a priori ni discrimination. Ce processus exige un travail intellectuel continu et ouvert. Le chercheur s’intéressant à la nature et aux modes de financement