Le Nez Chapitre 2 Zadig Commentaire Voltaire

Corneille P. 6 Molire P. 13 Racine P. 26 La Fontaine P. 34 Madame De Svign P. 44 Madame De La Fayette P. 49 Boileau P. 55 La Bruyre P. 58 XIIIme Sicle P. 60 Montesquieu P. 61 Voltaire P. 64 Rousseau P. 72 Beaumarchais P. 75 XIXme Sicle P. 82 Chateaubriand P. 84 Hugo P. 87 Vigny P. 94 Musset P. 96 Lamartine P. 101 Stendhal P

que l'on se moque des vieillards au théâtre, Diderot donne de son père une description très affectueuse dans L'Entretien d'un père avec ses enfants. Dans De l'esprit des lois, Montesquieu plaide dans sens du respect du aux vieillards, chez Voltaire, dans Zadig comme dans Candide, sont présentés des vieillards sages et de bon conseil, Diderot précise que " les ouvrages classiques ne peuvent être bien faits que par ceux qui ont blanchi sous le harnais ". Les grands-parents prennent désormais une place

Mme Marie-Pierre Fourquet-Courbet maître de conférences HDR, université d’Avignon et des Pays de Vaucluse (rapporteur) M. le Professeur Daniel Raichvarg, université de Bourgone (président du jury) Mme le Professeur Béatrice Fleury, université Nancy 2 (examinateur) M. le Professeur Jacques Walter, université Paul Verlaine-Metz (directeur) 1 Remerciements Pour commencer, j’aimerai remercier Jacques Walter pour son ouverture face à ce sujet. Permettez-moi aussi de vous remercier, mesdames et messieurs

qui s’affirme comme la loi universelle du monde à laquelle l’humanité est condamnée à se soumettre. Bien qu’elle soit excédée par son « aventure mortelle »,1 il n’en demeure pas moins vrai qu’elle « ne se lassera jamais de poursuivre l’immortalité »2 dont elle sera dépossédée par « l’omniprésence de la mort ».3 Considérée comme la seule valeur suprême à laquelle toutes les autres sont subordonnées, la Faucheuse ne saurait être « le néant axiologique par excellence, le cimetière des vains espoirs