La Notion De La Souveraineté Chez Hobbes

sans un pouvoir commun qui les tient en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, la guerre de chacun contre chacun. ». Ainsi, selon Hobbes dans son Léviathan, les hommes ont une propension naturelle à la guerre. Celle-ci lui semble inévitable chaque fois que les hommes ne sont pas soumis à un pouvoir supérieur. On a déjà ici chez Hobbes la conscience de la nécessité de constituer des obstacles à la guerre entre les hommes. Pourtant, au XVIIè siècle, la guerre est toujours très fréquente

public il est plus déterminant comme marquant le caractère d’inégalité. Le droit constitutionnel gère le rapport entre le gouvernant/gouverné et surtout définie qui est le souverain. =branche du droit public+en est au cœur+ la question de la souveraineté, le pouvoir, la puissance entre les acteurs. DEfinition de l’homme= c’est un animal culturel, il a des comportements d’animaux, l’étude issue de l’éthologie permet de mieux comprendre à travers le comportement la part animal de l’homme. Dans

reconnaître cette qualité. La notion de citoyenneté connaît ensuite une éclipse à l’ère des monarchies : sociétés de privilèges, elles écartent toute participation de leurs sujets à la décision politique. Cependant, la notion réapparaît au XVIIe siècle avec la Révolution anglaise, notamment à travers l’œuvre de Thomas Hobbes, Le citoyen ou les fondements de la politique (1642). Ensuite, tout au long du XVIIIe siècle, les philosophes s’interrogent sur cette notion. À la veille de la Révolution française

|premières, pas les secondes. Les premières imposent des obligations et des interdictions alors que | |les secondes imposent des contraintes et des impossibilités qui relèvent de la nécessité. On a | |toujours le choix face aux premières, la notion de choix n’a pas de sens avec les secondes. | |    Ce qui veut dire que les lois humaines ne limitent la liberté que de façon relative et non pas | |absolue puisqu’il est toujours possible de faire ce qui n’est pas permis par la loi et

Un droit à la désobéissance civile María José Falcón y Tella Le devoir d'obéissance à la loi apparaît chez Platon comme une obligation politique découlant du caractère social de l'homme (« Ubi homo, ibi societas ; ubi societas, ibi ius »). Mais déjà son maître Socrate avait formulé les bases d’une justification de la désobéissance civile, soulignant qu'il est préférable de subir l'injustice plutôt que de la provoquer, ce dont il devait donner l'exemple en acceptant la mort plutôt que de fuir ou

l’essence même du droit. Réciproquement, aucune règle de droit ne peut prévaloir au sein de l’ordre ou de l’ordonnancement juridique sur la constitution. . Cette notion d’ordonnancement juridique dominée par la constitution vaut pour tous les régimes mis en place. Elle peut être associée au pouvoir, à l’Etat ou enfin au droit. Lorsque cette notion est associée au Pouvoir, elle s’inscrit dans les apports de la philosophie grecque complétée par les apports des légistes du Moyen Age, l’essentiel étant dominé

que les descendants mâles et si possible, le premier de la lignée ». Chez les anglais, le monarque ne peut produire seul les règles du royaume. * Les règles juridiques doivent être consenties par les gouvernants. On organise des élections. Cela marque la fin de la monarchie. L'Etat aujourd'hui se définit comme une personne morale de droit public chargée de mettre en œuvre l'intérêt général et qui détient la souveraineté. C’est une institution qui possède ses propres organes, ses propres agents

l'homme sont un sujet permanent de débat en philosophie et en sciences politiques. II. Époque moderne Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, adoptée par l'Assemblée nationale française le 26 août 1789, par Jean-Jacques Le Barbier. La notion de droits minimaux dus à la seule qualité d'être humain, ou droits naturels, est à la fois ancienne et générale. Ce qui caractérise l'idée des droits de l'homme, c'est l'idée de les inscrire explicitement dans le droit (oral ou écrit), de leur reconnaître

des sujets et qui s’imposent à toutes les autorités politiques y compris le roi. Le roi doit respecter un texte élémentaire qui est une sorte de pacte. Elle s’est développé tardivement en France car la France est un pays qui a développé la notion de souveraineté, de l’Etat. Qui à une tradition de centralisation, d’unité de pouvoir. La France est un Etat qui n’a pas connu durant cette période qui n’a pas connu de guerre civile. En Angleterre un certains nombre de texte et de coutumes sont apparus au

XIXe et XXe siècles (Marx notamment). Bien que profondément individualiste dans sa méthode et ses convictions, Rousseau perçoit bien l’épaisseur du social, bien mieux en tout cas que les théoriciens classiques du contrat social (Grotius, Pufendorf, Hobbes [1588-1678], Locke [1632-1704]) qui fondent la société, à travers le contrat, sur un donné psychologique ultime de la nature humaine (les « sentiments moraux »). 2. Une critique radicale de la société Dès son premier écrit (DSA, 1750), en plein